Vers 1905, Henri Vié dessine les plans de la villa balnéaire bauloise Saint-Bruno[5], puis de la villa Ty Sioul en 1913[6]. Il est également l'auteur en 1922 de la mairie annexe d'Escoublac-La Baule, depuis transformée en hôtel des impôts[7] et vers 1923, du jardin d'attraction dit Parc des Dryades à La Baule[8].
Il est le patriarche d'une lignée d'Henri Vié : son fils (1897-1988) et ses Henri Pierre (né en 1925) et Pierre André Henri (né en 1928), également architectes nantais[14].
Voir aussi
Bibliographie
Alain Charles, La Baule et ses villas : le concept balnéaire, Paris, Massin, , 213 p. (ISBN2-7072-0444-7, BNF38890407)
Alain Charles est architecte DPLG et DEA en histoire de l'architecture, spécialiste du balnéaire[15],[16].
Colette David (photogr. Stéphan Ménoret), Les villas de La Baule : des bourgeoises modèles aux excentriques rigolotes, La presse de l’Estuaire, , 95 p. (ASINB009P12Q4I)
Laurent Delpire, « Urbanisme et architecture balnéaire : histoire d'un phénomène de société, l’exemple du Pays de Guérande », Les cahiers du Pays de Guérande, no 52, (ISSN0765-3565)
Laurent Delpire est historien de l’art, conservateur des antiquités et objets d’art de Loire-Atlantique.
↑Christian Ménard, Jean-Pierre Casaubon et Joël Thiévin, Le Patrimoine des communes de la Loire-Atlantique, t. 2, Charenton-le-Pont, Flohic éditions, coll. « Le patrimoine des communes de France », , 1383 p. (ISBN2-84234-040-X, BNF37200392), p. 767.