Hans Lasser (1891-1932) est un peintre figuratif allemand, actif en Allemagne dans les années 1920. Influencé par l'expressionnisme allemand, il a laissé de nombreuses œuvres, aujourd'hui conservées dans des collections privées.
À partir de 1920, il se joint au groupe de la Neuen Sezession, la « nouvelle sécession de Munich », et expose des œuvres figuratives, des portraits et des paysages. En 1924, Hans Lasser participe à Munich à une exposition collective du groupe, faisant l’objet d’une présentation biographique par l'écrivain Georg Britting et Magdalena Achmann. À la fin des années 1920, Lasser accompagne Britting et le peintre Josef Achmann en Italie, où il réalise de nombreux dessins de voyage[4].
Hans Lasser décède précocement à Munich[1]. Il y est inhumé le [5].
Son œuvre
Ses œuvres sont aujourd'hui, pour la plupart, dispersées dans des collections privées.
Bischheim - Mädchen auf einen Acker zuschreitend, 1917, gouache sur papier (24,5 × 3 cm).
Mann mit Pferd auf Waldweg, 1917.
Radfahrer auf Dorfstraße, 1922.
Landschaft mit Mann auf Bank sitzend, daneben ein Pferd, 1922, aquarelle, gouache sur papier (33,6 × 27,8 cm)[6].
Bildnis einer jungen Dame, 1923, huile sur toile (79,5 × 66,5 cm).
Badende, v. 1923, exposition de la nouvelle sécession de Munich[7].
In der Wanne, 1923, aquarelle, gouache sur papier[8].
Akt, 1924, huile sur toile.
Der Traum, 1924, huile sur toile, (c. 85 × 70 cm).
Herren-Bildnis, 1925, exposition de la nouvelle sécession de Munich[9].
Herrenbildnis, v. 1925, huile sur toile (85 × 85 cm).
↑(de) Rudolf Kömstedt, « Ausstellung der "Münchener Neuen Secession "Sommer 1923 », Deutsche Kunst und Dekoration, Darmstadt, vol. 52, no 11, , p. 322 (lire en ligne).
↑(de) Werner Bergengrün, « Die Sportsberichte », Die Jugend, vol. 29, no 1, , p. 9 (lire en ligne, consulté le ).
↑(de) Eckart von Sydow, « Ein neuer Klazissismus ? », Deutsche Kunst und Dekoration, Darmstadt, vol. 57, , p. 31 (lire en ligne, consulté le ).
↑(de) A. M. Frey, « Kampf um die Heilige », Die Jugend, vol. 32, no 45, , p. 932 (lire en ligne, consulté le ).
↑(de) Wilhelm Michel, « Die Mïunchener Neue Secession 1927 », Deutsche Kunst und Dekoration, Darmstadt, vol. 61, , p. 13 (lire en ligne, consulté le ).
↑"Kunstpalast Düsseldorf", mai-octobre 1928, Catalogue sur eifel-und-kunst.de
↑« Entarteten Kunst », Liste d’œuvres sur kunstraub.taz.de, (pp 4-5, no 127 - no 130).
Sources
Ingeborg Schuldt-Britting: Georg Britting und Günther Herzfeld-Wüsthoff; Eine Freundschaft mit Brüchen, [1] (pp. 5-6).