Hélène Chauvin apparaît dans la presse vers 1896 aux côtés des artistes et demi-mondaines. En 1897, Léon Nunès l'engage à La Cigale[3] et elle débute dans la revueAllo ! Allo ! 407-60[4], dans « un rôle très long et un costume très court »[5]. Elle joue aussi à la Scala[6].
Elle habite un hôtel particulier avenue Bugeaud[7],[8] et mène grand train entre le monde, le demi-monde, les gens des arts et du théâtre.
Au milieu des années 1900, établie dans un hôtel particulier situé 24 boulevard de Courcelles, elle tient un salon où l'on donne des concerts et des soirées artistiques[13],[14].
En juin 1908, elle quitte son hôtel particulier du boulevard de Courcelles et vend ses meubles et œuvres d'art[note 3],[16], pour 287 000 francs[note 4],[17],[18].
↑La collection d’Hélène Chauvin se distinguait par un choix de 120 estampes en couleurs dont une épreuve du Portrait d'Edouard Dagoty par Carlo Lasinio; Le Compliment, Escalade et Heur et Malheur, par Debucourt
↑Catalogue d'un important mobilier ancien et moderne, estampes anciennes du XVIIIe siècle..., faïences et porcelaines anciennes, objets de vitrine..., sièges anciens et modernes... le tout appartenant à Mlle Hélène Chauvin... vente... 2-4 juin 1908..., (lire en ligne)
↑Léon Roger-Milès, Les Maîtres de la Caricature. Nouv. éd. corrigée et mise à jour. Avec 750 Aquarelles et dessins inédits de Guillaume, Bac, Huard, Gerbaud, Léandre, Job, Rabier, Faivre, Steilen, Forain, Métivet etc., Ink book, (ISBN979-10-232-0996-9, lire en ligne)
Voir aussi
Bibliographie
: documents utilisés comme source pour la rédaction de cet article :