Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Comment faire ?
Histoire
L'on ne sait la période exacte de la réunion des deux villages de Glaire et de La Tour-à-Glaire sous une seule commune :
Le Traité sur les tailles et les tribunaux qui connoissent de cette imposition, par M. Auger, avocat du Roy, de 1788, mentionne encore La Tour-Aglaire, dans la souveraineté de Château-Regnault[1]. Dans ce même document, Glaire est désigné dans l'élection de Rethel.
La liste des constituants de 1789 indique un Fleury (Jean), curé d'Iges, Villette et La Tour-à-Glaire, bachelier en Sorbonne, député électeur du bailliage de Sedan. Il est donc certain, qu'alors, les deux paroisses de Glaire et de La Tour-à-Glaire sont indépendantes[2].
Plus tard, le Recueil des arrêts du Conseil, ou Ordonnances royales rendues en Conseil d’État, par L. Macarel & Deloche, 1827 [3] semble indiquer La Tour-à-Glaire pour une commune indépendante en 1804 : « Par décret du 15 octobre 1804 (23 Vendémiaire an XIII), le sieur Trécourt, propriétaire du moulin de la Tour-à-Glaire, situé dans le territoire de la commune de ce nom, sur la Meuse et dans le département des Ardennes, obtint l'autorisation … »
Alexandre Pinchart, « Quelques particularités sur des ateliers de fausses monnaies au XVIIe siècle et sur les monnaies des seigneurs de Cugnon et des Hayons dans le Luxembourg », Revue de la numismatique belge, t. IV, , p. 46-55 (lire en ligne)
Bretagne, « Bail de la Monnaie des terres souveraines de Château-Regnault (1625) », Revue numismatique, , p. 322-346 (lire en ligne)
↑M. Auger, avocat du Roi à l'Élection de Paris, Traité sur les tailles et les tribunaux qui connoissent de cette imposition, 1re part. : Réglemens sur les tailles, Paris : Barrois l'aîné, 1788, t.1, p.CLXVI [1]
↑Armand Brette, Les Constituants: liste des députés et des suppléants élus à l'Assemblée constituante de 1789, 1897, p.154
↑Recueil des arrêts du Conseil, ou Ordonnances royales rendues en Conseil d’État, par L. Macarel & Deloche, 1827, p.228 [2] — Il ne faut pas s'y fier : les documents administratifs de l'époque sont parfois approximatifs quant au statut de la localité.