Les gisements d'ambre, dont les plus anciens datent de 310 millions d'années, se forment à la suite d'une accumulation de résine exsudée par des plantes puis fossilisée en ambre. Ils sont répartis sur tous les continents. Ceux qui renferment des inclusions d'animaux et de végétaux intéressent particulièrement les paléontologues. Certains gisements sont exploités à des fins commerciales.
Le terme « ambre » est entendu au sens large ; l'opinion présente dans certaines études spécialisées selon laquelle l'ambre au sens étroit désigne uniquement la succinite (ou ambre balte) n'est pas prise en compte dans cet article.
Formation des gisements
La résine s’écoule le long des arbres blessés - aussi bien des gymnospermes que des angiospermes[1] -, son durcissement les protégeant des fungis et des insectes. La fossilisation de la résine s’étend sur des millions d’années, elle suppose une accumulation de la résine en contexte sédimentaire, et des conditions pauvres en oxygène ; elle fait intervenir des processus de polymérisation et d'évaporation d'huiles volatiles (terpènes)[2].
Les résines fossiles sont souvent associées à des gisements de charbon du type des lignites[3].
Gisements primaires et secondaires
Un gisement primaire est un dépôt d'ambre situé sur l'emplacement même des forêts productrices de la résine fossilisée. Cependant, l’ambre peut être découvert loin de son lieu d’origine[2]. Du fait de l'action des fleuves, des tempêtes, cet ambre a été arraché de son dépôt d'origine et redistribué dans des gisements dits « secondaires » ou en position secondaire[1].
Âges et localisations
Les gisements d’ambre les plus anciens datent de 310 millions d'années, soit de la fin du carbonifère, les plus récents d'il y a 40 000 ans, soit de la fin du Pléistocène[1]. L'âge ne peut pas être déterminé à partir de l'ambre lui-même avec précision ; la datation se fonde sur l'étude des sédiments encaissants (leur analyse palynologique) ; lorsque l'ambre a subi un transport à la suite de crues ou de tempêtes avant de parvenir jusqu'au gisement définitif, son âge est alors différent des sédiments qui l'entourent, les inclusions d'insectes peuvent dans ce cas servir à dater l'ambre[4].
Des dépôts d'ambre se trouvent dans le monde entier mais les gisements les plus importants et les plus connus sont ceux d’Europe du Nord et plus particulièrement ceux des pays riverains de la mer Baltique et de la mer du Nord. Ces ambres, appelés « ambres baltes », ont pour origine de vastes forêts de conifères qui recouvraient ces régions et qui furent ensuite submergées. À la suite de glaciations et de la formation de rivières post-glaciaires, les ambres furent dispersés dans toute l’Europe du Nord[5]. Les ambres baltes datent de l’Éocène supérieur[5].
Ambres fossilifères
L'ambre est un mode de conservation unique d'organismes piégés dans la résine, appartenant à des espèces très anciennes de la faune et de la flore. L'étude des inclusions biologiques, du plus haut intérêt en paléontologie, permet de décrire des écosystèmes disparus. Cependant, tous les ambres ne sont pas fossilifères. Sept gisements présentent un nombre important d'inclusions biologiques (en 2003) : pour le Crétacé inférieur, ceux du Liban, de l'Espagne et de la Birmanie (Myanmar) ; pour le Crétacé supérieur, ceux du Canada, de la Sibérie (Taimyr et formation Dolgan) et des États-Unis (New Jersey). L'hémisphère Nord est surreprésenté, probablement parce que la recherche de gisements dans l'hémisphère Sud y est moins active[6].
Ambres exploités commercialement
L'ambre étant considéré comme un pierre précieuse, il est utilisé dans la bijouterie et l'artisanat, secteurs qui absorbent 20% de la production d'ambre. Les morceaux de qualité inférieure sont récupérés par l'industrie chimique pour la fabrication de vernis (en lutherie notamment), et de colophane[7]. La plus grande mine au monde faisant l'objet d'une exploitation commerciale est celle de Iantarny en Borussie (ancienne province de Prusse-Orientale) : à lui seul ce gisement terrestre éocène représente 80% des ressources mondiales d'ambre[8]. Un autre gisement, miocène, est commercialement exploité : l'ambre dominicain[9] mais il existe aussi des gisements d'ambre crétacé exploités au Liban[10] et en Indochine[11].
Modes d'extraction
Selon les gisements, les morceaux d’ambre sont extraits à ciel ouvert, ou sous terre ; ou récoltés sur le littoral, à la main, par dragage ou en plongée[2] .
Gisements terrestres
Dans la mine d'Iantarny de Kaliningrad, la couche supérieure du sol est arrachée ; à 50 mètres de profondeur apparaît une argile bleuâtre qui est alors extraite et précipitée vers d'énormes tamis par un puissant jet d'eau ; les morceaux d'ambre se révèlent au terme de ce processus[8].
Les médias alertent sur les effets néfastes de l'extraction illégale d'ambre notamment en Ukraine, qui provoque la déforestation de milliers d'hectares et une catastrophe écologique[12] (2017-2019).
Gisements sous-marins
A Gdansk en Pologne, où les gisements sont sous-marins, l'ambre est traditionnellement recueilli sur les plages, entre les galets : en effet, après les tempêtes, des morceaux d'ambre sont arrachés aux couches sous-marines et rejetés sur les côtes par les vagues[13] (l'ambre flottant sur l'eau salée, du fait de sa faible densité). Le dragage au large des couches sous-marines est une technique moderne d'extraction.
Gisements identifiés dans le monde
Le nombre de sites d'ambre répertoriés est en constante augmentation.
Le gisement de Goitsche pourrait être de la même origine que l'ambre de la Baltique (bien que cela soit controversé) sur le gisement du Miocène. Les termes donnés comme synonymes sont principalement des résines accessoires (fossiles). D'autres découvertes associées aux gisements de lignites sont connues à Böhlen près de Leipzig et dans l'exploitation minière de lignites près de Helmstedt (principalement Krantzit et Oxikrantzit).
Il s'agit d'ambre de la même origine que l'ambre de la Baltique, qui peut avoir été transporté du sud de la Scandinavie vers les régions de la mer du Nord et de la Baltique autour du Danemark. Le nom ambre jutlandique est utilisé quasi exclusivement au Danemark.
Porté de la Sicile centrale à la côte est de la Sicile par la rivière Simeto (éponyme). Des résines fossiles très similaires à la simétite ont été trouvées dans les Apennins.
Au moins huit sites ambrés d'âges différents, principalement dans la zone de flysch entre le lac Léman et le lac de Constance. Inclusions organiques seulement sporadiquement.
De petites quantités de résines fossiles d'origines différentes provenant d'au moins douze sites non apparentés. Inclusions biologiques de manière seulement sporadique[17].
Principalement appelé Ajkaite (d'après la ville hongroise d'Ajka). Le nom est considéré comme un terme collectif pour diverses résines fossiles de cette région[22].
Déposé dans des grauwackes. Le spectre IR est similaire à celui de l'ambre roumanite[24] . La gemme fossile promue sous le nom d'« ambre d'Olti », dans la province d'Erzurum, n'est pas de l'ambre, mais du jais.
Diverses localités, principalement dans le Mont Liban
Principalement Crétacé inférieur (environ 130)
Surtout des gisements primaires, d'une valeur paléontologique particulière en raison de l'âge et de la présence abondante d'insectes. De l'ambre du Jurassique supérieur est également signalé.
Amman (Jordanie) au nord d'Israël et localités au sud de Jérusalem.
Crétacé inférieur (environ 130)
Dans un gisement secondaire proche de la forêt d'origine. Ces gisements (du moins ceux du nord d'Israël) sont probablement une continuation des gisements d'ambre du Liban datant du Crétacé. Inclusions éparses.
Les diverses occurrences dans plusieurs localités s'étendent le long de la côte arctique sibérienne. Une occurrence dans le sud de Sakhaline, qui est également désignée du nom de «ambre de Sibérie», date du Paléocène[25].
Dans les couches de charbon de la formation de Guchenzgi, en particulier près de la ville de Fushun[25]. La faune d'insectes est similaire à celle de l'ambre de la Baltique.
Gisement primaire d'ambre situé dans un gisement de lignite près de Merit-Pila (Sarawak). Présente des inclusions organiques. Origine botanique probable : les arbres à feuilles persistantes Dipterocarpaceae[26].
Des découvertes dans l'État de Sabah (au nord-est de Bornéo) n'ont pas encore fait l'objet d'une enquête approfondie[27].
Une cinquantaine de sites d'ambre sont identifiés au Canada, principalement du Crétacé, ainsi que de plus petites occurrences de l'Éocène (en Colombie-Britannique) et d'un autre âge vraisemblablement dévonien.
Ambre d'origines diverses, sites dispersés; parmi eux également l'ambre crétacé du Kansas (jelinite)[33]. L'ambre du New Jersey est d'une importance particulière. L'ambre du Trias est celui de l'Arizona[17].
Eocène à Miocène (15–40) (Oligocène-Miocène Moyen)[35]
Ambre incrusté dans du grès dur; probablement en partie sur le gisement primaire et en partie sur le gisement secondaire. Les découvertes mineures dans les îles voisines de la Jamaïque et du Costa Rica sont probablement de la même origine que l'ambre dominicain[36].
Différents endroits au Chiapas. Couches de grès et d'argile avec des couches de lignite. Contient des inclusions organiques[37]. Une autre occurrence en Basse-Californie (Péninsule de Basse-Californie) est appelée bacalite dans la région de la langue anglo-saxonne[38].
De nombreux éléments laissent penser que ce n'est pas de l'ambre. Le copal ("ambre jeune" semi-fossilisée) de la région de Bucaramanga (province de Santander) est connu sous le nom de Bucaramangite.
Nommé d'après la formation Ameki où il a été découvert. Pas d'inclusions biologiques connues. Origine botanique : un représentant de la famille des légumineuses[40].
L'ambre de Victoria est d'âge éocène, l'ambre de Tasmanie du Pliocène et l'ambre du Queensland probablement du Tertiaire (certainement plus vieux que le Miocène supérieur)[42].
La courbe IRS (Réflexion interne, en anglais Internai Reflexion Spectroscopy ) est similaire à celle du Sarawak dans l'île de Bornéo[43]
(*) Sources essentiellement: Poinar 1992, Krumbiegel 1994, Reineking von Bock 1981. En plus des espèces et des dépôts d'ambre énumérés, d'autres gisements existent, pour la plupart quantitativement insignifiants (en Grèce, Bulgarie, Angleterre, Croatie, Groenland, Brésil, Chili, Madagascar, Inde).
(**) ventilé par continent, au sein du continent sans systématique. Les noms qui sont devenus des noms communs (comme l' ambre balte, la succinite ) sont indiqués en italique. Sinon, ce sont des spécifications géographiques qui ne sont pas (encore) utilisées comme nom pour l'ambre en question (par ex. ambre de Suisse). Les noms d'ambre ne désignent souvent qu'un ou plusieurs types d'ambre connus dans la région nommée.
Références
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Voir aussi
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