Un amour sans résistance, Paris, Denoël, 2003, 159 p., (ISBN2-207-25522-0) (paru en édition de poche, Folio no 4229), sélectionné pour le prix Femina 2003[6].
La Promesse d'Oslo, Paris, Denoël, 2005, 187 p., (ISBN2-207-25702-9), prix Méditerranée des lycéens 2006, prix Wizo 2006.
D'un pays sans amour, Paris, Grasset, 2011, 444 p., (ISBN978-2-246-78364-0) - Grand prix Thyde-Monnier de la Société des gens de lettres 2011[9],[10],[11].
Son roman Un amour sans résistance a été traduit :
en anglais : Love without resistance, traduit par Anthea Bell, Londres, Little, Brown, 2005, 181 p., (ISBN0-316-72955-8) et The Mercy room, traduit par Anthea Bell, Little, Brown and Company, New York, 2006, 144p., (ISBN0-316-15973-5)
en italien : Un amore senza resistenza, traduit par Maurizia Balmelli, Turin, Giulio Einaudi editore, 2005, 131 p., (ISBN88-06-16943-2)
en allemand : Eine Liebe ohne Widerstand, traduit par Claudia Steinitz, Cologne, DuMont Literatur und Kunst Verlag, 2004, 167 p., (ISBN3-8321-7868-6) (paru en édition de poche, BTB no 73380), Spycher Preis 2006 (remis à Leuk dans le Haut-Valais).
en espagnol : Un amor clandestino, traduit par Jordi Martín Lloret, Salamandra, Barcelone, 2006, 157 p.
en danois : Kærlighed uden modstand, traduit par Lars Bonnevie, Copenhague, Gyldendal, 2004, 153 p., (ISBN87-02-02848-4)
en portugais : Un amor sem resistência, traduit par Maria do Carmo Abreu, Lisbonne, Dom Quixote, 2005, 164 p., (ISBN972-20-2808-1)
en croate, Ljubav bez otpora, Zagreb, Fraktura, 2010, 119 p., (ISBN978-953-266-196-5)
une édition didactique à destination des collèges (texte original en français enrichi de notes de bas de page en allemand) est paru aux éditions Reklam.
Son roman La Promesse d'Oslo a été traduit dans les langues suivantes :
en néerlandais : De verwachting, traduit par Martine Woudt, Amsterdam, Ambo Antos, 2006, 167 p., (ISBN90-223-1996-2) ;
en allemand : Abrahams Sohn traduit par Claudia Steinitz, Cologne, DuMont Literatur und Kunst Verlag, 2007, 170 p., (ISBN978-3832179878)
Son roman D'un pays sans amour a été traduit dans les langues suivantes :
en allemand : Im Palast der Erinnerung, traduit par Claudia Steinitz et Barbara Heber-Schärer, dans la collection Die andere Bibliothek aux éditions Aufbau, 2012 ;
en néerlandais : Land zonder liefde, traduit par Martine Woudt aux éditions Ambo Antos, 2012 ;
en espagnol (Espagne et Amérique latine): De un pais sín amor, traduit par Alicia Mortarell Linares aux éditions Alianza, 2014, (ISBN978-84-206-8420-8) ;
en polonais : Z kraju bez miłości, traduit par Krystyna Arustowicz aux éditions Wydawnictwo Literackie, 2014 (ISBN978-83-08-05066-8) ;
Un été boulevard Rothschild, journal de voyage à Tel-Aviv, publié sous forme de blog, 2008[14]. Des extraits ont été traduits en hébreu : המוזיקה של האנשים הבאים מכאן וממקום אחר, יומן תל אביב (קטעים נבחרים) קיץ, dans le numéro 7 de la revue Ho! (!הו), sous la rédaction de Dory Manor, Tel-Aviv, .
Liberté, égalité, fatalité / 1 : carnet de voyage à Belleville, Paris, 2010, dans la revue en ligne Remue.net[15].]
Document
Deux enfants de Bagdad, entretiens avec Rony Someck et Salah Al Hamdani, Les Arènes, 2015.
Nouvelles
Mon cousin Benjamin, revue Tsafon, été 2001 p. 83-87 ; traduite en hébreu par Benny Mer dans le supplément littéraire du quotidien Haaretz, .
Regina, publiée en une série limitée à deux exemplaires, illustrations de Mathias Pérez[16]
Moyshe Broderzon : un écrivain yiddish d'avant-garde, Paris, Presses universitaires de Vincennes, 1999, complétée d'une anthologie bilingue yiddish-français de poèmes de M. Broderzon, 280 p. (ISBN2-84292-061-9)
traduit en polonais par Joanna Ritt sous le titre Mojzesz Broderson : od Jung Idysz do Araratu Lodz, Hamal, 2008 (ISBN978-83-925420-5-6)
Comme deux sœurs, roman de Rachel Shalita, éditions de l'Antilope, 2016
L'ours qui cache la forêt, roman de Rachel Shalita, éditions de l'Antilope, 2019
Smotshè : biographie d'une rue juive de Varsovie, de Benny Mer, éditions de l'Antilope, 2021
Rencontre avec Sutzkever, poème de Dory Manor, paru dans la revue Yod no 16 nouvelle série (printemps 2011)
Un gong muet au fond de l'homme : quelques propos à la mémoire d'Avrom Sutzkever, texte de Dory Manor, paru dans la revue Yod no 16 nouvelle série (printemps 2011)
Couchée sur les eaux et On ne tue pas un bébé deux fois, deux poèmes de Dalia Rabikovitch, non publiés.
de l'anglais :
Freud à Jérusalem : la psychanalyse face au sionisme, essai d'Eran Rolnik, éditions de l'Antilope, 2017.
du français en yiddish :
6 histoires du Petit Nicolas, de Sempé et Goscinny, traduit par Sharon Bar-Kochva et Gilles Rozier, IMAV éditions, .
Ses poèmes en yiddish sont parus dans les revues Di Pen (Oxford), Toplpunkt (Tel-Aviv) et Yerusholayimer almanakh (Jérusalem).
↑(en) Piotr Sadkowski, « La transposition profane de l’Exode dans Moïse fiction de Gilles Rozier », Quêtes littéraires, no 3, , p. 174-183 (lire en ligne).
↑Anne Maziarczyk, « La Shoah dans la narration ambiguë. Un amour sans résistance de Gilles Rozier », French forum, vol. 44, no 1, , p. 71-86 (lire en ligne).
(de) Reinhard Finck, « Gilles Rozier », dans Jan-Pieter Barbian (dir.), Französische Literatur in deutscher Übersetzung. Vive la littérature!, Verein für Literatur und Kunst Duisburg, (ISBN978-3-89279-656-5), p. 35.
Piotr Sadkowski, « Les romans de Gilles Rozier ou les langues et la post-mémoire juives sorties de l’impasse du silence », Studia Romanica Posnaniensia, vol. 40, no 4, , p. 41-50.