En 1973, il s'installe à Montréal. En plus de travailler aux Éditions La Presse en tant que correcteur et réviseur, il enseigne la stylistique à l'Université de Montréal. Jusqu'en 2005, il est traducteur pour SNC-Lavalin, l’une des plus grandes firmes d’ingénierie au monde[1],[2].
Actif sur la scène littéraire tant au Québec qu'à l'international, Klang participe à de nombreux événements littéraires[4],[5],[6]. Il participe notamment au Festival des Étonnants voyageurs (Mali, 2006), au ColloqueJacques Roumain (Haïti, 2007), au Festival International de Poésie de Trois-Rivières (Québec, 2009) ainsi qu'au Salon International des Poètes Francophones (Bénin, 2009)[1],[2].
En plus de publier des textes dans des revues et journaux littéraires (Les Saisons littéraires, La Presse, Le Devoir, etc), il publie des romans, des essais, de la poésie, du théâtre ainsi que des articles qui portent sur la littérature, la linguistique et la culture[1],[7].
Comme romancier, il publie plusieurs titres dont Un homme seul est toujours en mauvaise compagnie (Mémoire d'encrier, 2005), Monologue pour une scène vide (Dialogue Nord-Sud, 2013) ainsi que Le massacre de Jérémie - opération vengeance (Dialogue Nord-Sud, 2015)[1].
En poésie, Gary Klang fait notamment paraître Moi natif natal, suivi de Le Temps du vide (Humanitas, 1995), La vraie vie est absente (Humanitas, 2002), Ex-île (Humanitas, 2003, Mémoire d'encrier, 2012), Il est grand temps de rallumer les étoiles (Mémoire d'encrier, 2007) ainsi que Toute terre est prison (Mémoire d'encrier, 2010)[8],[9],[10],[11],[12].
La méditation transcendantale : l'enseignement de Maharishi Mahesh Yogi, avec une préface de Roger Marcaurelle, Montréal, Stanké, 1976, 174 p. (ISBN0885660129)
L’odeur d’ilang-ilang, dans le collectif «Haïti par monts et par mots, un atlas littéraire», Éditions Étonnants voyageurs, Haïti, 2009, p. 167-171.
Souvenirs de mai 68, dans le collectif «Mon voisin l’écrivain», Pen International, Bloomberg, Angleterre, été2008, p. 46-48.
Jacques Roumain, ou le petit prince des tropiques, dans le collectif «Mon Roumain à moi», Direction Nationale du Livre, Haïti, 2007, p. 257-271.
À tous les enfants qui souffrent, dans le collectif «Las Palabras Pueden», Unicef, Colombie2007, p. 750-751.
Plusieurs poèmes dans les Dossiers d’Aquitaine, Bordeaux, France ; la Revue littéraire Passerelle et la revue Exit, Montréal.
12 poèmes dans la Cahier-Haïti #8, Le Chasseur abstrait Éditeur, France2009, p. 82-96.
Davertige ou le Soleil obscur, dans le collectif Regards sur la poésie du XXe siècle, tome 1, Les Éditions Namuroises, Namur, Belgique, 2009, p. 161-169.
↑Claude Paradis, « D’une poésie dynamique… : à une poésie durable… », Nuit blanche, no 63, , p. 28–31 (ISSN0823-2490 et 1923-3191, lire en ligne, consulté le )
↑Jocelyne Felx, « Du dehors vers le dedans / Roméo Savoie, Dans l’ombre des images, Moncton, d’Acadie, 1996, 64 p., 8 $. / Luc Lecompte, Inventaire, Saint-Hippolyte, le Noroît, 1996, 104 p., 15 $. / Gary Klang, Moi natif natal suivi de Le temps du vide, Montréal, Humanitas, 1996, 114 p., 14,95 $. », Lettres québécoises : la revue de l’actualité littéraire, no 85, , p. 29–30 (ISSN0382-084X et 1923-239X, lire en ligne, consulté le )
↑Rodney Saint-Éloi, « La littérature haïtienne et ses espaces éclatés », Québec français, no 154, , p. 90–93 (ISSN0316-2052 et 1923-5119, lire en ligne, consulté le )
↑Hugues Corriveau, « Une fenêtre », Le Devoir, , p. f6.
↑Hugues Corriveau, « Poésie - Le besoin de vivre de Serge Murphy et Gary Klang », Le Devoir, , p. F4 •
↑Pierre Vennat, « Les associations d'écrivains », La Presse, , p.B5.