Ennahdha, Al Amal, Hizb el-Harak, Coalition de la dignité, Au cœur de la Tunisie, Citoyens contre le coup d'État, Initiative démocratique, Rencontre nationale de salut, Tunisiens pour la démocratie, Rencontre pour la Tunisie, Coordination des députés, Rencontre des jeunes pour la démocratie et la justice sociale
La coalition est fondée le [1] pour contrer ce que ses membres considèrent comme un « coup d'État » effectué par le président de la République Kaïs Saïed le [1],[2].
Dès le début de l'année 2023, plusieurs membres de la coalition sont arrêtés par la police tunisienne[3],[4].
Le , les autorités décident la fermeture du siège à Tunis[5].
En , la coalition annonce boycotter la prochaine présidentielle qu'elle qualifie de « comédie électorale »[6].
La coalition compte plusieurs commissions, dont la commission des libertés, chargée de scruter les violations et d'assurer le suivi des dossiers judiciaires des opposants politiques, une commission juridique et une commission chargée de la relation avec les médias[10]. Elle compte également un forum de réflexion dirigé par le journaliste Slaheddine Jourchi(ar)[10].
↑Monia Ben Hamadi, « En Tunisie, le parti Ennahda considère que Rached Ghannouchi a été « enlevé » », Le Monde, (ISSN0395-2037, lire en ligne, consulté le ).
↑Camille Lafrance, « Tunisie – Jaouhar M'Barek : « Nous mettons au défi le président d'aller aux urnes » », Jeune Afrique, (ISSN1950-1285, lire en ligne, consulté le ).