Au début des années 1990, Françoise Matthey voit un de ses textes publié dans la revue Intervalles. En 1995, grâce à son récit intitulé Le vivant jusqu'à la pierre, elle est récompensée par le canton de Berne qui lui décerne un Prix d'encouragement.[réf. nécessaire]
Auteure de plusieurs recueils de poésie, La première parole (1990), De feu de miel (1994), Françoise Matthey remporte le Prix Schiller pour son dernier poème à la mémoire d'une amie tragiquement disparue, Comme Ophélie prenait dans l'eau sa force.[réf. nécessaire]
Œuvres
La première Parole (1990), récit, L'Aire bleue
De Feu De Miel (1994), Éditions Empreintes
Le vivant, jusqu'à la pierre (1995), Canevas Éditeur
Comme Ophélie prenait dans l'eau sa force (2000), Éditions Empreintes
Moins avec mes mains qu'avec le ciel (2003), Éditions Empreintes
Pour qu'au loin s'élargisse l'estuaire (2004), Éditions de l'Aire
L'or dans la poussière des seuils (2009), Éditions Empreintes
Le Transparent (2013), Éditions de l'Aire
Avec la connivence des embruns (2016), Éditions Empreintes
À la croisée des brides (2016), Éditions de l'Aire
La Première Parole (2018), L'Aire bleue
L'obscurité diaphane (2019), Couleurs d'encre
Dans la lumière oblique (2019), L'Aire bleue
L'Arche des fous (2021), Éditions de l'Aire
Feux de sauge (2021), Éditions de l'Aire
À peine un petit mouchoir bleu (2023), Éditions de l'Aire
Musique
Robert Pascal (1952-2022) : d'une fertile vacuité pour récitant(e), soprano, violoncelle, accordéon et piano (2017). Livret : Françoise Matthey. Prix de Composition du Concours Pierre Jean Jouve 2017.
Adrien Tsilogiannis : Pour percevoir le timbre végétal, accordéon et piano (2019). Inspiré par un poème dans « Avec la connivences des embruns », Éditions Empreintes, 2016.