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François Morinière Pour les articles homonymes, voir Morinière. François Morinière  François Morinière
François Morinière, né le à Boulogne-Billancourt, est un dirigeant d'entreprise. BiographieÉtudesFrançois Morinière étudie au collège Stanislas à Paris, et est diplômé de l’École supérieure de commerce de Paris (ESCP) en 1987[1]. Parcours professionnelIl effectue son service militaire dans la Marine nationale française[2], en tant qu'officier dans le corps des « INTRAS », puis il travaille pour plusieurs groupes : Rossignol notamment pour les activités commerciales en Asie (et s'dans la préparation des Jeux olympiques d'hiver d'Albertville en février 1992), Monsanto, Scotts France[3], Viacom Outdoor[4] (ex-Giraudy Affichage), dont il est nommé Président en 2004. Puis il rejoint le Groupe Amaury, en tant que directeur général du groupe L’Équipe (France Football[5], L’Équipe[6],[7],[8],[9],[10],[11],[12], L'Equipe 21, Lequipe.fr, Vélo Magazine, Le Journal du Golf, Sport et Style). Il participe à la sensibilisation des parties prenantes du sport et de la télévision en France, pour la création d'une télévision de sport gratuite[source insuffisante]. Le Conseil supérieur de l'audiovisuel décide d'attribuer à L’Équipe une fréquence TNT gratuite, et le , L’Équipe 21 voit le jour en France[13]. Il est par ailleurs administrateur du Syndicat professionnel des quotidiens nationaux (SPQN) et de la société Audipresse, chargée des mesures d’audience de la presse[source insuffisante][Quand ?]. François Morinière est le premier président de l'Association des chaînes de télévision indépendantes (ACI)[14],[15],[16],[17], créée en 2014. De à , il est membre de la commission indépendante de gouvernance de la FIFA, organe consultatif composé de 12 personnes représentant les différentes parties prenantes du football, et dont le rôle fut de proposer et de superviser les réformes concernant la gouvernance de ce sport au niveau mondial[18],[19],[20]. Fin 2014, il rejoint la holding de la famille Hériard-Dubreuil (propriétaire notamment de Rémy Cointreau), pour devenir directeur général d’Oeneo[21],[22],[23],[24]. Le 1er octobre 2016, il quitte la direction générale pour prendre la présidence du conseil d'administration d'Oeneo. Il quitte Oeneo le 26 juillet 2017 après avoir présidé l'Assemblée Générale. Il rejoint le groupe Labruyère (holding familial spécialisée dans la viticulture, l’immobilier et l’entreprenariat[25]) le 1er octobre 2017 en tant que président du directoire[26]qu'il quitte fin octobre 2024. Il est l’auteur, avec sa femme et trois de ses enfants, du livre Et le Ciel devient familier[27], paru en mai 2015, qui relate le décès de sa fille Sophie, à l'âge de 21 ans, en Guyane, peu avant les JMJ de Rio en juillet 2013. Il est administrateur de la Fondation Saint-Irénée (Lyon)[Quand ?]. Il est administrateur du Collège des Bernardins de 2014 à 2021. Il est administrateur l'Agence France-Presse (AFP) de 2015 à 2022. Depuis octobre 2016, il est président des Entretiens de Valpré[28], rencontres économiques qui se tiennent sur le site de Valpré à Lyon, organisés par la congrégation des Augustins de l'Assomption (actionnaire du groupe Bayard). Il a été membre du conseil de surveillance et président du comité d'audit de Bayard de 2018 à 2024. Il est membre du comité d'audit du comité d'organisation des Jeux olympiques de Paris 2024. ll est membre du conseil d'administration de la Ligue de football professionnel (LFP) de 2020 à 2024. À partir de 2023, François Morinière est président du fonds de dotation de La Nuit du Bien Commun [29]. Il est nommé président du directoire du Groupe Bayard le [30]. Il nomme Alban du Rostu, l'ancien « bras droit » de Pierre-Edouard Stérin proche de la droite et de l'extrême droite, comme directeur de la stratégie et du développement[31]. Les salariés de Bayard décident le principe d'une grève, pour demander les annulations de la participation au rachat de l’ESJ Paris et l'arrivée d'Alban du Rostu en indiquant : « On ne veut pas de l’extrême droite à Bayard »[32]. Le 02 décembre, le Groupe Bayard annonce renoncer au recrutement d’Alban du Rostu et à sa participation au rachat de l’ESJ Paris[33]. Quelques jours plus tard, des auteurs phares du groupe Bayard demandent à l’actionnaire - la congrégation des Assomptionnistes - de désavouer François Morinière[34]. Distinctions
Notes et références
Liens externes
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