« La carrière de Houlié, bon praticien, ne fut pas celle d'un artiste reconnu, mais d'un architecte subalterne et courtisan" ...état qu'il partagea avec un de ses célèbres clients, Louis II du Bouchet de Sourches, pour qui il réalisa vers 1750 le mobilier du grand salon ou "Salon de Pékin" de son château d'Abondant.
En 1762, dans une lettre à l'Académie, il "aligne" les noms des familles princières les plus illustres, les Bouillon, les Turenne, les Marsan, les Guéméné, les Monaco, qui avaient apprécié son dévouement et sa probité. »
Hôtel Kinsky, no 53 rue Saint-Dominique, Paris (7e arrondissement) : « Houlié fut un moment l'architecte de la très exigeante princesse de Kinski, avant de s'effacer devant Charles Joachim Bénard à la fin de 1783. »[2]
↑ a et bMichel Gallet, Les Architectes parisiens du XVIIIe siècle, p. 269
Voir aussi
Sources
Michel Gallet, Les Architectes parisiens du XVIIIe siècle : Dictionnaire biographique et critique, Paris, Éditions Mengès, , 494 p. (ISBN2-85620-370-1)