Il meurt lors d'une opération militaire française menée contre sa forteresse de Médina par le colonel Rouvel diposant de 366 tirailleurs, 44 spahis, 3 pièces de canon et 600 auxiliaires[3]. Rouvel est soutenu par 400 cavaliers de Moussa Molo, dont le père était ennemi de Fodé Kaba, et d'un corps expéditionnaire britannique de 800 hommes du West India Regiment (WIR) et du Central African Regiment (CAR)[4].
↑Christian Roche, « Portraits de chefs casamançais du XIXe siècle », Outre-Mers. Revue d'histoire, , p. 451-467 (lire en ligne)
↑(en) Charles Joseph, « The Empire's Smallest Regiment: The Gambia Company of the West African Frontier Force, 1902-1958 », University of Calgary Master Thesis, , p. 34 (lire en ligne)
Christian Roche, « Les trois Fodé Kaba », in Notes africaines (Dakar), no 128, , p. 107-111
Christian Roche, « Les origines du diaxanké Fodé Kaba et ses premières campagnes (1818-1880) » (chap. 5) et « La lutte franco-britannique contre Fodé Kaba (1880-1901) » (chap. 6), in Histoire de la Casamance : Conquête et résistance 1850-1920, Karthala, 2000, p. 132-154 (Thèse Université de Paris I, remaniée) (ISBN2865371255)