Elle ne doit pas être confondue avec d’autres familles homonymes actuellement subsistantes.
Histoire
La famille de Valon était présente dans le Quercy, le Limousin, l'Auvergne. On trouve un chevalier croisé en 1248 portant le nom de Valon[1].
La filiation n'est toutefois prouvée que depuis Bernard de Valon en 1399 pour la branche de Valon du Boucheron qui sera appelée comme telle à partir de son arrière-petit-fils Bertrand. Cette branche se divisera elle-même en 2 branches : celle d'Ambrugeac et celle de Saint-Hippolyte[1].
La frère de Bernard, Raymond, sera l'auteur de la branche aînée de Valon qui s'éteindra plus tard.[réf. nécessaire]
La branche cadette de Saint-Hippolyte sera admise aux honneurs de la Cour pour les mêmes raisons en 1786[1].
La famille de Valon du Boucheron s'éteindra en cette dernière branche par les mâles. Le comte Bernard de Valon meurt en 1933 suivi par son frère cadet le comte René de Valon qui s'éteint en 1940 comme dernier membre de la famille. La branche d'Ambrugeac s'éteindra elle en 1898 en Charles de Valon du Boucheron d'Ambrugeac.
Cette famille aurait donné également une troisième branche, celle de Gigonzac-Saint-Amarand, toujours subsistante qui ne fut pas maintenue en 1666 et ne semble pas avoir comparu en 1789. Woëlmont estime que son rattachement n’est pas prouvé.
Marie-Françoise de Valon du Boucheron de Saint-Hippolyte (1787-1835) X (1812) Joseph de Lespinasse de Peybere(1785-1845)
Marie-Louise de Valon du Boucheron de Saint-Hippolyte (1798-?) X François de Braquilanges (1785-?)
Alliances
Les principales alliances de la famille sont : Bonafos (1380), de Miers (1398), Mourini (1400), de Beynette (1453), de Rochefort (1508), de Montclar (1526), de Pestels (1556), de Gozon (1560), de Rochefort de Saint-Angel (1579), de Soudeilles (1605), de Servières (1622), Le Loup (1640), de Charlus de La Borde (1648), de Chauvigny de Blot (1668), de Montrognon de Salvert (1670), d'Odet (1687), de Bessuéjouls (1701), de Ranconnet (1727), de Rabanide (1729), von Erlach (1766), de Douhet de La Fontête (1801), de Gaudechart (1809), de Lespinasse de Peybere (1812), von Thuillières (1832), de Saint-Cricq (1840), du Cambout de Coislin (1846), La Rochelambert (1846), Delessert (1847), de Castelbajac (1869), Dufresne de Saint-Léon (1883, 1885), Dornier (1926), Chainel de Nodi (1931), Barrachin, du Bosc, de Braquilanges, Briot de La Mallerie, de Grelon, de Guiscard, de La Roche-Aymon, de La Tour, de Lentilhac, de Loubartès, de Marbeuf, de Mascon, de Neuvic de Champiers, Ricard de Genouillac, de Roquemaurel, de Saint-Exupéry, de Turenne, de Tusseau, de Vimeur de Rochambeau.