Il est le directeur des programmes et des stages au sein de l'Organisation internationale de droit du développement à Rome, de 2004 à 2006, et dans le centre régional arabe de l'organisation basé au Caire, de 2006 à 2008[1].
Il devient un militant des droits de l'homme actif dans plusieurs associations nationales et internationales et au sein de multiples associations sportives et culturelles[1]. Il participe à plusieurs forums et conférences internationaux dans différents domaines, comme le droit constitutionnel et les sciences politiques[1].
Fadhel Moussa est par ailleurs membre du bureau politique de la Voie démocratique et sociale et son secrétaire national chargé des études et des initiatives juridiques et constitutionnelles. En novembre 2014, il démissionne de son parti pour consacrer son temps à la recherche scientifique[2].
À l'occasion des élections municipales de 2018, il annonce son retour à la vie politique[7] puis il préside la liste Al Afdhel (Le Meilleur) à l'Ariana[8],[9], qui arrive en tête selon des sondages à la sortie des urnes[10],[11]. Le 26 juin, il est élu à la tête du Conseil municipal[12].
Il compte à son actif plusieurs publications et études dont :
Fadhel Moussa, La Tunisie et le droit de la mer, Tunis, Imprimerie officielle de la République tunisienne, , 144 p. (OCLC8589350).
(ar + fr) Fadhel Moussa (dir.), Lexique des termes juridiques français-arabe, Carthage, Beït El Hikma, , 671 p.
Fadhel Moussa (dir.), La réforme de la justice administrative : les lois nos 38, 39 et 40 du 3 juin 1996, actes du colloque organisé du 27 au 29 novembre 1996, Tunis, Centre de publication universitaire, , 320 p. (OCLC40644550).
Hatem Mrad (dir.) et Fadhel Moussa (dir.), La transition démocratique à la lumière des expériences comparées : colloque international tenu le 5-6 et 7 mai 2011 à Tunis, Tunis, Université de Carthage, , 323 p. (OCLC949172312).
Collectif, Tunisie dix ans et dans dix ans, Tunis, Leaders, [14].