Si l’un des jours fériés tombe un dimanche, les personnes visées ont droit à un jour de congé compensatoire à prendre individuellement dans un délai de trois mois à partir de la date du jour férié en question. Ce jour de congé compensatoire doit être pris en nature et ne peut pas être remboursé par une compensation financière.
Histoire
Le , le Parlement luxembourgeois vote en faveur du projet de loi visant à instaurer la journée de l'Europe comme jour férié et à passer de 25 à 26 jours de congés légaux. Ces changements sont inscrits au Mémorial le suivant, la dernière hausse du nombre de jours de congés date de l’année 1975[2],[3].
En , une pétition à la Chambre vise à rendre férié la Saint-Nicolas. Célébrée le 6 décembre de chaque année, cette journée est aussi importante que Noël et permet d'ores et déjà aux élèves de l'école fondamentale à rester chez eux[4].
Fête nationale () : célébration publique de l’anniversaire du Grand-Duc.
Fêtes religieuses chrétiennes
Lundi de Pâques : date variable, Pâques tombe un dimanche compris entre le 22 mars et le 25 avril suivant un calcul se référant à la lune après le 21 mars ; célébration de la résurrection de Jésus.
Jeudi de l'Ascension (40 jours après Pâques) : date variable, fête commémorant la montée de Jésus au ciel.
Lundi de Pentecôte (50 jours après Pâques) : date variable, fête commémorant l'envoi de l'Esprit-Saint aux disciples et la naissance de l'Église.
Assomption () : fête célébrant la montée au ciel de Marie, mère de Jésus.
Noël () : fête célébrant la naissance de Jésus Christ ; la veille est consacrée au réveillon de Noël et la messe de minuit dans certains pays par les chrétiens.
Dimanche des Brandons (en luxembourgeois : Buergbrennen) : date variable, le premier dimanche après carnaval ; les Buergen (brandons) sont allumés à travers le Grand-Duché pour chasser l’hiver. Cette fête traditionnelle réunit chaque année des milliers de personnes[6].