Le texte ne doit pas être écrit en capitales (les noms de famille non plus), ni en gras, ni en italique, ni en « petit »…
Le gras n'est utilisé que pour surligner le titre de l'article dans l'introduction, une seule fois.
L'italique est rarement utilisé : mots en langue étrangère, titres d'œuvres, noms de bateaux, etc.
Les citations ne sont pas en italique mais en corps de texte normal. Elles sont entourées par des guillemets français : « et ».
Les listes à puces sont à éviter, des paragraphes rédigés étant largement préférés. Les tableaux sont à réserver à la présentation de données structurées (résultats, etc.).
Les appels de note de bas de page (petits chiffres en exposant, introduits par l'outil « Source ») sont à placer entre la fin de phrase et le point final[comme ça].
Les liens internes (vers d'autres articles de Wikipédia) sont à choisir avec parcimonie. Créez des liens vers des articles approfondissant le sujet. Les termes génériques sans rapport avec le sujet sont à éviter, ainsi que les répétitions de liens vers un même terme.
Les liens externes sont à placer uniquement dans une section « Liens externes », à la fin de l'article. Ces liens sont à choisir avec parcimonie suivant les règles définies. Si un lien sert de source à l'article, son insertion dans le texte est à faire par les notes de bas de page.
Errance sans retour (en anglais : Wandering, A Rohingya Story) est un long métrage documentaire québécois sorti en 2020 en festivals et en février 2021 en salle au Québec. Le film a été réalisé par Mélanie Carrier et Olivier Higgins, et produit par MÖ Films[1].
Certaines parties du film se sont retrouvées dans une exposition multimédia intitulée Errance sans retour présentée au Musée national des beaux-arts du Québec[2] situé à Québec. L'exposition représentait la situation de la crise rohingya. Elle incluait aussi, entre autres, des photographies de Renaud Philippe et des œuvres (des dioramas) de l'artiste Karine Giboulo[3].
Synopsis
En quelques mois, le camp de réfugiés de Kutupalong est devenu le plus peuplé du monde, abritant actuellement plus de 700 000 Rohingyas en exil.
Errance sans retour nous plonge dans la réalité de la vie de ce camp. C'est un documentaire immersif[4] et poétique où le drame côtoie la lumière. La poésie et les paroles du réfugié rohingya Kala Miya (Kalam) guident et éclairent dans les dédales de ce lieu qui semble s’être figé hors du temps et de l’espace[5].