En 1947, il publie son premier roman, La Porte qui s'ouvre (The Kiss of Death), adapté à trois reprises au cinéma. Ce roman « s'interroge sur les méthodes que police et magistrats utilisent pour condamner les truands »[1].
Ses trois romans suivants, Murder One en 1948, Haro sur O'Hara (The People Against O'Hara) en 1950 et Lincoln McKeever en 1952 sont « de la même veine »[1]. Haro sur O'Hara (The People Against O'Hara) est adapté en 1951 dans un film américain de John Sturges sous le titre français Le peuple accuse O'Hara. Selon Claude Mesplède, avec ce roman, « Lipsky s'affirme ici comme l'un des meilleurs représentants du « roman judiciaire » des années 1950 »[2].
The Kiss of Death (1947) (autre titre The Hoodlum)
Publié en français sous le titre La Porte qui s'ouvre, Paris, S.E.P.E., coll. « Soir-Police » (1950)
Murder One (1948)
The People Against O'Hara (1950)
Publié en français sous le titre Haro sur O'Hara, Paris, Éditions Mondiales, coll. « Le Basilic rouge » no 8 (1951)
Lincoln McKeever (1952), aussi titré Day of Judgement
The Scientists (1959)
The Devil's Daughter (1969)
Malpractice (1972)
Publié en français sous le titre Faute professionnelle, Paris, Éditions Robert Laffont, coll. « Best-Sellers » (1973)
Roman signé Dan Lynch
Four-Time Loser (1962)
Publié en français sous le titre C'est quelqu'un !, Paris, Plon, coll. « Nuit blanche » no 35 (1963) ; réédition, Paris, Presses de la Cité, coll. « Punch » no 81 (1977)