Edmund Jennings Randolph est le fils de John Randolph (loyaliste)(en) et d'Ariana Jennings. Leur maison s'appelait Tazewell Hall. La famille Jennings quitte l’Angleterre pour se rendre en Amérique au milieu du XVIIe siècle pour participer à la gestion juridique de la colonie. Son père, son oncle et son grand-père ont tous été avocats de la couronne britannique dans la colonie de Virginie. Le père d'Ariana était également avocat du roi dans la colonie du Maryland[1],[2],[3].
En 1776, il siège à la quatrième Convention de Virginie (Fourth Virginia Convention(en)), puis il est élu maire de Williamsburg et procureur général de Virginie[1],[2],[5].
En 1795, les Britanniques l'accusent de mener en secret une politique en faveur de la France, George Washington le convoque pour répondre à ces accusations, de colère Edmund Randolph démissionne[2].
Il retourne en Virginie où il se reconvertit comme avocat. Il plaide notamment en faveur d'Aaron Burr lord de son procès pour trahison[2].
Les archives d'Edmund Jennings Randolph sont consultables à la bibliothèque de Virginie[8].
« Edmund Randolph's Essay on the Revolutionary History of Virginia (1774-1782) », The Virginia Magazine of History and Biography, vol. 43, no 2, , p. 113+115-138 (25 pages) (lire en ligne),
« Edmund Randolph's Essay on the Revolutionary History of Virginia 1774-1782: The History of the Revolution », The Virginia Magazine of History and Biography, vol. 43, no 3, , p. 209-232 (24 pages) (lire en ligne),
« Edmund Randolph's Essay on the Revolutionary History of Virginia 1774-1782 (Continued) », The Virginia Magazine of History and Biography, vol. 43, no 4, , p. 294-315 (22 pages) (lire en ligne),
« Edmund Randolph's Essay on the Revolutionary History of Virginia 1774-1782 (Continued) », The Virginia Magazine of History and Biography, vol. 44, no 1, , p. 35-50 (16 pages) (lire en ligne),
« Edmund Randolph's Essay on the Revolutionary History of Virginia 1774-1782 », The Virginia Magazine of History and Biography, vol. 44, no 2, , p. 105-115 (11 pages) (lire en ligne),
« Edmund Randolph's Essay on the Revolutionary History of Virginia 1774-1782 (Continued) », The Virginia Magazine of History and Biography, vol. 44, no 3, , p. 223-231 (9 pages) (lire en ligne),
« Edmund Randolph's Essay on the Revolutionary History of Virginia 1774-1782 (Continued) », The Virginia Magazine of History and Biography, vol. 44, no 4, , p. 312-322 (11 pages) (lire en ligne),
« Edmund Randolph's Essay on the Revolutionary History of Virginia 1774-1782 (Concluded) », The Virginia Magazine of History and Biography, vol. 45, no 1, , p. 46-47 (2 pages) (lire en ligne)
Notices dans des encyclopédies et manuels de référence
(en-US) Suzanne Michele Bourgoin (dir.) et Paula K. Byers (dir.), Encyclopedia of World Biography, vol. 13 : Raffles-Schelling, Detroit, Michigan, Gale Research Inc. (réimpr. 2000, 2012, 2014) (1re éd. 1998), 527 p. (ISBN9780787625535, OCLC59424637, lire en ligne), p. 29-30,
« Edmund Randolph on the British Treaty, 1795 », The American Historical Review, vol. 12, no 3, , p. 587-599 (13 pages) (lire en ligne),
Irving Brant, « Edmund Randolph, Not Guilty! », The William and Mary Quarterly, vol. 7, no 2, , p. 179-198 (20 pages) (lire en ligne),
John M. Hemphill II, « Edmund Randolph Assumes Thomas Jefferson's Practice », The Virginia Magazine of History and Biography, vol. 67, no 2, , p. 170-171 (2 pages) (lire en ligne),
John Garry Clifford, « A Muddy Middle of the Road. The Politics of Edmund Randolph, 1790-1795 », The Virginia Magazine of History and Biography, vol. 80, no 3, , p. 286-311 (26 pages) (lire en ligne),
Mary K. Bonsteel Tachau, « George Washington and the Reputation of Edmund Randolph », The Journal of American History, vol. 73, no 1, , p. 15-34 (20 pages) (lire en ligne),
Kevin R. C. Gutzman, « Edmund Randolph and Virginia Constitutionalism », The Review of Politics, vol. 66, no 3, , p. 469-497 (29 pages) (lire en ligne),