En 1993, les nouvelles de Driftglass sont également publiées par l'éditeur Grafton à Londres dans un autre recueil, Driftglass/Starshards, qui rassemble d'autres nouvelles de Samuel R. Delany. Ce recueil est uniquement diffusé au Royaume-Uni[3].
Réception critique
Selon l'autrice britannique Jo Walton« S'il y a des thèmes [dans ce recueil] outre la compassion pour l'humanité, ce sont « la vie des travailleurs ordinaires dans l'avenir » et « des façons non conventionnelles de fonder des familles » »[4]. Le critique littéraire Austin Beeman, note avec intérêt que ces nouvelles sont écrites par le même auteur, Samuel Delany, entre 1967 et 1971 et définit ainsi son travail « Il s'inscrit dans le style de la science-fiction New wave, plus expérimentale, plus opaque et plus ouverte au sexe et au profane »[5].
Opalines [« Driftglass »] (trad. Yves HERSANT), Éditions OPTA, coll. « Galaxie / 2 » (no 50), (1re éd. 1967), 160 p. (lire en ligne)
(en-US) We, in Some Strange Power’s Employ, Move on a Rigorous Line (Cette histoire est dédiée à Roger Zelazny, comme pastiche de l'une de ses œuvres. Zelazny apparaît aussi comme personnage. "'Mon nom, est Roger...' suivi par quelque chose de Polonais et imprononçable qui commence par Z et finit par Y." (p. 141 version anglaise). Il est également fait référence à un pre-Internet sous le terme "a worldwide computer system." (p.155 version anglaise)), New York, Tor, coll. « Double romans », (1re éd. 1968), 84 p. (OCLC1152691667, lire en ligne)
Cage de cuivre [« Cage of Brass »] (trad. Frank STRASCHITZ), Éditions OPTA, coll. « Galaxie / 2 » (no 69), (1re éd. 1968), 160 p. (lire en ligne)
La Grande Barre [« High Weir »] (trad. Sylvie TISSIER), Éditions OPTA, coll. « Galaxie / 2 » (no 76), (1re éd. 1968), 160 p. (lire en ligne)