Discussion utilisateur:Gribeco/Février 2009http://fr.wikipedia.org/w/index.php?diff=37604517&oldid=37603483&rcid=37901185 bonjour,je suis neuf et j'ai pas tout compris dans l'utilisation de salebot et dans les mots :vandalisme ? qu'et-ce ? en tous cas, j'ai modifié la page Champigny à l'aide de documents du CG 94,du livre de J.Morlet que j'avais cité, et de visu car je n'ai pas sus faire le référencement.Si ma comprenette a toutefois un peu fonctionné, pique-nique n'est pas une insulte et l'île de Pissevinaigre c'est le nom de l'île. Sincérement et amicalement.
Liste des gouverneurs de la Guyanebonjour, il semble que la cause de cette annulation soit la présence de .... qui n'avaient pout but que d'aligner les noms de gouveneurs sans tenter d'entrer cette liste sous forme de tableaux qui sont lourds à manipuler. A vous de voir si cette information est utile ou non et peut faire avancer la qualité d'information du site. C'est quand même assez curieux de trouver la liste des gouverneurs de la Guyane française sur des sites en anglais et ne pas les trouver sur un site en français. Et voir cette liste supprimée quand on essaie de combler ce manque pour des questions de présence de pointillés dans la liste ...
bjr, peux tu m'aider a créer un article, car j'ai un peu de difficulté a m'orienter. merci de ton aide Site web interditBonjour, je te transfère le message que j'avais passé sur les pages protégées: Bonjour. Je souhaitais inclure un lien sur le site www.musicologie.org/Biographies/h/haydn.html pour l'intérêt iconographique, mais il est bloqué pour cause de pourriel?? Je ne comprends pas pourquoi compte tenu du contenu du site. Merci de vérifier la pertinence de cette mesure. Je n'ai d'ailleurs pas pu mettre ci-dessus le site sous forme de lien. --Priper (d) 5 février 2009 à 20:30 (CET) :Demander éventuellement à Gribeco, qui a inscrit \bmusicologie\.org le 17 octobre 2008 dans MediaWiki:Spam-blacklist, s'il se souvient des circonstances de cet ajout dans la liste noire locale. Je suppose qu'il ne l'a pas fait sans de très bonnes raisons. Cela étant, il reste toujours possible, ponctuellement, de faire un ajout en liste blanche, sur une URL précise et pour un article précis (je ne dis pas que c'est la solution, juste que c'est techniquement faisable, sans annuler la mise en liste noire). Hégésippe | ±Θ± 5 février 2009 à 20:37 (CET) Peux-tu éclairer ma lanterne? --Priper (d) 5 février 2009 à 22:23 (CET)
L'art d'enfoncer des portes ouvertesOn ne parle pas du genre d'une personne mais de son sexe. Le genre (masculin, féminin, neutre) est une notion grammaticale uniquement. Par exemple le mot "livre" est de genre masculin. Néanmoins il n'est pas de sexe masculin. Une femme est donc de sexe féminin et un homme de sexe masculin. Lynette Scavo est donc de sexe féminin. http://fr.wikipedia.org/w/index.php?diff=37729482&oldid=37274238&rcid=38028007
Et alors, comment faire ? Il pourrait réfléchir :) Ça pose un sérieux problème de vocabulaire en français. Une encyclopédie ne peut pas être au-dessus de la langue qu'elle utilise.
Il s'agit simplement d'une fausse manœuvre et pas d'un sabotage, quelle paranoïa
rejet abusifsalut dresseur de bot diff:http://fr.wikipedia.org/w/index.php?oldid=37842061&rcid=38142652 si c'est le gros mot "cul" qui pose probleme il est dans le titre du livre IkebanaJe vous ai laissé un message dans la rubrique discussion de l'article dédié à l'Ikebana. En complément voici une copie de l'e-mail expliquant les raisons d'une telle dichotomie. 9o9 (d) 9 février 2009 à 11:42 (CET)
Petit vandalismeSalut Gribeco. Je me suis dit que tu apprécierais. Voir les contributions du monsieur pour mieux comprendre. Voyons, patron, on ne peut plus s'amuser au "Rouge-gorge"?(Lacenaire, dans Les Enfants du Paradis. Le "Rouge-gorge" est un bistro). J'ai donc abusé de votre patience. Vous me donnerez bien une petite explication? Pas très cordialement, mais essayant quand même de me conformer au précepte: "contre mauvaise fortune...".Blogbreather (d) 10 février 2009 à 05:56 (CET) Je vais formuler une hypothèse audacieuce et vous allez voir un peu le délirant mégalomane: C'est exactement sur sa capacité à tolérer des conspiracy theorists, (ou des hurluberlus, comme vous voudrez), dans mon genre, qu'est en fait basé (en France, ailleurs je ne sais pas) le prestige de WP. Donc, dans l'intérêt des deux parties, je "vous" demande un peu de compréhension pour mon attitude, et de continuer à me tolérer un peu (mais c'est bien ce qui se passe!?!). Au reste, comme le poète "maudit", je ne comprends pas les lois, "c'est mon caractère", d'où la méthode expérimentale.("L'oeil rendu plus sombre par la paranoïa", "Litanies d'u[n] scribe",et "pas pour de la merde")Blogbreather (d) 13 février 2009 à 07:31 (CET) Révocation incessanteSalut Gribeco. Ça fait plusieurs fois que je tente de modifier un article pour mettre en place une simple redirection ( http://fr.wikipedia.org/w/index.php?diff=37920948&oldid=37853554&rcid=38222390 voilà le diff) et à chaque fois (ça doit bien être la quatrième de suite) Salbot l'annule sans explication sauf celle de vandalisme (que je ne saisis pas bien dans ma modif). Cette modif concerne un gouvernement espagnol et même si elle n'est pas indispensable, je la trouve nécessaire afin de coller au plus près de la réalité. Tu peux faire quelque chose pour moi ? Cordialement, Rachimbourg, le 11 février 2009 à 11h31 (CET)
Salebot on pt.wikipediaHi. Sorry for disturbing you. Unfortunately it seems pt:Usuário:Kim richard left portuguese Wikipedia. Can you tell me if this edit is correct? It seems he is not using it. Salebot should use pt:Usuário:Salebot/Lixo and not pt:Predefinição:Er1. This way sysops pay more attention. Thanks in advance. Mosca (d) 11 février 2009 à 12:40 (CET)
Besoin de révocation des contributions d'un botBonjour, Suite à une incompréhension sur une requête aux bots (voir Wikipédia:Bot/Requêtes/2009/02#STOP_.21), il faudrait annuler des ajouts de bandeau d'évaluation d'HerculeBot (d · c · b). Comme ton bot est spécialiste de ce genre de choses j'aimerai savoir si tu pouvais te charger de ces annulations. Les contributions à supprimer ont eu lieu entre le 11 février 2009, entre 19:53 et le 12 février à 01:21 (environ 2500 édits). Le commentaire de modification commence par "+ Wikiprojet Zoologie" et consiste en l'apposition de {{Wikiprojet Zoologie|importance=[...]}} Certains bandeaux ayant été complétés par des utilisateurs, je pense qu'il ne faut annuler l'ajout que si HerculeBot est le dernier contributeur sur la page Si cette tâche implique des modifications de ton bot je m'en chargerai moi même, mais il faudra pour cela que je m'écrive un nouveau code. C'est pour cela que je préfère vérifier d'abord si tu peux t'en charger. Cordialement, --Hercule Discuter 12 février 2009 à 12:06 (CET)
Tzipi LivniBonjour Gribeco, Je tiens à vous préciser que ma contribution à l'article sur Tzipi Livni [1] n'est pas du vandalisme ; il faut juste attendre la fin de la discussion pour remettre les propos. À bientôt ! Fabiendu76 (d) 12 février 2009 à 16:56 (CET) Score ?Salut Gribeco. Je me posais une question sur les détections suivantes : Utilisateur:Salebot/Journal/2009/02/12#bot : annonce de révocation sur Gabriel Pérès et Utilisateur:Salebot/Journal/2009/02/12#bot : annonce de révocation sur Gabriel Pérès 2. J'ai beau recompter, 3+3+3-1-3-1+1 ça ne fait ni -13 ni -26. Comme je vois écrit « (message tronqué) », je me dis qu'il ne doit pas y avoir l'explication complète de la détection. Dans ce cas, y a-t-il un moyen de la voir quelque part ? Autre chose : comment cela se fait-il que Salebot ait réverté une deuxième fois la même IP dans le même article (historique) contrairement à ce qu'il dit comme d'habitude dans le message ? Cordialement, — Delhovlyn • [discuter] – 12 février 2009 à 17:34 (CET) révocation 1
[vandalism] == +3 /==/ # Titre de section == +3 /==/ # Titre de section == Les recherches sur le métabolisme protidique à la Faculté des Sciences sous la direction de Daniel Cordier == +3 /==/ # Titre de section Dès 1949, Gabriel Pérès avait commencé au laboratoire de physiologie de la Faculté des Sciences des recherches sur les modifications subies par les protéines sériques à la suite de diverses agressions, notamment les brûlures et le choc traumatique. C'était le domaine d'étude de Daniel Cordier. Docteur vétérinaire, agrégé à l'Ecole d'Alfort, mais aussi élève d'André Mayer, professeur au Collège de France, Cordier avait étudié avant la guerre les modifications métaboliques induites par les changements des tensions des gaz dans l'air inspiré, reprenant ainsi les travaux initiés cinquante plus tôt par Paul Bert et ses élèves dans leurs mémorables recherches sur la pression barométrique. Cordier avait fait sienne la méthode d'analyse temporelle instituée par Paul Bert, qui consiste à étudier dans le temps les effets de chacun des facteurs susceptibles d'intervenir dans une condition expérimentale déterminée, en en faisant varier l'intensité et la durée d'application. Cette approche rigoureuse, si elle peut paraître fastidieuse aux non initiés, fut précisément celle que Gabriel Pérès, à son tour, conseilla à ses élèves. Cordier était ainsi parvenu à d'importantes conclusions sur l'acidose métabolique produite par l'asphyxie ou l'hypoxie, même si elle peut être masquée dans ce dernier cas en raison d'une phase initiale d'alcalose gazeuse liée à l'élimination exagérée d'anhydride carbonique qu'entraîne l'hyperventilation réflexe induite par l'hypoxie. D'autre part, Cordier, en sa qualité de vétérinaire militaire, avait effectué à la Poudrerie du Bouchet, près de Vert-le-Petit, des travaux importants sur les phénomènes pathologiques consécutifs à l'inhalation des gaz de combat. En 1940, au moment de l'armistice, il avait gagné l'Angleterre et trouvé refuge à Cambridge, où il put poursuivre des recherches physiologiques en rapport avec les exigences de la guerre, tout en établissant des liens personnels avec la célèbre école des physiologistes de Cambridge, à commencer par Barcroft. De retour en France, Cordier fut nommé en 1945 Professeur de Physiologie à la Faculté des Sciences de Lyon, dans la chaire laissée vacante par le décès de Henry Cardot (1886-1942), et réussit, en dépit des difficultés de l'après-guerre, à remettre en route non seulement le laboratoire lyonnais, dont Emile Terroine, professeur de physiologie à Strasbourg replié à Lyon, avait assuré la gestion par intérim, mais aussi le Laboratoire maritime de Physiologie de Tamaris, entièrement dévasté par la guerre.6 -1 /\bnon\b/ # "non" dans un article -3 /[^A-Z]{300}/ # Longue section sans majuscules -1 /[^\.\?,;:|\(\)"«»]{200}/ # Longue section sans ponctuation +1 /^[A-Z][a-z].*[.?]\b/ # ligne commençant par une majuscule Sous la direction de Cordier, Gabriel Pérès commença par étudier les modifications du spectre d'absorption du sérum sanguin dans l'ultraviolet. Lorsque ce travail fut entrepris, c'était une approche fort originale, d'autant plus que rares étaient à l'époque les laboratoires français dotés du fameux spectrophotomètre DU mis au point en Californie par Arnold Beckman en 1942. La suite logique de l'étude était le dosage quantitatif des protéines sériques, et Peres l'entreprit chez le rat, soumis à divers types d'agression ou de modifications des gaz inspirés. Compte tenu du rôle exercé par les glandes surrénales dans la protection de l'organisme vis à vis des agressions, établi en particulier par les travaux de Hans Selye (1907¬1982), qui ne manqua d'ailleurs pas de citer ultérieurement ses travaux, G. Pérès examina les effets de la privation des surrénales, ou surrénalectomie. En s'appuyant sur les travaux d'Arthur Grollman (1901-1980), il réussit à mettre au point un breuvage salin de composition définie qui assurait la survie des animaux surrénalectomisés, ce qui permettait une comparaison valable avec l'effet des traitements par les hormones corticostéroïdes administrées aux animaux opérés ou intacts. Parmi les résultats de cette importante série de recherches, qui furent présentés dans une thèse de doctorat soutenue en 1955, on doit citer la baisse de la protéinémie totale provoquée par divers types de chocs ou par le manque d'oxygène, phénomène qui n'apparaît pas chez les animaux surrénalectomisés. C'était l'indice d'une augmentation du catabolisme protidique dans les conditions mises en jeu, et de l'intervention des surrénales, et il en poursuivit dès lors l'étude en procédant au dosage des acides aminés sanguins, qui se trouvèrent, comme prévu, en forte augmentation. C'est alors que Gabriel Pérès m'associa, de 1957 à 1960, à ses recherches sur les effets métaboliques des tensions gazeuses. Par la suite, après la disparition de Cordier, il nous confia, à ma femme et moi-même, la poursuite de cette recherche ; nous fumes ainsi amenés à reprendre l'étude dumétabolisme des acides aminés, en employant des techniques de séparation et de dosage par électrophorèse ou par chromatographie, et en procédant à des investigations sur les enzymes qui effectuent les réactions métaboliques. Ceci nous a permis de tester certaines des hypothèses élaborées. -1 /ez\b/ # 2e personne pluriel dans un article -1 /\b(ma|mon|mes|moi)\b/ # "ma, mon, mes, moi" dans un article -1 /\bnous\b/ # "nous" dans un article -3 /[^A-Z]{300}/ # Longue section sans majuscules Une intéressante conséquence des recherches effectuées à Lyon sur les effets des brûlures et du manque d'oxygène fut l'étude des effets physiologiques de l'altitude, envisagée isolément ou associée aux radiations solaires. Les expériences furent menées par Gabriel Pérès dans un chalet dont il avait fait l'acquisition aux Terrasses, au dessus de la Grave, à 1800 m d'altitude. Pour les réaliser, il fallait emmener de Lyon aux Terrasses les animaux aussi bien que le matériel nécessaire pour les expériences, en particulier une petite centrifugeuse mue manuellement, pour séparer le plasma sanguin. Fait plus remarquable, Gabriel Pérès n'hésita pas à monter, sur son dos, les animaux d'expérience encore plus haut, dans un refuge sis à 3450 m. Comparativement, des essais furent réalisés à Lyon dans un caisson à dépression provenant des surplus américains. G. Pérès étudia non seulement les constituants sanguins mais également le transit gastrique et l'absorption intestinale du glucose, qui étaient deux des thèmes de recherche du laboratoire de Daniel Cordier. Les effets des radiations solaires furent tout spécialement étudiés, ainsi que le rôle protecteur des hormones surrénal i ennes. -1 /\bnon\b/ # "non" dans un article == Gabriel Pérès succède à Cordier dans la Chaire de Physiologie générale et comparée == +3 /==/ # Titre de section Nommé Maître de Conférences en 1959, à la suite du transfert à Grenoble de Georges Dessaux dans une chaire de Physiologie nouvellement instituée à la Faculté des Sciences, Gabriel Pérès entreprit l'étude des effets métaboliques exercés par une hormone surrénalienne qui avait été isolée quelques années auparavant par Thaddeus Reichstein (1897-1996), et que l'on connaissait encore assez mal, l'aldostérone. Par ailleurs, il initia une recherche sur les effets métaboliques de l'a-tocophéryl-quinone, un analogue structural du tocophérol, ou vitamine E. Là encore, la bibliographie était clairsemée et les résultats obtenus par les divers auteurs remplis de contradictions. Il s'imposait de procéder à une enquête conduite en faisant varier méthodiquement les conditions expérimentales. C'est ce que Gabriel Pérès réalisa avec la coopération active de deux spécialistes des vitamines, biochimistes formés à l'école de Paul Meunier (1908-1954), j'ai nommé Jacques Jouanneteau, disparu hélas il y a quelques années, et Georges Zwingelstein, toujours actif à Tamaris. Ce fut le début d'une longue et fructueuse collaboration, et compte tenu de l'orientation physiologique que ces deux chercheurs souhaitaient donner à leur recherche, ils rejoignirent par la suite le laboratoire de Physiologie générale et comparée. A ces travaux sur le tocophérol fut aussi associé un peu plus tard notre ami Gérard Brichon, qui fit là ses premières armes de physiologiste. Entre temps, Gabriel Pérès s'était trouvé amené à prendre la direction du laboratoire, à la suite du décès inopiné du Professeur Daniel Cordier, en octobre 1960. -1 /ez\b/ # 2e personne pluriel dans un article -1 /\b(je|j')\b/i; # "je" dans un article (erreur possible : titre de chanson) La chaire de Physiologie générale et comparée que Gabriel Pérès occupa à partir de l'automne 1961, créée par une loi de 1883 dont Paul Bert fut le rapporteur, fut longtemps la seule de ce genre dans une Faculté des Sciences. Saturnin Arloing, élève de Chauveau, en fut le premier titulaire. Bientôt il remplaça son maître, et la chaire échut à un élève de Paul Bert, Raphaël Dubois, qui l'occupa à partir de 1887. La Faculté des Sciences de Lyon avait jusqu'alors été logée dans les combles du Palais Saint-Pierre. La politique de réanimation universitaire lancée par la Sème République, en réaction à la défaite subie devant l'Allemagne en 1870, se traduisait, entre autres choses, par la construction de palais universitaires. Celui de Lyon, édifié sur les terrains de la Vitriolerie, quai Claude Bernard, se trouvait alors en cours d'aménagement, si bien que Dubois arriva juste à temps pour obtenir l'attribution de locaux assez satisfaisants pour l'enseignement pratique et la recherche en physiologie. C'est dans ces locaux que Dubois et ses successeurs, Couvreur, Cardot et Cordier, ont officié pendant quatre-vingt ans. Il devait revenir à Gabriel Pérès de présider au transfert du laboratoire sur le campus universitaire de la Doua, à Villeurbanne, non sans rencontrer bien des difficultés de la part des services financiers de l'administration centrale, et plus encore de certains collègues peu enclins à attribuer des locaux aux disciplines jusqu'alors ignorées par les programmes. -1 /ez\b/ # 2e personne pluriel dans un article -1 /\bnon\b/ # "non" dans un article Car la physiologie commençait enfin à occuper en France, dans les cursus scientifiques, la place qui lui revenait. L'ancienne licence ès-sciences naturelles composée de trois certificats, telle qu'elle avait été définie par des arrêtés ministériel de 1896, où la physiologie animale n'était qu'optionnelle, avait cédé la place en 1958 à des licences nouvelles, tant pour l'enseignement que pour la recherche, dans la composition desquelles cette discipline figurait obligatoirement. En 1966, une nouvelle réforme, première d'une longue série, modifia le premier cycle, désormais étalé sur deux ans, et y introduisit la physiologie (ainsi que la biochimie et la génétique). Simultanément, la psychologie se trouvait détachée de la philosophie, et faisait appel à la psychophysiologie, rarement offerte jusqu'alors en France (des tentatives lyonnaises, dues la première à Raphaël Dubois, la seconde à Daniel Cordier, avaient été vite étouffées). La mise en place de ces réformes exigeait l'attribution de moyens nouveaux, tant en locaux qu'en personnels. L'effectif du laboratoire s'accrut rapidement, la psychophysiologie, créée en 1960 et placée sous la responsabilité de Jacques Chanel, un autre élève de Daniel Cordier, prit son indépendance, avec le soutien actif de Gabriel Pérès qui dut patiemment convaincre de l'opportunité de cette mesure tel ou tel de ses collègues plus âgés (entre autres le physicien Georges Déjardin, foncièrement hostile à la multiplication des chaires). -3 /[^A-Z]{300}/ # Longue section sans majuscules Ce n'était pas tout de réunir des moyens. On s'aperçut rapidement que la démocratisation de l'enseignement physiologique et l'augmentation des effectifs nécessitaient une refonte de l'approche didactique. Les jeunes enseignants s'attelèrent avec enthousiasme à cette tâche, réussirent à faire exécuter par les étudiants, plus nombreux d'année en année, un programme ambitieux de manipulations, les unes classiques, et peut-être d'autant mieux formatrices, les autres résolument modernisées ; ils s'inspirèrent des méthodes décrites dans les manuels anglais ou américains pour amener les élèves à construire eux mêmes leurs plans d'expérience, et réaliser l'analyse critique de leurs résultats. Ils furent encouragés par le Professeur Pérès, qui institua des travaux dirigés, précédant de plusieurs années l'établissement officiel de ce type d'enseignement, et obtint pour ce faire, dès 1962, du Doyen Jean Braconnier, la création pour ses collaborateurs de deux postes de Maîtres Assistants, prélude à plusieurs autres. -3 /[^A-Z]{300}/ # Longue section sans majuscules Gabriel Pérès suivait l'exemple de ses maîtres, en préparant son enseignement très minutieusement. A l'ancien cours magistral à la Cordier, très documenté, certes, mais parfois un peu théâtral, et entièrement laissé à la discrétion du professeur, il substitua des cours établis selon un plan communiqué préalablement aux étudiants, assorti de planches anatomiques établies par ses soins, et respectant scrupuleusement le programme. C'était sérieux, ardu parfois, mais efficace, comme en témoignent le succès des étudiants lyonnais aux concours de recrutement. Bientôt il fut en mesure de proposer la création d'enseignements nouveaux, portant notamment sur la physiologie des animaux marins, qui, avec d'autres établis ultérieurement, ont conféré son originalité et son efficacité aux enseignements lyonnais de la physiologie. Le Professeur Pérès, conscient de ses devoirs envers les étudiants, les recevait volontiers, les acceptait comme stagiaires ou chercheurs à Lyon ou à Tamaris. Combien de mémoires de diplômes ou de thèses sont-ils sortis des deux laboratoires ? Bien plus, il se préoccupait de leur avenir, et plus d'un lui dut sa situation. Faut-il le dire ? cette attention portée à l'enseignement n'est pas toujours à l'honneur dans les établissements universitaires, et si elle a valu à Gabriel Pérès et à ses collaborateurs la gratitude de maint ancien élève, elle n'a guère été appréciée favorablement par ses pairs. -3 /[^A-Z]{300}/ # Longue section sans majuscules Prenant la responsabilité d'une équipe dont les thèmes de recherches avaient été définis par Cordier, mais qui l'intéressaient personnellement à plus d'un titre, Gabriel Pérès sut fournir des moyens de travail aux anciens de la maison, recruter rapidement des maîtres de conférences qui assumèrent à ses côtés une partie des tâches d'enseignement magistral et de direction de recherche — mentionnons tout spécialement Robert Fontanges, spécialiste de la physiologie microbienne et de l'immuno-physiologie, ainsi que Jeanne Françoise Worbe, elle aussi ancienne élève de Daniel Cordier, qui développa une recherche originale sur le métabolisme glucidique — et également engager certains jeunes chercheurs du laboratoire sur des sujets nouveaux, qui lui paraissaient prometteurs : outre les travaux sur la physiologie des poissons sur lesquels je me propose de revenir, je citerai les effets physiologiques des ondes laser, étudiés par Pierre Deschaux, ceux du rayonnement ultraviolet, par Jacques Dumas, ceux de l'hyperoxie hyperbare — un sujet qui avait été exploré pour la première fois par Paul Bert, surpris par la toxicité de l'oxygène pur sous forte pression et complétait les recherches précédemment entreprises au laboratoire — les mécanismes de l'absorption intestinale des sucres, qui ont fait l'objet de la thèse de Gabriel Crouzoulon, le métabolisme du silicium, sujet très original apporté au laboratoire par Yolande Charnot. Celle-ci le tenait de son père, Abel Charnot (1897-1970), pharmacien militaire établi au Maroc, qui avait reçu à Lyon sa formation scientifique car il avait préparé aux côtés du Pharmacien Colonel Albert Leullier, professeur à la Faculté de Médecine et Pharmacie, et sous la direction d'Edmond Couvreur, - alors titulaire de la chaire de physiologie générale et comparée, sa thèse de doctorat ès- sciences soutenue en 1925 et intitulée : Contribution à l'étude du sang de l'Ilelix pomatia. Abel Charnot s'était intéressé aux troubles du métabolisme calcique présentés par les sujets vivant dans les zones où se trouvent les gisements de phosphate. Généralisant ses observations sur les changements affectant le silicium du sang et des tissus dans divers états pathologiques, il s'était trouvé conduit à instituer des traitements à base de silicium organique, seul ou associé au potassium, en vue de régulariser le métabolisme calcique.' Gabriel Pérès, qui avait effectué des recherches expérimentales sur la calcémie et dont la seconde thèse de doctorat ès-sciences avait précisément porté sur la régulation de la calcémie chez les mammifères, ne pouvait qu'être intéressé par ce sujet ; il n'hésita pas à encourager Yolande Charnot dans la poursuite de cette recherche, qui donna lieu à de nombreuses publications sous leur signature, et leur valut l'honneur de participer à un Symposium Nobel sur le silicium tenu en 1977 à Stockholm, à un moment où peu de chercheurs, en France, mesuraient l'intérêt de telles recherches.8 Aujourd'hui, qui n'a recours aux gélules de prêle ou au silicium organique pour soigner ses articulations défaillantes, même si le plus souvent les noms des initiateurs français de ces recherches se trouvent, scandaleusement, passés sous silence ? -1 /ez\b/ # 2e personne pluriel dans un article -1 /\b(je|j')\b/i; # "je" dans un article (erreur possible : titre de chanson) -3 /\bje (me|m')\b/ -3 /[^A-Z]{300}/ # Longue section sans majuscules +1 /^[A-Z][a-z].*[.?]\b/ # ligne commençant par une majuscule En 1984, Gabriel Pérès, tout en continuant d'assurer certains enseignements, en particulier sur les animaux marins, décida de se décharger dorénavant des enseignements d'endocrinologie qu'il délivrait à Lyon dans la maîtrise de physiologie, dont la responsabilité m'avait été confiée une dizaine d'années auparavant, et de confier la direction de son laboratoire lyonnais à Georges Zwingelstein, devenu Directeur de recherches au CNRS. En effet, outre les lourdes tâches qu'il assumait à Lyon, et dont je viens de donner un aperçu, Gabriel Pérès s'occupait très activement depuis 1961 de la direction du Laboratoire maritime de Tamaris, dont je vais maintenant parler, et il reconnut la nécessité de se consacrer désormais exclusivement à cette dernière fonction. -1 /\b(je|j')\b/i; # "je" dans un article (erreur possible : titre de chanson) == Le Directeur de l'Institut Michel Pacha == +3 /==/ # Titre de section Lorsqu'il devint titulaire de la Chaire de Physiologie comparée, Gabriel Pérès devint du même coup le directeur de ce que l'on nommait alors la Station maritime de Biologie de Tamaris. Sis dans la baie du Lazaret, qui s'ouvre sur la baie de Toulon, un bâtiment de style mauresque abrite depuis 1900 le laboratoire maritime de physiologie construit pour une large part grâce au don généreux de Michel Pacha, qui, en 1890, offrit à l'Université de Lyon, à la prière de Raphaël Dubois, le terrain et les matériaux nécessaires à la construction, sous la condition que le nouveau laboratoire maritime serait affecté aux recherches physiologiques et constituerait une annexe de la chaire de physiologie générale. Raphaël Dubois (1849-1929) réunissait la triple qualification de pharmacien, de médecin et de naturaliste. Je ne puis détailler ici les titres scientifiques éminents de Raphaël Dubois, auquel G. Pérès a consacré deux communications substantielles à l'Académie du Var.9 Qu'il me suffise de rappeler que, préparateur de Paul Bert à la Sorbonne, il l'assistait dans la réalisation de ses expériences sur l'anesthésie, et il avait entrepris simultanément l'étude de la biophotogénèse chez les animaux luminescents, étude qui lui fournit la matière de sa thèse de doctorat ès-sciences. Il découvrit le mécanisme intime du phénomène, montrant que la production de lumière était due à l'action d'un ferment, qu'il nomma luciférase, sur un substrat particulier, la luciférine. Les organismes lumineux sont nombreux chez les êtres qui vivent dans le milieu marin, et Dubois était pleinement conscient, tout comme son maître Paul Bert, du reste, de tout ce que le physiologiste peut espérer d'un laboratoire spécialement équipé pour les recherches physiologiques portant sur ces organismes. Dubois, qui parvint peu à peu à passer le plus clair de son temps à Tamaris, y travailla pratiquement jusqu'à sa mort, survenue en janvier 1929, trois jours après sa dernière communication. -1 /ez\b/ # 2e personne pluriel dans un article -1 /\b(je|j')\b/i; # "je" dans un article (erreur possible : titre de chanson) +1 /^[A-Z][a-z].*[.?]\b/ # ligne commençant par une majuscule En effet, sitôt nommé, Gabriel Pérès, qui jusqu'alors avait été tenu à l'écart de Tamaris (nous avons vu qu'il travaillait aux Terrasses pendant l'été), décida de redonner vie à la station, et de l'ouvrir désormais de façon permanente. Il réussit à en conserver la maîtrise, malgré les convoitises de certain collègue lyonnais qui souhaitait occuper tout ou partie de la station et avait projeté de s'approprier ses moyens en personnels et en matériels (y compris les bateaux de pêche et la bibliothèque !) II y vint régulièrement lui-même, il obtint de certains de ses collaborateurs qu'ils y fassent des séjours prolongés, jusqu'au moment où un universitaire résida en permanence au laboratoire (ce fut d'abord Maurice Buclon, puis Gérard Brichon), il y organisa des stages d'étudiants, qui donnèrent naissance plus tard à des certificats spécialisés, il y accueillit des collègues français et étrangers, nouant avec plusieurs de ceux-ci de fructueuses collaborations (citons Ion Motelica, Robert Crane ainsi qu'Ernest Schoffeniels et ses collaborateurs, ou encore Wanda Leyko, de Cracovie, et bien d'autres). La création d'un périodique scientifique, les Annales de l'Institut Michel Pacha, suivie de celle des Acta Ichthyophysiologica, permit l'enrichissement rapide de la bibliothèque de l'Institut par échange avec d'autres revues similaires. Gabriel Pérès obtint du recteur Louis des travaux d'aménagement puis la construction d'un nouveau bâtiment inauguré le 28 décembre 1968 qui abrite un vivier bien équipé, un grand laboratoire de recherche ainsi qu'un petit bâtiment pour le logement des étudiants participant aux stages. Il put également obtenir en 1965 du CNRS les crédits nécessaires pour la construction d'un bateau, le Professeur Raphaël Dubois, appelé à remplacer La Ville de Lyon, une embarcation légère acquise bien avant la guerre. Enfin, il engagea une active politique de collaboration avec les organismes de recherche qui s'implantèrent dans la région, le CNEXO, le Centre d'études et de recherches biologiques de la Marine (CERBM), la Fondation Océanographique Paul Ricard, puis l'Université de Toulon et du Var, pour n'en citer que quelques uns. -1 /\bnous\b/ # "nous" dans un article Pour expliciter durablement la vocation de la station, Gabriel Pérès lui fit donner le nom d'Institut Michel Pacha (Laboratoire maritime de physiologie) qui aurait dû être le sien à l'origine. Même si les bouleversements administratifs qui suivirent la réforme des Universités après la crise de mai 68 ont parfois entravé la réalisation des travaux nécessaires à l'entretien correct du laboratoire — mais Tamaris n'a pas été la seule victime de l'incurie administrative vis-à-vis des bâtiments universitaires — les efforts constants de Gabriel Pérès puis de son élève et successeur Gérard Brichon, l'actuel directeur, auquel il transmit le flambeau le ter janvier 1988, ont réussi à maintenir intact le potentiel de l'Institut. -1 /[^\.\?,;:|\(\)"«»]{200}/ # Longue section sans ponctuation Lorsque l'on consulte la Notice de travaux établie par Gabriel Pérès peu avant son départ à la retraite (ler septembre 1989), on est frappé de l'importance qu'ont prise progressivement les sujets de recherches portant sur les animaux aquatiques, alors que cette rubrique était absente de l'Exposé de titres préparé en 1961. Ayant pris conseil auprès de spécialistes de la physiologie et de la biologie des Poissons, notamment de Maurice Fontaine, professeur au Muséum, et directeur de l'Institut Océanographique de Paris, il consacra une part de plus en plus grande de son activité scientifique à la physiologie des animaux aquatiques, qu'ils soient marins ou habitants des eaux douces. D'abord il encourage les élèves de son prédécesseur qui ont commencé des recherches dans ce domaine, par exemple Renée Bange-Barnoud sur le métabolisme protidique, et Andrée Demael, qui mène à bien une thèse sur les particularités du contrôle endocrinien du métabolisme glucidique chez la Tanche, en réponse aux conditions du milieu ; elle sera rejointe par Daniel Garin, qui contribue à affiner par la méthode des traceurs isotopiques l'étude des métabolismes organiques. D'autre part, il encourage des chercheurs à étudier l'absorption intestinale : je pense aux premières recherches de Maurice Buclon, qui ont démarré à son initiative, aux beaux travaux de Béchir Tritar, de Tunis, sur l'absorption intestinale des acides aminés chez les Céphalopodes et les Amphibiens, trop tôt interrompus par la disparition de cet excellent collègue, ou à ceux de Gérard Bogé, -1 /ez\b/ # 2e personne pluriel dans un article -1 /\b(je|j')\b/i; # "je" dans un article (erreur possible : titre de chanson) effectués tant au niveau de l'organisme entier que sur des cellules isolées, avec de multiples voies d'approche, notamment une technique originale de vésicules de bordure en brosse d'entérocytes. Il aide grandement Madame Peyrin, chercheur du CNRS chez le Professeur André Cier, à étudier la biosynthèse des amines biologiques et le rôle des corps axillaires chez les Poissons. Et il amorce chez les animaux aquatiques une étude comparative des effets métaboliques des changements affectant la composition du milieu, d'abord en ce qui concerne la composition gazeuse, puis surtout la composition ionique, et c'est tout un ensemble de travaux importants que Georges Zwingelstein va entreprendre avec une solide équipe, en portant une attention toute particulière sur le métabolisme lipidique : les lipides faisaient un peu le rôle de parent pauvre des études métaboliques effectuées chez les animaux marins. La biogenèse et le métabolisme des lipides complexes, et leur rôle dans l'osmorégulation, les processus de méthylation et la perméabilité membranaire dans divers tissus vont faire l'objet des persévérantes recherches de Zwingelstein, Gérard Brichon, et leurs collaborateurs, qui se poursuivent avec fruit jusqu'à ce jour, contribuant à la notoriété internationale de l'Institut Michel Pacha, et donnant lieu à de multiples et étroites collaborations avec plusieurs laboratoires américains. -1 /ez\b/ # 2e personne pluriel dans un article == De l'écophysiologie à l'écotoxicologie == +3 /==/ # Titre de section •Les préoccupations des hommes de science, puis des décideurs politiques, relatives à l'avenir des espèces, menacées par les modifications du milieu ambiant entraînées par les activités humaines, ont ouvert au cours de la deuxième moitié du XXème siècle un nouveau domaine d'investigations physiologiques dont la portée est double : il s'agit d'une part d'étudier précisément les fonctions qui permettent aux êtres vivants de s'accommoder des conditions de vie que leur impose le milieu ambiant et de réagir à leurs modifications ; d'autre part, de mettre à profit les données ainsi acquises pour évaluer les risques que certaines activités humaines font peser sur la biosphère. Or l'école lyonnaise avait à son actif une bonne connaissance des mécanismes adaptatifs à l'étude desquels se trouvait voué depuis Cordier l'essentiel de son activité scientifique, et cela chez des organismes aquatiques des plus variés. Gabriel Pérès était d'autant plus à même de s'investir dans ce dernier champ d'étude qu'il pouvait en outre se prévaloir de sa double formation initiale de vétérinaire et de scientifique. D'ailleurs, le domaine ne lui était pas totalement étranger, puisque dès 1953, il avait supervisé au laboratoire de physiologie de la Faculté des Sciences la thèse de doctorat vétérinaire d'André Dubus rapportant Quelques données sur l'utilisation des Poissons comme réactifs biologiques. -1 /ez\b/ # 2e personne pluriel dans un article -3 /[^A-Z]{300}/ # Longue section sans majuscules -1 /[^\.\?,;:|\(\)"«»]{200}/ # Longue section sans ponctuation Certes, en provoquant des changements dans les conditions du milieu, les chercheurs lyonnais visaient avant tout à démasquer les mécanismes régulateurs qui assurent en permanence chez les animaux supérieurs le maintien de l'homéostasie et leur permettent ainsi de mener, selon la célèbre expression de Claude Bernard, une vie libre et indépendante. Mais en dépit de leur orientation fondamentale, ces chercheurs n'étaient pas indifférents aux retombées pratiques que comportaient leurs travaux : lorsque l'on étudie les effets des changements de température ou de salinité du milieu, les applications sont évidentes, et les institutions publiques ou privées intéressées se révèlent prêtes, sous certaines conditions, à épauler les chercheurs. C'est ainsi que naquit d'abord une série de recherches effectuées chez les poissons d'eau douce sur l'influence de l'augmentation de la température de l'eau provoquée par le fonctionnement des centrales nucléaires, recherches qui furent soutenues par EDF et donnèrent lieu à des rapports publiés dans les Cahiers de Montereau. -1 /ez\b/ # 2e personne pluriel dans un article -3 /[^A-Z]{300}/ # Longue section sans majuscules -1 /[^\.\?,;:|\(\)"«»]{200}/ # Longue section sans ponctuation A côté des modifications physiques affectant le milieu ambiant, les modifications de nature chimique, celle de la salinité du milieu marin et surtout le déversement de substances éventuellement toxiques dans les milieux aquatiques par les entreprises industrielles, posaient des questions épineuses, qui commencèrent d'être activement étudiées par Gabriel Pérès et plusieurs de ses collaborateurs : c'est l'influence des sels de plomb sur divers mécanismes physiologiques qui retint d'abord leur attention (Bogé et Rigal, 1974, Demael 1975), puis le méthyl-mercure (Bogé et Rigal, 1980), le chrome, cependant que s'imposait le recours aux poissons, très sensibles à la pollution, comme organismes détecteurs. Pour cela, la littérature étrangère, qui dans les années 70 était presque exclusivement d'origine anglo-saxonne, proposait des espèces dont il fallait valider l'emploi dans notre pays ; d'autres espèces mieux adaptées aux conditions régnant en France méritaient d'être repérées ; à côté des méthodes fondées sur l'estimation de la seule létalité, il convenait d'adjoindre des mesures biochimiques rendant mieux compte des effets toxiques engendrés par les polluants. En outre, il s'imposait d'établir des méthodes de substitution in vitro, épargnant le recours aux animaux vivants. C'est à cette tâche multiforme que Gabriel Pérès n'a pas hésité à s'atteler, en en faisant le sujet pour ainsi dire exclusif de ses propres travaux à partir du moment où il se fixa à Tamaris. Il resserra sa collaboration scientifique avec les chercheurs de l'école polonaise, à la suite de laquelle il introduisit l'étude de certaines activités enzymatiques présentes dans les globules rouges (superoxyde dismutase et catalase plus particulièrement), qui donnèrent lieu à de fructueuses recherches avec Gérard Brichon, ainsi qu'avec Hélène Roche et plusieurs doctorants jusqu'au départ de Madame Roche dans la région parisienne en 1995. -3 /[^A-Z]{300}/ # Longue section sans majuscules [Summary] _MESSAGES_ "non" dans un article ; "je" dans un article (erreur possible : titre de chanson) ; Longue section sans ponctuation ; "ma, mon, mes, moi" dans un article ; "nous" dans un article ; message personnel dans un article encyclopédique ; 2e personne pluriel dans un article ; Longue section sans majuscules Analyse du contenu (vandalisme, spam, erreurs, mort) : -33, 0, 0, 0 gros ajout : +20 total précédent : 0 nouveau total : -13 Révocation précédente par des humains : nouveau score = -13, nouveau seuil = -6 révocation 2
[vandalism] == +3 /==/ # Titre de section == +3 /==/ # Titre de section == Les recherches sur le métabolisme protidique à la Faculté des Sciences sous la direction de Daniel Cordier == +3 /==/ # Titre de section Dès 1949, Gabriel Pérès avait commencé au laboratoire de physiologie de la Faculté des Sciences des recherches sur les modifications subies par les protéines sériques à la suite de diverses agressions, notamment les brûlures et le choc traumatique. C'était le domaine d'étude de Daniel Cordier. Docteur vétérinaire, agrégé à l'Ecole d'Alfort, mais aussi élève d'André Mayer, professeur au Collège de France, Cordier avait étudié avant la guerre les modifications métaboliques induites par les changements des tensions des gaz dans l'air inspiré, reprenant ainsi les travaux initiés cinquante plus tôt par Paul Bert et ses élèves dans leurs mémorables recherches sur la pression barométrique. Cordier avait fait sienne la méthode d'analyse temporelle instituée par Paul Bert, qui consiste à étudier dans le temps les effets de chacun des facteurs susceptibles d'intervenir dans une condition expérimentale déterminée, en en faisant varier l'intensité et la durée d'application. Cette approche rigoureuse, si elle peut paraître fastidieuse aux non initiés, fut précisément celle que Gabriel Pérès, à son tour, conseilla à ses élèves. Cordier était ainsi parvenu à d'importantes conclusions sur l'acidose métabolique produite par l'asphyxie ou l'hypoxie, même si elle peut être masquée dans ce dernier cas en raison d'une phase initiale d'alcalose gazeuse liée à l'élimination exagérée d'anhydride carbonique qu'entraîne l'hyperventilation réflexe induite par l'hypoxie. D'autre part, Cordier, en sa qualité de vétérinaire militaire, avait effectué à la Poudrerie du Bouchet, près de Vert-le-Petit, des travaux importants sur les phénomènes pathologiques consécutifs à l'inhalation des gaz de combat. En 1940, au moment de l'armistice, il avait gagné l'Angleterre et trouvé refuge à Cambridge, où il put poursuivre des recherches physiologiques en rapport avec les exigences de la guerre, tout en établissant des liens personnels avec la célèbre école des physiologistes de Cambridge, à commencer par Barcroft. De retour en France, Cordier fut nommé en 1945 Professeur de Physiologie à la Faculté des Sciences de Lyon, dans la chaire laissée vacante par le décès de Henry Cardot (1886-1942), et réussit, en dépit des difficultés de l'après-guerre, à remettre en route non seulement le laboratoire lyonnais, dont Emile Terroine, professeur de physiologie à Strasbourg replié à Lyon, avait assuré la gestion par intérim, mais aussi le Laboratoire maritime de Physiologie de Tamaris, entièrement dévasté par la guerre.6 -1 /\bnon\b/ # "non" dans un article -3 /[^A-Z]{300}/ # Longue section sans majuscules -1 /[^\.\?,;:|\(\)"«»]{200}/ # Longue section sans ponctuation +1 /^[A-Z][a-z].*[.?]\b/ # ligne commençant par une majuscule Sous la direction de Cordier, Gabriel Pérès commença par étudier les modifications du spectre d'absorption du sérum sanguin dans l'ultraviolet. Lorsque ce travail fut entrepris, c'était une approche fort originale, d'autant plus que rares étaient à l'époque les laboratoires français dotés du fameux spectrophotomètre DU mis au point en Californie par Arnold Beckman en 1942. La suite logique de l'étude était le dosage quantitatif des protéines sériques, et Peres l'entreprit chez le rat, soumis à divers types d'agression ou de modifications des gaz inspirés. Compte tenu du rôle exercé par les glandes surrénales dans la protection de l'organisme vis à vis des agressions, établi en particulier par les travaux de Hans Selye (1907¬1982), qui ne manqua d'ailleurs pas de citer ultérieurement ses travaux, G. Pérès examina les effets de la privation des surrénales, ou surrénalectomie. En s'appuyant sur les travaux d'Arthur Grollman (1901-1980), il réussit à mettre au point un breuvage salin de composition définie qui assurait la survie des animaux surrénalectomisés, ce qui permettait une comparaison valable avec l'effet des traitements par les hormones corticostéroïdes administrées aux animaux opérés ou intacts. Parmi les résultats de cette importante série de recherches, qui furent présentés dans une thèse de doctorat soutenue en 1955, on doit citer la baisse de la protéinémie totale provoquée par divers types de chocs ou par le manque d'oxygène, phénomène qui n'apparaît pas chez les animaux surrénalectomisés. C'était l'indice d'une augmentation du catabolisme protidique dans les conditions mises en jeu, et de l'intervention des surrénales, et il en poursuivit dès lors l'étude en procédant au dosage des acides aminés sanguins, qui se trouvèrent, comme prévu, en forte augmentation. C'est alors que Gabriel Pérès m'associa, de 1957 à 1960, à ses recherches sur les effets métaboliques des tensions gazeuses. Par la suite, après la disparition de Cordier, il nous confia, à ma femme et moi-même, la poursuite de cette recherche ; nous fumes ainsi amenés à reprendre l'étude dumétabolisme des acides aminés, en employant des techniques de séparation et de dosage par électrophorèse ou par chromatographie, et en procédant à des investigations sur les enzymes qui effectuent les réactions métaboliques. Ceci nous a permis de tester certaines des hypothèses élaborées. -1 /ez\b/ # 2e personne pluriel dans un article -1 /\b(ma|mon|mes|moi)\b/ # "ma, mon, mes, moi" dans un article -1 /\bnous\b/ # "nous" dans un article -3 /[^A-Z]{300}/ # Longue section sans majuscules Une intéressante conséquence des recherches effectuées à Lyon sur les effets des brûlures et du manque d'oxygène fut l'étude des effets physiologiques de l'altitude, envisagée isolément ou associée aux radiations solaires. Les expériences furent menées par Gabriel Pérès dans un chalet dont il avait fait l'acquisition aux Terrasses, au dessus de la Grave, à 1800 m d'altitude. Pour les réaliser, il fallait emmener de Lyon aux Terrasses les animaux aussi bien que le matériel nécessaire pour les expériences, en particulier une petite centrifugeuse mue manuellement, pour séparer le plasma sanguin. Fait plus remarquable, Gabriel Pérès n'hésita pas à monter, sur son dos, les animaux d'expérience encore plus haut, dans un refuge sis à 3450 m. Comparativement, des essais furent réalisés à Lyon dans un caisson à dépression provenant des surplus américains. G. Pérès étudia non seulement les constituants sanguins mais également le transit gastrique et l'absorption intestinale du glucose, qui étaient deux des thèmes de recherche du laboratoire de Daniel Cordier. Les effets des radiations solaires furent tout spécialement étudiés, ainsi que le rôle protecteur des hormones surrénal i ennes. -1 /\bnon\b/ # "non" dans un article == Gabriel Pérès succède à Cordier dans la Chaire de Physiologie générale et comparée == +3 /==/ # Titre de section Nommé Maître de Conférences en 1959, à la suite du transfert à Grenoble de Georges Dessaux dans une chaire de Physiologie nouvellement instituée à la Faculté des Sciences, Gabriel Pérès entreprit l'étude des effets métaboliques exercés par une hormone surrénalienne qui avait été isolée quelques années auparavant par Thaddeus Reichstein (1897-1996), et que l'on connaissait encore assez mal, l'aldostérone. Par ailleurs, il initia une recherche sur les effets métaboliques de l'a-tocophéryl-quinone, un analogue structural du tocophérol, ou vitamine E. Là encore, la bibliographie était clairsemée et les résultats obtenus par les divers auteurs remplis de contradictions. Il s'imposait de procéder à une enquête conduite en faisant varier méthodiquement les conditions expérimentales. C'est ce que Gabriel Pérès réalisa avec la coopération active de deux spécialistes des vitamines, biochimistes formés à l'école de Paul Meunier (1908-1954), j'ai nommé Jacques Jouanneteau, disparu hélas il y a quelques années, et Georges Zwingelstein, toujours actif à Tamaris. Ce fut le début d'une longue et fructueuse collaboration, et compte tenu de l'orientation physiologique que ces deux chercheurs souhaitaient donner à leur recherche, ils rejoignirent par la suite le laboratoire de Physiologie générale et comparée. A ces travaux sur le tocophérol fut aussi associé un peu plus tard notre ami Gérard Brichon, qui fit là ses premières armes de physiologiste. Entre temps, Gabriel Pérès s'était trouvé amené à prendre la direction du laboratoire, à la suite du décès inopiné du Professeur Daniel Cordier, en octobre 1960. -1 /ez\b/ # 2e personne pluriel dans un article -1 /\b(je|j')\b/i; # "je" dans un article (erreur possible : titre de chanson) La chaire de Physiologie générale et comparée que Gabriel Pérès occupa à partir de l'automne 1961, créée par une loi de 1883 dont Paul Bert fut le rapporteur, fut longtemps la seule de ce genre dans une Faculté des Sciences. Saturnin Arloing, élève de Chauveau, en fut le premier titulaire. Bientôt il remplaça son maître, et la chaire échut à un élève de Paul Bert, Raphaël Dubois, qui l'occupa à partir de 1887. La Faculté des Sciences de Lyon avait jusqu'alors été logée dans les combles du Palais Saint-Pierre. La politique de réanimation universitaire lancée par la Sème République, en réaction à la défaite subie devant l'Allemagne en 1870, se traduisait, entre autres choses, par la construction de palais universitaires. Celui de Lyon, édifié sur les terrains de la Vitriolerie, quai Claude Bernard, se trouvait alors en cours d'aménagement, si bien que Dubois arriva juste à temps pour obtenir l'attribution de locaux assez satisfaisants pour l'enseignement pratique et la recherche en physiologie. C'est dans ces locaux que Dubois et ses successeurs, Couvreur, Cardot et Cordier, ont officié pendant quatre-vingt ans. Il devait revenir à Gabriel Pérès de présider au transfert du laboratoire sur le campus universitaire de la Doua, à Villeurbanne, non sans rencontrer bien des difficultés de la part des services financiers de l'administration centrale, et plus encore de certains collègues peu enclins à attribuer des locaux aux disciplines jusqu'alors ignorées par les programmes. -1 /ez\b/ # 2e personne pluriel dans un article -1 /\bnon\b/ # "non" dans un article Car la physiologie commençait enfin à occuper en France, dans les cursus scientifiques, la place qui lui revenait. L'ancienne licence ès-sciences naturelles composée de trois certificats, telle qu'elle avait été définie par des arrêtés ministériel de 1896, où la physiologie animale n'était qu'optionnelle, avait cédé la place en 1958 à des licences nouvelles, tant pour l'enseignement que pour la recherche, dans la composition desquelles cette discipline figurait obligatoirement. En 1966, une nouvelle réforme, première d'une longue série, modifia le premier cycle, désormais étalé sur deux ans, et y introduisit la physiologie (ainsi que la biochimie et la génétique). Simultanément, la psychologie se trouvait détachée de la philosophie, et faisait appel à la psychophysiologie, rarement offerte jusqu'alors en France (des tentatives lyonnaises, dues la première à Raphaël Dubois, la seconde à Daniel Cordier, avaient été vite étouffées). La mise en place de ces réformes exigeait l'attribution de moyens nouveaux, tant en locaux qu'en personnels. L'effectif du laboratoire s'accrut rapidement, la psychophysiologie, créée en 1960 et placée sous la responsabilité de Jacques Chanel, un autre élève de Daniel Cordier, prit son indépendance, avec le soutien actif de Gabriel Pérès qui dut patiemment convaincre de l'opportunité de cette mesure tel ou tel de ses collègues plus âgés (entre autres le physicien Georges Déjardin, foncièrement hostile à la multiplication des chaires). -3 /[^A-Z]{300}/ # Longue section sans majuscules Ce n'était pas tout de réunir des moyens. On s'aperçut rapidement que la démocratisation de l'enseignement physiologique et l'augmentation des effectifs nécessitaient une refonte de l'approche didactique. Les jeunes enseignants s'attelèrent avec enthousiasme à cette tâche, réussirent à faire exécuter par les étudiants, plus nombreux d'année en année, un programme ambitieux de manipulations, les unes classiques, et peut-être d'autant mieux formatrices, les autres résolument modernisées ; ils s'inspirèrent des méthodes décrites dans les manuels anglais ou américains pour amener les élèves à construire eux mêmes leurs plans d'expérience, et réaliser l'analyse critique de leurs résultats. Ils furent encouragés par le Professeur Pérès, qui institua des travaux dirigés, précédant de plusieurs années l'établissement officiel de ce type d'enseignement, et obtint pour ce faire, dès 1962, du Doyen Jean Braconnier, la création pour ses collaborateurs de deux postes de Maîtres Assistants, prélude à plusieurs autres. -3 /[^A-Z]{300}/ # Longue section sans majuscules Gabriel Pérès suivait l'exemple de ses maîtres, en préparant son enseignement très minutieusement. A l'ancien cours magistral à la Cordier, très documenté, certes, mais parfois un peu théâtral, et entièrement laissé à la discrétion du professeur, il substitua des cours établis selon un plan communiqué préalablement aux étudiants, assorti de planches anatomiques établies par ses soins, et respectant scrupuleusement le programme. C'était sérieux, ardu parfois, mais efficace, comme en témoignent le succès des étudiants lyonnais aux concours de recrutement. Bientôt il fut en mesure de proposer la création d'enseignements nouveaux, portant notamment sur la physiologie des animaux marins, qui, avec d'autres établis ultérieurement, ont conféré son originalité et son efficacité aux enseignements lyonnais de la physiologie. Le Professeur Pérès, conscient de ses devoirs envers les étudiants, les recevait volontiers, les acceptait comme stagiaires ou chercheurs à Lyon ou à Tamaris. Combien de mémoires de diplômes ou de thèses sont-ils sortis des deux laboratoires ? Bien plus, il se préoccupait de leur avenir, et plus d'un lui dut sa situation. Faut-il le dire ? cette attention portée à l'enseignement n'est pas toujours à l'honneur dans les établissements universitaires, et si elle a valu à Gabriel Pérès et à ses collaborateurs la gratitude de maint ancien élève, elle n'a guère été appréciée favorablement par ses pairs. -3 /[^A-Z]{300}/ # Longue section sans majuscules Prenant la responsabilité d'une équipe dont les thèmes de recherches avaient été définis par Cordier, mais qui l'intéressaient personnellement à plus d'un titre, Gabriel Pérès sut fournir des moyens de travail aux anciens de la maison, recruter rapidement des maîtres de conférences qui assumèrent à ses côtés une partie des tâches d'enseignement magistral et de direction de recherche — mentionnons tout spécialement Robert Fontanges, spécialiste de la physiologie microbienne et de l'immuno-physiologie, ainsi que Jeanne Françoise Worbe, elle aussi ancienne élève de Daniel Cordier, qui développa une recherche originale sur le métabolisme glucidique — et également engager certains jeunes chercheurs du laboratoire sur des sujets nouveaux, qui lui paraissaient prometteurs : outre les travaux sur la physiologie des poissons sur lesquels je me propose de revenir, je citerai les effets physiologiques des ondes laser, étudiés par Pierre Deschaux, ceux du rayonnement ultraviolet, par Jacques Dumas, ceux de l'hyperoxie hyperbare — un sujet qui avait été exploré pour la première fois par Paul Bert, surpris par la toxicité de l'oxygène pur sous forte pression et complétait les recherches précédemment entreprises au laboratoire — les mécanismes de l'absorption intestinale des sucres, qui ont fait l'objet de la thèse de Gabriel Crouzoulon, le métabolisme du silicium, sujet très original apporté au laboratoire par Yolande Charnot. Celle-ci le tenait de son père, Abel Charnot (1897-1970), pharmacien militaire établi au Maroc, qui avait reçu à Lyon sa formation scientifique car il avait préparé aux côtés du Pharmacien Colonel Albert Leullier, professeur à la Faculté de Médecine et Pharmacie, et sous la direction d'Edmond Couvreur, - alors titulaire de la chaire de physiologie générale et comparée, sa thèse de doctorat ès- sciences soutenue en 1925 et intitulée : Contribution à l'étude du sang de l'Ilelix pomatia. Abel Charnot s'était intéressé aux troubles du métabolisme calcique présentés par les sujets vivant dans les zones où se trouvent les gisements de phosphate. Généralisant ses observations sur les changements affectant le silicium du sang et des tissus dans divers états pathologiques, il s'était trouvé conduit à instituer des traitements à base de silicium organique, seul ou associé au potassium, en vue de régulariser le métabolisme calcique.' Gabriel Pérès, qui avait effectué des recherches expérimentales sur la calcémie et dont la seconde thèse de doctorat ès-sciences avait précisément porté sur la régulation de la calcémie chez les mammifères, ne pouvait qu'être intéressé par ce sujet ; il n'hésita pas à encourager Yolande Charnot dans la poursuite de cette recherche, qui donna lieu à de nombreuses publications sous leur signature, et leur valut l'honneur de participer à un Symposium Nobel sur le silicium tenu en 1977 à Stockholm, à un moment où peu de chercheurs, en France, mesuraient l'intérêt de telles recherches.8 Aujourd'hui, qui n'a recours aux gélules de prêle ou au silicium organique pour soigner ses articulations défaillantes, même si le plus souvent les noms des initiateurs français de ces recherches se trouvent, scandaleusement, passés sous silence ? -1 /ez\b/ # 2e personne pluriel dans un article -1 /\b(je|j')\b/i; # "je" dans un article (erreur possible : titre de chanson) -3 /\bje (me|m')\b/ -3 /[^A-Z]{300}/ # Longue section sans majuscules +1 /^[A-Z][a-z].*[.?]\b/ # ligne commençant par une majuscule En 1984, Gabriel Pérès, tout en continuant d'assurer certains enseignements, en particulier sur les animaux marins, décida de se décharger dorénavant des enseignements d'endocrinologie qu'il délivrait à Lyon dans la maîtrise de physiologie, dont la responsabilité m'avait été confiée une dizaine d'années auparavant, et de confier la direction de son laboratoire lyonnais à Georges Zwingelstein, devenu Directeur de recherches au CNRS. En effet, outre les lourdes tâches qu'il assumait à Lyon, et dont je viens de donner un aperçu, Gabriel Pérès s'occupait très activement depuis 1961 de la direction du Laboratoire maritime de Tamaris, dont je vais maintenant parler, et il reconnut la nécessité de se consacrer désormais exclusivement à cette dernière fonction. -1 /\b(je|j')\b/i; # "je" dans un article (erreur possible : titre de chanson) == Le Directeur de l'Institut Michel Pacha == +3 /==/ # Titre de section Lorsqu'il devint titulaire de la Chaire de Physiologie comparée, Gabriel Pérès devint du même coup le directeur de ce que l'on nommait alors la Station maritime de Biologie de Tamaris. Sis dans la baie du Lazaret, qui s'ouvre sur la baie de Toulon, un bâtiment de style mauresque abrite depuis 1900 le laboratoire maritime de physiologie construit pour une large part grâce au don généreux de Michel Pacha, qui, en 1890, offrit à l'Université de Lyon, à la prière de Raphaël Dubois, le terrain et les matériaux nécessaires à la construction, sous la condition que le nouveau laboratoire maritime serait affecté aux recherches physiologiques et constituerait une annexe de la chaire de physiologie générale. Raphaël Dubois (1849-1929) réunissait la triple qualification de pharmacien, de médecin et de naturaliste. Je ne puis détailler ici les titres scientifiques éminents de Raphaël Dubois, auquel G. Pérès a consacré deux communications substantielles à l'Académie du Var.9 Qu'il me suffise de rappeler que, préparateur de Paul Bert à la Sorbonne, il l'assistait dans la réalisation de ses expériences sur l'anesthésie, et il avait entrepris simultanément l'étude de la biophotogénèse chez les animaux luminescents, étude qui lui fournit la matière de sa thèse de doctorat ès-sciences. Il découvrit le mécanisme intime du phénomène, montrant que la production de lumière était due à l'action d'un ferment, qu'il nomma luciférase, sur un substrat particulier, la luciférine. Les organismes lumineux sont nombreux chez les êtres qui vivent dans le milieu marin, et Dubois était pleinement conscient, tout comme son maître Paul Bert, du reste, de tout ce que le physiologiste peut espérer d'un laboratoire spécialement équipé pour les recherches physiologiques portant sur ces organismes. Dubois, qui parvint peu à peu à passer le plus clair de son temps à Tamaris, y travailla pratiquement jusqu'à sa mort, survenue en janvier 1929, trois jours après sa dernière communication. -1 /ez\b/ # 2e personne pluriel dans un article -1 /\b(je|j')\b/i; # "je" dans un article (erreur possible : titre de chanson) +1 /^[A-Z][a-z].*[.?]\b/ # ligne commençant par une majuscule En effet, sitôt nommé, Gabriel Pérès, qui jusqu'alors avait été tenu à l'écart de Tamaris (nous avons vu qu'il travaillait aux Terrasses pendant l'été), décida de redonner vie à la station, et de l'ouvrir désormais de façon permanente. Il réussit à en conserver la maîtrise, malgré les convoitises de certain collègue lyonnais qui souhaitait occuper tout ou partie de la station et avait projeté de s'approprier ses moyens en personnels et en matériels (y compris les bateaux de pêche et la bibliothèque !) II y vint régulièrement lui-même, il obtint de certains de ses collaborateurs qu'ils y fassent des séjours prolongés, jusqu'au moment où un universitaire résida en permanence au laboratoire (ce fut d'abord Maurice Buclon, puis Gérard Brichon), il y organisa des stages d'étudiants, qui donnèrent naissance plus tard à des certificats spécialisés, il y accueillit des collègues français et étrangers, nouant avec plusieurs de ceux-ci de fructueuses collaborations (citons Ion Motelica, Robert Crane ainsi qu'Ernest Schoffeniels et ses collaborateurs, ou encore Wanda Leyko, de Cracovie, et bien d'autres). La création d'un périodique scientifique, les Annales de l'Institut Michel Pacha, suivie de celle des Acta Ichthyophysiologica, permit l'enrichissement rapide de la bibliothèque de l'Institut par échange avec d'autres revues similaires. Gabriel Pérès obtint du recteur Louis des travaux d'aménagement puis la construction d'un nouveau bâtiment inauguré le 28 décembre 1968 qui abrite un vivier bien équipé, un grand laboratoire de recherche ainsi qu'un petit bâtiment pour le logement des étudiants participant aux stages. Il put également obtenir en 1965 du CNRS les crédits nécessaires pour la construction d'un bateau, le Professeur Raphaël Dubois, appelé à remplacer La Ville de Lyon, une embarcation légère acquise bien avant la guerre. Enfin, il engagea une active politique de collaboration avec les organismes de recherche qui s'implantèrent dans la région, le CNEXO, le Centre d'études et de recherches biologiques de la Marine (CERBM), la Fondation Océanographique Paul Ricard, puis l'Université de Toulon et du Var, pour n'en citer que quelques uns. -1 /\bnous\b/ # "nous" dans un article Pour expliciter durablement la vocation de la station, Gabriel Pérès lui fit donner le nom d'Institut Michel Pacha (Laboratoire maritime de physiologie) qui aurait dû être le sien à l'origine. Même si les bouleversements administratifs qui suivirent la réforme des Universités après la crise de mai 68 ont parfois entravé la réalisation des travaux nécessaires à l'entretien correct du laboratoire — mais Tamaris n'a pas été la seule victime de l'incurie administrative vis-à-vis des bâtiments universitaires — les efforts constants de Gabriel Pérès puis de son élève et successeur Gérard Brichon, l'actuel directeur, auquel il transmit le flambeau le ter janvier 1988, ont réussi à maintenir intact le potentiel de l'Institut. -1 /[^\.\?,;:|\(\)"«»]{200}/ # Longue section sans ponctuation Lorsque l'on consulte la Notice de travaux établie par Gabriel Pérès peu avant son départ à la retraite (ler septembre 1989), on est frappé de l'importance qu'ont prise progressivement les sujets de recherches portant sur les animaux aquatiques, alors que cette rubrique était absente de l'Exposé de titres préparé en 1961. Ayant pris conseil auprès de spécialistes de la physiologie et de la biologie des Poissons, notamment de Maurice Fontaine, professeur au Muséum, et directeur de l'Institut Océanographique de Paris, il consacra une part de plus en plus grande de son activité scientifique à la physiologie des animaux aquatiques, qu'ils soient marins ou habitants des eaux douces. D'abord il encourage les élèves de son prédécesseur qui ont commencé des recherches dans ce domaine, par exemple Renée Bange-Barnoud sur le métabolisme protidique, et Andrée Demael, qui mène à bien une thèse sur les particularités du contrôle endocrinien du métabolisme glucidique chez la Tanche, en réponse aux conditions du milieu ; elle sera rejointe par Daniel Garin, qui contribue à affiner par la méthode des traceurs isotopiques l'étude des métabolismes organiques. D'autre part, il encourage des chercheurs à étudier l'absorption intestinale : je pense aux premières recherches de Maurice Buclon, qui ont démarré à son initiative, aux beaux travaux de Béchir Tritar, de Tunis, sur l'absorption intestinale des acides aminés chez les Céphalopodes et les Amphibiens, trop tôt interrompus par la disparition de cet excellent collègue, ou à ceux de Gérard Bogé, -1 /ez\b/ # 2e personne pluriel dans un article -1 /\b(je|j')\b/i; # "je" dans un article (erreur possible : titre de chanson) effectués tant au niveau de l'organisme entier que sur des cellules isolées, avec de multiples voies d'approche, notamment une technique originale de vésicules de bordure en brosse d'entérocytes. Il aide grandement Madame Peyrin, chercheur du CNRS chez le Professeur André Cier, à étudier la biosynthèse des amines biologiques et le rôle des corps axillaires chez les Poissons. Et il amorce chez les animaux aquatiques une étude comparative des effets métaboliques des changements affectant la composition du milieu, d'abord en ce qui concerne la composition gazeuse, puis surtout la composition ionique, et c'est tout un ensemble de travaux importants que Georges Zwingelstein va entreprendre avec une solide équipe, en portant une attention toute particulière sur le métabolisme lipidique : les lipides faisaient un peu le rôle de parent pauvre des études métaboliques effectuées chez les animaux marins. La biogenèse et le métabolisme des lipides complexes, et leur rôle dans l'osmorégulation, les processus de méthylation et la perméabilité membranaire dans divers tissus vont faire l'objet des persévérantes recherches de Zwingelstein, Gérard Brichon, et leurs collaborateurs, qui se poursuivent avec fruit jusqu'à ce jour, contribuant à la notoriété internationale de l'Institut Michel Pacha, et donnant lieu à de multiples et étroites collaborations avec plusieurs laboratoires américains. -1 /ez\b/ # 2e personne pluriel dans un article == De l'écophysiologie à l'écotoxicologie == +3 /==/ # Titre de section •Les préoccupations des hommes de science, puis des décideurs politiques, relatives à l'avenir des espèces, menacées par les modifications du milieu ambiant entraînées par les activités humaines, ont ouvert au cours de la deuxième moitié du XXème siècle un nouveau domaine d'investigations physiologiques dont la portée est double : il s'agit d'une part d'étudier précisément les fonctions qui permettent aux êtres vivants de s'accommoder des conditions de vie que leur impose le milieu ambiant et de réagir à leurs modifications ; d'autre part, de mettre à profit les données ainsi acquises pour évaluer les risques que certaines activités humaines font peser sur la biosphère. Or l'école lyonnaise avait à son actif une bonne connaissance des mécanismes adaptatifs à l'étude desquels se trouvait voué depuis Cordier l'essentiel de son activité scientifique, et cela chez des organismes aquatiques des plus variés. Gabriel Pérès était d'autant plus à même de s'investir dans ce dernier champ d'étude qu'il pouvait en outre se prévaloir de sa double formation initiale de vétérinaire et de scientifique. D'ailleurs, le domaine ne lui était pas totalement étranger, puisque dès 1953, il avait supervisé au laboratoire de physiologie de la Faculté des Sciences la thèse de doctorat vétérinaire d'André Dubus rapportant Quelques données sur l'utilisation des Poissons comme réactifs biologiques. -1 /ez\b/ # 2e personne pluriel dans un article -3 /[^A-Z]{300}/ # Longue section sans majuscules -1 /[^\.\?,;:|\(\)"«»]{200}/ # Longue section sans ponctuation Certes, en provoquant des changements dans les conditions du milieu, les chercheurs lyonnais visaient avant tout à démasquer les mécanismes régulateurs qui assurent en permanence chez les animaux supérieurs le maintien de l'homéostasie et leur permettent ainsi de mener, selon la célèbre expression de Claude Bernard, une vie libre et indépendante. Mais en dépit de leur orientation fondamentale, ces chercheurs n'étaient pas indifférents aux retombées pratiques que comportaient leurs travaux : lorsque l'on étudie les effets des changements de température ou de salinité du milieu, les applications sont évidentes, et les institutions publiques ou privées intéressées se révèlent prêtes, sous certaines conditions, à épauler les chercheurs. C'est ainsi que naquit d'abord une série de recherches effectuées chez les poissons d'eau douce sur l'influence de l'augmentation de la température de l'eau provoquée par le fonctionnement des centrales nucléaires, recherches qui furent soutenues par EDF et donnèrent lieu à des rapports publiés dans les Cahiers de Montereau. -1 /ez\b/ # 2e personne pluriel dans un article -3 /[^A-Z]{300}/ # Longue section sans majuscules -1 /[^\.\?,;:|\(\)"«»]{200}/ # Longue section sans ponctuation A côté des modifications physiques affectant le milieu ambiant, les modifications de nature chimique, celle de la salinité du milieu marin et surtout le déversement de substances éventuellement toxiques dans les milieux aquatiques par les entreprises industrielles, posaient des questions épineuses, qui commencèrent d'être activement étudiées par Gabriel Pérès et plusieurs de ses collaborateurs : c'est l'influence des sels de plomb sur divers mécanismes physiologiques qui retint d'abord leur attention (Bogé et Rigal, 1974, Demael 1975), puis le méthyl-mercure (Bogé et Rigal, 1980), le chrome, cependant que s'imposait le recours aux poissons, très sensibles à la pollution, comme organismes détecteurs. Pour cela, la littérature étrangère, qui dans les années 70 était presque exclusivement d'origine anglo-saxonne, proposait des espèces dont il fallait valider l'emploi dans notre pays ; d'autres espèces mieux adaptées aux conditions régnant en France méritaient d'être repérées ; à côté des méthodes fondées sur l'estimation de la seule létalité, il convenait d'adjoindre des mesures biochimiques rendant mieux compte des effets toxiques engendrés par les polluants. En outre, il s'imposait d'établir des méthodes de substitution in vitro, épargnant le recours aux animaux vivants. C'est à cette tâche multiforme que Gabriel Pérès n'a pas hésité à s'atteler, en en faisant le sujet pour ainsi dire exclusif de ses propres travaux à partir du moment où il se fixa à Tamaris. Il resserra sa collaboration scientifique avec les chercheurs de l'école polonaise, à la suite de laquelle il introduisit l'étude de certaines activités enzymatiques présentes dans les globules rouges (superoxyde dismutase et catalase plus particulièrement), qui donnèrent lieu à de fructueuses recherches avec Gérard Brichon, ainsi qu'avec Hélène Roche et plusieurs doctorants jusqu'au départ de Madame Roche dans la région parisienne en 1995. -3 /[^A-Z]{300}/ # Longue section sans majuscules [Summary] _MESSAGES_ "non" dans un article ; "je" dans un article (erreur possible : titre de chanson) ; Longue section sans ponctuation ; "ma, mon, mes, moi" dans un article ; "nous" dans un article ; message personnel dans un article encyclopédique ; 2e personne pluriel dans un article ; Longue section sans majuscules Analyse du contenu (vandalisme, spam, erreurs, mort) : -33, 0, 0, 0 gros ajout : +20 nouveau total : -26 Révocation précédente par des humains : nouveau score = -26, nouveau seuil = -6 L'IP avait déjà été révoquée par un humain (je n'ai pas regardé qui), et le bot ignore la 1RR dans ces cas-là. --Gribeco (d) 12 février 2009 à 21:06 (CET)
Révocation article Steven Hewitt par SalebotBonjour. Je suis à l'origine des deux révocations successives intervenues sur l'article Steven Hewitt. Il s'avère qu'il existe deux articles concernant la même personne: Steven Hewitt et Steve Hewitt. La seconde forme est la bonne. J'ai donc tenté de déplacer le contenu de l'article Steven Hewitt vers Steve Hewitt et de le remplacer par une redirection, c'est à dire d'inverser la situation actuelle mais le bon Salebot m'en a empêché. Certes, Salebot n'aurait pas du révoquer une deuxième fois, seulement l'une de mes modifications avait été défaite peu avant et donc...Est-il possible que vous fassiez cette manipulation à ma place? Ou simplement effectuer le transfert de contenu et de supprimer l'article Steven Hewitt? Merci Il est énervantJ'essaie de proteger la page Habbo Hotel (il y a aucune erreur) et le Sale Bot il veut pas !!!
PaypalBonjour cette suppression a été taguée comme vandalisme : http://fr.wikipedia.org/w/index.php?diff=38146655&oldid=38088201&rcid=38453390 Ca n'en est pas une ; à moins que la définition de vandalisme ait changé. Bien à vous E.
Salebot on ptwikiHello Gribeco. I'm notifying you about a problem with Salebot on ptwiki. Isn't new, but happens often the following: an user reverts (for example, with Huggle) and Salebot sends a warn (this isn't right, since Salebot hasn't reverted the respective edit). I don't want to hurry you, but it's a little urgent, because in practice, the user who have had one edit reverted receive two warns. Although you don't comprehend Portuguese, I hope you can give a solution. Regards. --Luckas Blade (d) 18 février 2009 à 19:57 (CET)
It happened again: [2] and [3]. --Luckas Blade (d) 18 février 2009 à 23:42 (CET)
Livre de Roland ViauBonjour, Salebot semble avoir empêché une modification à l'oeuvre de Roland Viau. Voir diff: http://fr.wikipedia.org/w/index.php?diff=38282757&oldid=37742372&rcid=38592021 Veuillez prendre note que Nigger Rock est un site du patrimoine naturel et historique du Québec. Ce nom ne devrait pas changer quisque bien qu'il s'agisse d'un passé douloureux malgré qu'il soit aussi peu connu, nous devons nous remémorer les cas d'esclavage au Québec.
Salebot et antispamref: http://fr.wikipedia.org/w/index.php?diff=38306508&oldid=37890037&rcid=38616237 Si je comprends bien le fonctionnement de salebot, votre robot a pris des exemples (contenant "je", "oui", "non", etc..) pour du vandalisme. Ok, je veux bien. Mais ensuite, étant sûr de mon fait, on me dit que je peux révoquer la révocation: je clique sur "défaire" et rien ne se passe, c'est une blague ou quoi ? faut que je m'achète un second neurone ?
Salebot et bac à sableBonjour ! Serait-il possible de faire en sorte que Salbot n'intervienne plus dans Discussion Wikipédia:Bac à sable ? Parfois, des interventions sur cette page de discussion seraient des vandalismes sur des articles de l'espace principal, mais n'en sont pas forcément ici... De plus, cette page est surveillée de près déjà par un autre bot (Loveless) sans compter des admins... Merci ! GillesC →m'écrire 23 février 2009 à 09:27 (CET) Merci pour la création de SalebotBonjour, que ferions-nous si Salebot, n'existait pas sur la page Festival Pop's. Cela nous fait des vacances.--Galdrad (Communiquer) 25 février 2009 à 15:59 (CET) Article "Autisme"Bonjour La page "autisme" a été modifiée abusivement par un décommé "humaniste123" le 23/03 qui a remplacé la partie "autisme et psychanalyse" par un paragraphe de propagande n'amenant que des affirmations non démontrées et des opinions personnelles, en lieu et place de faits vérifiables (même s'ils ne lui plaisaient manifestement pas). J'ai corrigé ceci en revenant à la version précédente du 20/03 (qu'un utilisateur identifié par son IP uniquement avait remise le 25). http://fr.wikipedia.org/w/index.php?diff=38461792&oldid=38440242&rcid=38775125 J'en ai profité pour supprimer également des affirmations vagues et non fondées dans les § "mercure" et "vaccination" qui la aussi relèvent de la propagande d'un mouvement anti-vaccination particulièrement actif, qui avait ajouté tout cela ces dernières semaines. Il ne s'agit pas de vandalisme mais bien d'énoncer des faits sur l'autisme qui apparemment ne plaisent pas à tout le monde, mais ce sujet est très controversé.
Salebot a bien fait son jobJuste pour dire que selon les critères de salebot c'était parfaitement au point comme révocation, mais j'attire néanmoins votre attention sur le contenu du diff parce que bon si on pouvait éviter une guerre de tranchée à nouveau. Les pages que Zzz voudrait prendre comme modèle sont complètement barjotes et construites pour nuire et régler des affaires anciennes (kccc et cie), enfin je vous laisse juge. le diff. 212.23.37.186 (d) 27 février 2009 à 14:15 (CET)
Salebot pénibleBonsoir, votre bot est un peu pénible : un contenu a été déplacé[4] et votre bot révoque sans cesse sur l'article Michel Clouscard, en cassant bien entendu toutes les modifications intermédiaires. Pas moyen de cesser le cirque ? 84.100.145.135 (d) 28 février 2009 à 21:35 (CET) |
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