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Trouver des sources sur « Direction régionale et interdépartementale de l'Équipement et de l'Aménagement » :
La DRIEA, dont le siège se situait à Paris 15e (21-23 rue Miollis)[3], manifestait la volonté de l’État français d’adapter ses réponses dans le domaine des transports, de l'urbanisme et de la construction à la situation particulière de l’Île-de-France[6]. Elle était placée sous l’autorité du préfet de la région d'Île-de-France, préfet de Paris[4].
La DRIEA, par le biais de la DiRIF, exploite, entretient, sécurise et aménage le réseau routier national non concédé francilien[9].
Elle gère au total 1 300 km de routes sur sept départements d'Île-de-France (77-78-91-92-93-94-95)[9]. Ses principales missions sont de gérer les voies rapides d'Île-de-France ainsi que d’assurer la construction et le contrôle des travaux de nouveaux projets routiers[10].
Une dizaine de Centres d’entretien et d’intervention (CER) ou d’Unités d’exploitation routière (UER) sont déployés sur la région[9].
informant l'usager avant son déplacement (gestion du site d'information routière Sytadin) et pendant son déplacement (affichage d’informations et de temps de parcours sur les panneaux à message variable), ce qui lui permet d'optimiser son trajet) ;
optimisant les conditions de circulation : gestion des événements, mise en œuvre de mesures d’exploitation dynamique (par exemple : glissière mobile sur le tronc commun A4/A86 ou régulation des accès dans le quart sud-est de l’Île-de-France), création de nouveaux aménagements.
Assurer la construction et le contrôle de travaux de nouveaux projets routiers
Le réseau routier national en Île-de-France, en particulier les voies rapides urbaines, sont continuellement aménagées afin de faciliter l’accès, d’améliorer sa sécurité, d’améliorer sa capacité en période de pointe et de réduire les impacts de la circulation sur l’environnement[12].
À la suite des nouvelles directives européennes, de nouvelles normes de sécurité doivent être mises en place pour les vingt-deux tunnels du réseau[12].