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En 1985 il rejoint à Antenne 2 la première équipe de Télématin sous la direction de Paul Nahon et Michel Strulovici. Rédacteur en chef de l’édition de la nuit du journal télévisé puis rédacteur en chef adjoint du journal de 20 heures ; adjoint au chef du service Culture ; chef du service Politique étrangère ; rédacteur en chef délégué sous la direction d’Albert du Roy
1998 : Didier Epelbaum est le premier « médiateur » de la rédaction de France 2, fonction créée par le président Xavier Gouyou-Beauchamps afin de répondre à la défiance des téléspectateurs à l'égard des journalistes et de l’information télévisée. Didier Epelbaum définissait cette fonction comme « l’interprète du public auprès de la Rédaction et l’interprète de la Rédaction auprès du public ». Il anima une émission en direct le samedi « L'Hebdo du médiateur » où il inaugurait un dialogue entre les téléspectateurs et les journalistes de la chaîne sur le contenu des journaux télévisés[1].
Didier Epelbaum a publié une biographie d’Alois Brunner, l’un des adjoints d’Adolf Eichmann et a exploré la manière dont la presse française de la Libération a rendu compte de l’extermination des Juifs d’Europe en 1944-1945 en tant qu’événement d’actualité et non en tant que page d'histoire.[réf. nécessaire]
Il a abordé la question du recrutement des bourreaux génocidaires et pris le contre-pied de la thèse de Christopher Browning qualifiant les policiers allemands impliqués dans la Shoah d’hommes « ordinaires »[source insuffisante][3]. Selon Didier Epelbaum, les bourreaux génocidaires étaient recrutés dans une minorité de volontaires adhérant à une idéologie spécifique.
Bibliographie
Le Troisième Temple, Israël de l’utopie à l’histoire, Hachette Documents 1985 176 p., (ISBN2010109589)[4]
Lauréat du « Mot d’Or » 1999 de l’APFA : « pour avoir inventé un temps pédagogique télévisuel fondé sur une écoute exigeante, une éducation à l'image et à la langue nourries d'une haute conception du service public et de l'amour du métier de journaliste ».
Mention spéciale Prix 2002 de la Journée du Livre d’Histoire et de recherche Juives pour « Les enfants de papier »[12].
↑JEAN-PIERRE LANGELLIER., « " le troisième temple " d'Israël de Didier Epelbaum les " revers de l'utopie " », Le Monde, (lire en ligne, consulté le ).
↑Nicolas Weill, « Aloïs Brunner, criminel nazi à jamais impuni », Le Monde, (lire en ligne, consulté le ).