En 2013, Denis Dercourt s'éloigne de ses univers bourgeois et
inquiétants, pour venir flirter avec le cinéma de genre et, plus
précisément, le film d'horreur, en réalisant La Chair de ma chair[8],[9].
Il dévoile au Marché du Film, dans le cadre de la 72e édition du Festival de Cannes, son 8e long métrage L'Enseignante qui est aussi son second film en allemand après Pour ton anniversaire[11].
↑Didier Péron, « Un orchestre, ses accords, ses couacs, et un fil malin de Denis Bercourt. Bien joué! Les Cachetonneurs de Denis Dercourt, avec Pierre Lacan, Marc Citti, Serge Renko, Wilfred Benaïche, Philippe Clay; 1H30. », Libération, (lire en ligne)
↑Brigitte Baudin, « Un certain regard : Dercourt, manipulation en sourdine », Le Figaro, (lire en ligne)
↑Thomas Sotinel, « "La Tourneuse de pages", de Denis Dercourt : duo d'actrices, récit d'une exécution. Catherine Frot et Déborah François s'opposent dans un conte cruel et vif. », Le Monde, (lire en ligne)
↑Jean-Luc Douin, « "Demain dès l'aube" : un traitement glacé et contrôlé de la folie qui s'empare des adeptes des jeux de rôle. Le deuxième long métrage de Denis Dercourt, "Demain dès l'aube", est habité par le brouillage des notions de réel et de virtuel », Le Monde, (lire en ligne)
↑François Rauger, « "La Chair de ma chair" : flirt avec le film d'horreur. Denis Dercourt s'approche du cinéma d'horreur moderne en décrivant la folie d'Anna, qui rencontre par hasard des personnes qui sont assassinées et atrocement dépecées », Le Monde, (lire en ligne)
↑« Équitation de tradition française. Un patrimoine immatériel à découvrir », Le Télégramme, (lire en ligne)