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Il apprend le saxophone alto en autodidacte à partir de 1967[2]. Il devient professionnel au début des années 1970 après diverses expériences en amateur qui aboutissent au groupe Jazz O’Maniacs[2].
Il se forme dans l'orchestre de jazz traditionnel du trompettiste Jean-Pierre Morel, Sharkey & Co, et s'intéresse à toutes les formes de jazz (Johnny Hodges, Charlie Parker et Cannonball Adderley)[1].
A la fin des années 1970, il crée le groupe Slapscat[5] avec le tromboniste Patrick Bacqueville, le guitariste et parolier Patrick Diaz et le contrebassiste Gilles Chevaucherie; les paroles en français drôles et énergiques sont jouées sur des standards du jazz.
Il se consacre au jazz moderne avec l'Happy Feet Quintet de 1980 à 1982, groupe dirigé par Philippe Baudoin[2].
Dans l'univers du Jazz, il est considéré comme un show man[2]. Il est un des spécialistes du scat en France, revisitant les mots avec humour et toujours inspiré par son maître Cab Calloway[5] ; il est régulièrement invité comme chanteur par les orchestres de jazz.
Il se produit régulièrement dans les festivals et les clubs.
Il est reconnu comme l’un des rares experts français en histoire du Jazz[2].
Happy Feet And Friends ... (incluant Willow Weep For Me, Impôts Locaux composé par Daniel Huck), Philippe Baudoin / Daniel Huck (Open (3) – OP 16, 1981)
C’est pas d’la tarte !, Orphéon Célesta (Swing Land SL-CD-1413, 1981)