Croix d'Adélaïde

La Croix d'Adélaïde.

Dos de la Croix d'Adélaïde.

La Croix d'Adélaïde est une relique du XI^e siècle, sous la forme d'une crux gemmata, qui contiendrait des fragments de la Vraie Croix. Offerte par Adélaïde de Rheinfelden à l'abbaye Saint-Blaise en 1079[1], elle est ensuite déplacée à l'abbaye Saint-Paul du Lavanttal, où elle se trouve encore. Elle est la plus grande croix reliquaire allemande du Haut Moyen Âge[2].

Composée de bois recouvert de feuilles d'argent doré, et décorée de gemmes, de pierres précieuses et de perles, elle mesure 82,9 cm de haut, 65,4 cm de large et 7,4 à 7,8 cm d'épaisseur.La Croix d'Adélaïde est une relique du XI^e siècle, sous la forme d'une crux gemmata, qui contiendrait des fragments de la Vraie Croix. Offerte par Adélaïde de Rheinfelden à l'abbaye Saint-Blaise en 1079[1], elle est ensuite déplacée à l'abbaye Saint-Paul du Lavanttal, où elle se trouve encore. Elle est la plus grande croix reliquaire allemande du Haut Moyen Âge[2].

Composée de bois recouvert de feuilles d'argent doré, et décorée de gemmes, de pierres précieuses et de perles, elle mesure 82,9 cm de haut, 65,4 cm de large et 7,4 à 7,8 cm d'épaisseur.La Croix d'Adélaïde est une relique du XI^e siècle, sous la forme d'une crux gemmata, qui contiendrait des fragments de la Vraie Croix. Offerte par Adélaïde de Rheinfelden à l'abbaye Saint-Blaise en 1079[1], elle est ensuite déplacée à l'abbaye Saint-Paul du Lavanttal, où elle se trouve encore. Elle est la plus grande croix reliquaire allemande du Haut Moyen Âge[2].

Composée de bois recouvert de feuilles d'argent doré, et décorée de gemmes, de pierres précieuses et de perles, elle mesure 82,9 cm de haut, 65,4 cm de large et 7,4 à 7,8 cm d'épaisseur.

Bibliographie

• Klaus Gereon Beuckers: Adelheid-Kreuz (Reichskreuz). In: Gerfried Sitar, Martin Kroker (Hrsg.): Macht des Wortes. Benediktinisches Mönchtum im Spiegel Europas. Band II: Katalog. Schnell & Steiner, Regensburg 2009, (ISBN 978-3-7954-2125-0), S. 348–50
• Hermann Fillitz: Das Adelheid-Kreuz aus St. Blasien. In: Schatzhaus Kärntens. Landesausstellung St. Paul 1991. 900 Jahre Benediktinerstift, Klagenfurt 1991, Band II: Beiträge, (ISBN 3-85378-377-5), S. 665–680
• Martina Pippal: Grosses Reliquienkreuz: sogenanntes Adelheidkreuz. In: Schatzhaus Kärntens. Landesausstellung St. Paul 1991. 900 Jahre Benediktinerstift, Klagenfurt 1991, Band I: Katalog, (ISBN 3-85378-376-7), S. 99 online
• Karl Ginhart: Reliquienkreuz der Königin Adelheid. In: Karl Ginhart (Hrsg.): Die Kunstdenkmäler des Benediktinerstiftes St. Paul im Lavanttal und seiner Filialkirchen (= Österreichische Kunsttopographie Band XXXVII), Verlag Anton Schroll, Wien 1969, S. 217–224
• Sebastian Bock: Das Adelheidkreuz: Sichtweisen auf seine Geschichte. In: Guido Linke (Hrsg.): Der Schatz der Mönche, Petersberg 2020, (ISBN 978-3-7319-1076-3), S. 60–67.
• Guido Linke: Das barocke Kreuzreliquiar (mit Abbildung eines Kupferstichs von Johann Amann nach Laurentius Gumpp, 1734). In: Guido Linke (Hrsg.): Der Schatz der Mönche, Petersberg 2020, (ISBN 978-3-7319-1076-3), S. 169f.
• Guido Linke: Kreuzreliquiar (zum „Dritten Reliquiar“, mit Abbildung). In: Guido Linke (Hrsg.): Der Schatz der Mönche, Petersberg 2020, (ISBN 978-3-7319-1076-3), S. 229.

Références

(de) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en allemand intitulé « Adelheid-Kreuz » (voir la liste des auteurs).

1. (la) Franz Joseph Mone, « Liber constructionis monasterii ad S. Blasium », dans Quellensammlung der badischen Landesgeschichte, Band 4, Karlsruhe, 1848–1867 (lire en ligne), p. 76–142.
2. (de) Badische Zeitung, « Das Augustinermuseum zeigt den Schatz des Klosters St. Blasien - Kultur - Badische Zeitung » (consulté le 15 mars 2021)