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Corrado Formigli est né à Naples de parents originaires de Toscane. Son père était directeur de construction dans la ville de Naples.
Il commence à travailler en tant que journaliste au Paese Sera à la fin des années 80. Après s'être inscrit à la faculté de droit de Florence, s'installe à Londres au cours de ses années universitaires, où il commence à écrire pour Il manifesto.
Après un an en tant que correspondant en Angleterre, il est rappelé à la rédaction en Italie pour couvrir les rubriques politique et divertissement du journal.
En 1994, il arrive à la Rai pour travailler sur l'émission de télévision Tempo Reale. De 1996 à 1999, il est employé par Mediaset comme envoyé spécial pour les programmes Moby Dick et Moby's sur Italia 1. Il couvre entre autres la guerre civile en Albanie, les massacres des fondamentalistes islamiques en Algérie, la guerre du Kosovo et l'Afrique du Sud post-Mandela.
En 2000, il retourne à la Rai en tant qu'envoyé spécial. Il travaille sur les programmes Circus de Rai 1, Il ray verde (en tant que co-animateur) et Sciuscià, diffusés sur Rai 2.
Le 14 septembre 2001 il est présent à New York pour couvrir l'attentat des deux tours jumelles. Il se rend au Moyen-Orient les mois qui suivent: il est le premier journaliste de télévision à pouvoir entrer à Jénine après l'Opération Rempart lancée par l'armée israélienne en avril 2002.
Après l'arrêt de Sciuscià en 2003, Corrado Formigli rejoint le nouvelle chaîne de télévision : Sky TG24 dirigée par Emilio Carelli. Il y anime le débat politique de l'émission Controcorrente pendant 5 ans.
En juin 2004, il anime le premier épisode de la série de reportages historiques Passato Prossimo (co-écrite avec Davide Savelli ) qui porte sur la bataille de Montecassino. L'émission est diffusée aux heures de grande écoute sur LA7. Toujours en 2004, il collabore à la création de Arisentirci più tardi, une rencontre-interview entre Adriana Faranda et Francesco Cossiga, réalisée par Alex Infascelli, diffusée par Rai Educational pour la série La storia siamo noi.
Au cours des étés 2006 et 2008, il anime l'émission La Zanzara sur Radio 24. En septembre 2008, il collabore de nouveau avec Michele Santoro en tant qu'auteur et co-responsable des enquêtes Annozero sur Rai 2. Il travaille aussi avec la BBC, Il Fatto Quotidiano, le magazine Elle et la version italienne de How To Spend It, un magazine du Il Sole 24 Ore.
Depuis le 15 septembre 2011, il est l'auteur et l'animateur du talk-show politique Piazzapulita sur LA7. Dans la deuxième saison, Piazzapulita est remplacé par Service Public de Michele Santoro. À partir du 7 janvier 2013, Piazzapulita revient chaque semaine aux heures de grande écoute sur LA7.
En décembre 2014, il est le premier journaliste italien à entrer à Kobanê, en Syrie, et à enregistrer pour Piazzapulita le siège de l'Etat islamique[1]. Depuis septembre 2015, Piazzapulita est transmise le jeudi soir en remplacement de service public de Michele Santoro. Il est aussi présent dans certains épisodes de Bersaglio mobile, animé par Enrico Mentana. En février 2023, il débute sa collaboration avec le journal Domani, en tant que chroniqueur.
Procédures judiciaires
Le 20 février 2012 il est condamné, avec la Rai, par le tribunal de Turin à payer sept millions d'euros à la suite d'un reportage journalistique comparatif sur l'Alfa Romeo MiTo dans le cadre du programme Annozero. Le 7 juin 2018, la Cour de cassation donne raison à Corrade Formigli et rejette le pourvoi de Fiat, condamnant cette dernière à payer les frais de justice[2].
Corrado Formigli, Impresa impossibile: storie di italiani che hanno combattuto e vinto la crisi, Mondadori, (ISBN978-88-04-63416-4)
Corrado Formigli, Il falso nemico: perché non sconfiggiamo il califfato nero, Rizzoli, (ISBN978-88-17-08696-7)
Reportage
Reportages réalisés pour l'émission Piazzapulita :
Corrado Formigli, Dentro Kobane - Le reportage exclusif réalisé à Kobane, une ville syrienne occupée par l'État islamique. Corrado Formigli est le premier journaliste italien à y entrer[3].
Corrado Formigli, Morte à Raqqa - Reportage depuis la capitale syrienne de l'État islamique[4].
Corrado Formigli, Le mogli dell'ISIS - Rencontres et entretiens avec les épouses des terroristes de l'État islamique dans les prisons de Raqqa[5].
Corrado Formigli, Mosul, i giorni della vendetta - Reportage depuis la capitale irakienne de l'État islamique[6].
Corrado Formigli, Baghdad, la strage dimenticata - Reportage exclusif de l'enfer du massacre de juillet 2016[7].
Corrado Formigli, La fine dell'innocenza - Le récit du massacre des Yézidis par l'Etat islamique à travers les voix et les récits des protagonistes[8].
Corrado Formigli, Parla un prigioniero dell'ISIS - Dans une interview, un prisonnier de l'Etat islamique prend la parole[9].
Corrado Formigli, Le radici del male - Reportage de Sinjar, au lendemain de la libération de l'occupation de l'Etat islamique[10].
Corrado Formigli, Chi difende i confini dell'Occidente - Reportage d'Irak dans les rangs des Peshmergas luttant contre l'EI[11].
Corrado Formigli, Con gli occhi chiusi - Reportage du Somaliland, le pays invisible du nord de la Somalie, où il ne pleut presque plus. Un voyage qui parle des migrations et du travail des ONG[12].