Professeur de génétique à l'université Paris-Descartes/Université de Paris, directrice du laboratoire Imagine de l'INSERM (unité U1163) et praticienne hospitalière AP-HP, elle est également membre de l'Académie des sciences section : biologie humaine et sciences médicales, élue membre le 17 décembre 2019[5],[6],[7],[8],[9],[10].
Biographie
En 1994, Corinne Antignac soutient une thèse à Paris-VI sous la direction du Dr Junien sur les néphropathies héréditaires avec anomalies des membranes basales : syndrome d'Alport et néphronophthise[11].
En 1999, elle est recrutée comme chercheuse à l'INSERM[12]. Elle y dirige actuellement le laboratoire Imagine.
Le professeur Corinne Antignac exerce à l'hôpital Necker-Enfants malades en tant que pédiatre, néphrologue[13]. Son domaine de recherche s'étend sur les pathologies génétiques sur les enfants malades et particulièrement sur les maladies rénales héréditaires[14],[15],[16].
Publications
Elle est l'autrice de nombreuses publications[17],[18],[19].
2021 : étude des variations pathogènes bi-alléliques de l'ADNJB11 qui provoquent le syndrome d'Ivemark II, une dysplasie rénale-hépatique-pancréatique [21].
↑(en) Corinne Antignac, James P. Calvet, Gregory G. Germino et Jared J. Grantham, « The Future of Polycystic Kidney Disease Research—As Seen By the 12 Kaplan Awardees », Journal of the American Society of Nephrology, vol. 26, no 9, , p. 2081–2095 (ISSN1046-6673 et 1533-3450, PMID25952256, DOI10.1681/ASN.2014121192, lire en ligne, consulté le )
↑Olivier Gribouval, Corinne Antignac et Marie-Claire Gubler, « Mutations des gènes du système rénine-angiotensine et dysgénésie tubulaire rénale », M/S : médecine sciences, vol. 22, no 3, , p. 246–248 (ISSN0767-0974 et 1958-5381, lire en ligne, consulté le )