Selon un rapport de la commission royale, publié en juillet 2024, au moins 200 000 personnes auraient subi des violences et des abus sexuels dans les institutions publiques et religieuses, depuis les années 1950. L'Église catholique étant particulièrement concernée, la NZCBC affirme qu’elle étudiera le rapport et indique : « Il y a du travail à faire pour le gouvernement et par beaucoup d’autres personnes. Nous comprenons qu’au sein de la communauté, certains d’entre nous – y compris les responsables de l’Église catholique – ont un rôle particulier à jouer pour veiller à ce que les conclusions et les recommandations de cette importante enquête ne se perdent pas ou ne se limitent pas aux mots. Nous nous engageons à jouer ce rôle »[5].
Membres
Sont membres de la conférences les évêques diocésains, les évêques coadjuteurs et les évêques auxiliaires des six diocèses du pays[6]. La commission se réunit quatre fois par an[7]. Le secrétariat de la conférence est situé à Wellington[6].
↑ a et bLes usages de l’anglais océanien (australien, néo-zélandais, pacifique) n’ajoutent pas une apostrophe, d’où le « New Zealand Catholic Bishops Conference » au lieu d’un « New Zealand Catholic Bishops’ Conference », et de même pour la « Federation of Catholic Bishops Conferences of Oceania ».
Références
↑(en) « Welcome » [« Bienvenue »], sur catholic.org.nz, site de la conférence (consulté le ).
↑(en) « National shrine to Mary dedicated in capital » [« Dédication d’un sanctuaire national à Marie à la capitale »], sur nzcatholic.org.nz, (consulté le ) : « The New Zealand Catholic Bishops Conference has warmly thanked the many people who made a success of the Mass of Dedication of St Mary of the Angels church in Wellington as the National Shrine to Mary, Mother of God, Assumed into Heaven. The century-old landmark church was full almost to overflowing with the colourful diversity of the Catholic Church in Aotearoa New Zealand for the special 2pm Mass on August 14. » (« La Conférence des évêques catholiques de Nouvelle-Zélande a chaleureusement remercié les nombreuses personnes qui ont permis le succès de la messe de dédication de l’église Sainte-Marie-des-Anges de Wellington en sanctuaire national [Notre-Dame-de-Paradis]. L’église centenaire a été remplie presqu’à en déborder de la diversité de l’Église catholique de Nouvelle-Zélande à l’occasion de la messe spéciale de 14 h le . »)
↑(en) « Church to renew Bishop Pompallier’s dedication of Aotearoa New Zealand to Our Lady Assumed into Heaven » [« L’Église va renouveler la dédication de Mgr Pompallier de la Nouvelle-Zélande (Aotearoa) à Notre-Dame-de-Paradis »], sur catholic.org.nz, site de la Conférence des évêques catholiques de Nouvelle-Zélande, (consulté le ) : « The Mass will be celebrated at the Wellington landmark St Mary of the Angels Church, which will be become the national shrine of Our Lady Assumed into Heaven. » (« La messe va être célébrée à l’église Sainte-Marie-des-Anges de Wellington, qui va devenir le sanctuaire national Notre-Dame-de-Paradis. »)
↑(en) « Pandemic inspires Catholic rededication of Aotearoa NZ to Mary » [« La pandémie inspire la redédication de la Nouvelle-Zélande (Aotearoa) à Notre-Dame-de-Paradis »], sur catholic.org.nz, site de la Conférence des évêques catholiques de Nouvelle-Zélande, (consulté le ) : « After the Mass, it will leave for Invercargill on the start of a hīkoi (journey) around the country’s six Catholic dioceses that will end with its return and permanent placement in St Mary of the Angels, which will become a national shrine. » (« Après la messe, [l’œuvre] va commencer à Invercargill un hīkoi (un voyage processionnaire) dans les six diocèses catholiques qui se terminera par son retour et son placement définitif à Sainte-Marie-des-Anges, qui deviendra un sanctuaire national. »)
Voir aussi
Liens externes
(en) « Welcome » [« Bienvenue »], sur catholic.org.nz, site de la conférence (consulté le ).
(en) Gabriel Chow, « New Zealand Catholic Bishops Conference » [« Conférence des évêques catholiques de Nouvelle-Zélande »], sur gcatholic.org (consulté le ).