Concert du nouvel an 1951 à Vienne

Concert du nouvel an 1951 à Vienne
Chef
Date
Navigation

Le concert du nouvel an 1951 de l'orchestre philharmonique de Vienne, qui a lieu le , est le 11e concert du nouvel an donné au Musikverein, à Vienne, en Autriche. Il est dirigé pour la 9e fois dont la 4e consécutive par le chef d'orchestre autrichien Clemens Krauss.

La date du concert est décalée[1] en raison du décès du président fédéral Karl Renner[2], survenu le , soit à la veille de la date originellement prévue.

Johann Strauss II y est toujours le compositeur principal, mais son frère Josef y est aussi représenté avec cinq pièces, ainsi que leur père Johann avec sa célèbre Marche de Radetzky qui clôt le concert.

Seules trois pièces sur les quinze au total sont jouées pour la première fois au concert du nouvel an.

Programme

Le chef Clemens Kraus

Les pièces suivies d'un astérisque (*) sont jouées pour la première fois.

  1. Josef Strauss : Frauenwürde, valse, op. 277
  2. Josef Strauss : Feuerfest, polka française, op. 269*
  3. Josef Strauss : Die Libelle, polka-mazurka, op. 204
  4. Josef Strauss : Jocus-Polka, polka rapide, op. 216*
  5. Johann Strauss II : Wo die Citronen blüh'n!, valse, op. 364*
  6. Johann Strauss II : Marche égyptienne, marche, op. 335
  7. Johann Strauss II : Vergnügungszug, polka rapide, op. 281
  8. Josef Strauss : Mein Lebenslauf ist Lieb' und Lust, valse, op. 263
  9. Johann Strauss II et Josef Strauss : Pizzicato-Polka, polka
  10. Johann Strauss II : Éljen a Magyar!, polka rapide, op. 332
  11. Johann Strauss II : Wiener Blut, valse, op. 354
  12. Johann Strauss II : Auf der Jagd, polka rapide, op. 373

Rappels

  1. Johann Strauss II : Perpetuum mobile. Ein musikalischer Scherz, scherzo, op. 257
  2. Johann Strauss II : Le Beau Danube bleu, valse, op. 314
  3. Johann Strauss : Marche de Radetzky, marche, op. 228

Lien externe

Notes

  1. (de) « Dieses Konzert wurde auf den 14. Jän 1951 verschoben! », sur musikverein.at (consulté le ).
  2. « Karl Renner, président de la République autrichienne, est mort », sur lemonde.fr, (consulté le ).