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Comme son nom le suggère, le territoire intercommunal est situé au sud-est du département des Ardennes, limitrophe de ceux de la Marne et de la Meuse, à proximité de la Belgique et du Luxembourg et dans la région de Argonne, un important massif forestier. C'est l’une des plus grandes communautés de communes de France par son nombre de communes et par sa superficie (1 200 km²)[2]. Il s'agit d'un territoire principalement rural marqué par l’exploitation forestière, l’artisanat et le commerce, mais également par la présence d'industries de pointe. Le tourisme et l’environnement constituent les principales pistes de développement du territoire[3].
Évolution démographique du territoire communautaire tel qu'existant au
1968
1975
1982
1990
1999
2009
2014
2020
22 602
20 886
19 636
18 878
18 220
18 065
17 605
16 957
Nombre retenu à partir de 1968 : population sans doubles comptes. Les données mentionnées ci-dessus sont établies à périmètre géographique constant, dans la géographie en vigueur au . (Source : INSEE RGP 2020[4])
La communauté de communes est administrée par son conseil communautaire, composé pour la mandature 2020-2026 de 122 conseillers municipaux représentant chacune des communes membres.
Yann Dugard, maire de Vouziers, chargé de l’urbanisme et de l’habitat ;
Christophe Manceaux, maire de Leffincourt, chargé de l’agriculture, ainsi que de la gouvernance et de la communication ;
Vincent Fleury, maire de Monthois, chargé des finances, du suivi des grands équipements et des travaux ;
Pierre Laurent-Cauvet, maire de Champigneulle, chargé du commerce, de l’industrie et de l’artisanat ;
Désiré Nanji, maire de Buzancy, chargé des services à la population ;
Danielle Andrey, maire de Montgon, chargée de l’environnement et du développement touristique ;
Roland Canivenq, maire de Toges, chargé du sport et de la culture.
De manière à assurer une représentation équilibrée du territoire communautaire, le bureau de l'intercommunalité est composé pour la mandature 2020-2026 de :
2 représentants pour le bassin de vie de Buzancy,
1 représentant pour le bassin de vie du Chesne,
2 représentants pour le bassin de vie de Grandpré,
2 représentants pour le bassin de vie de Machault,
2 représentants pour le bassin de vie de Monthois,
2 représentants pour le bassin de vie de Vouziers (hors la commune de Vouziers),
5 représentants pour la ville de Vouziers,
soit 24 membres (incluant le président, les vice-présidents et donc 16 autres membres)[8].
L'intercommunalité exerce les compétences qui lui ont été transférées par les communes membres, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales. Il s'agit de[2] :
Développement économique : zones d’activité ; politique locale du commerce et soutien aux activités commerciales d’intérêt communautaire; promotion du tourisme dont la création d’offices de tourisme.
Collecte et traitement des déchets des ménages et déchets assimilés ;
Protection et mise en valeur de l’environnement, le cas échéant dans le cadre de schémas départementaux et soutien aux actions de maîtrise de la demande d’énergie ;
Politique du logement et du cadre de vie ;
Équipements culturels et sportifs d’intérêt communautaire et d’équipements de l’enseignement pré élémentaire et élémentaire d’intérêt communautaire ;
Équipements scientifiques : Création, accueil, gestion, animation, soutien et promotion d’actions, d’équipements et d’activités scientifiques dont le rayonnement aura une portée à l’échelle du territoire.
Actions de développement des loisirs et de soutien à des activités associatives ayant un rayonnement sur le secteur de la communauté de communes : activités associatives culturelles, sportives, sociales, économiques et environnementales dont le rayonnement aura une portée à l’échelle du territoire ; soutien matériel et humain à des associations culturelles, sportives, sociales et environnementales dont le siège social est situé sur une commune membre de la communauté de communes et dont le rayonnement aura une portée à l’échelle du territoire ;
Communications électroniques ;
Conseil intercommunal de sécurité et prévention de la délinquance ;
Actions de développement touristique : pôle Nature dont le Parc Argonne Découverte/Nocturnia ; sentiers d’interprétation et de randonnées ; Assistance aux porteurs de projets privés et publics dans l’élaboration des dossiers techniques et administratifs d’équipements touristiques ;
Afin de financer l'exercice de ses compétences, l'intercommunalité perçoit la fiscalité professionnelle unique[1] (FPU) – qui a succédé à la taxe professionnelle unique (TPU) – et assure une péréquation de ressources entre les communes résidentielles et celles dotées de zones d'activité.
Elle ne reverse pas de dotation de solidarité communautaire[11] (DSC) à ses communes membres[1].
Projets et réalisations
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Conformément aux dispositions légales, une communauté de communes a pour objet d'associer des « communes au sein d'un espace de solidarité, en vue de l'élaboration d'un projet commun de développement et d'aménagement de l'espace[12] ».
↑« Argonne ardennaise : Quatre candidats pour l’intercommunalité, une volonté commune : Quatre maires du territoire ont déjà annoncé leur volonté d’être candidat pour la succession de Francis Signoret à la tête de l’Argonne Ardennaise. Présentation », L'Ardennais, (lire en ligne, consulté le ).
↑ a et b« Benoît Singlit est le nouveau président de l’Argonne ardennaise : À l’issue du conseil communautaire de vendredi, et de votes très serrés, l’Argonne ardennaise s’est dotée d’une nouvelle équipe. Le recours vouzinois s’est aussi invité dans les débats », L'Ardennais, (lire en ligne, consulté le ).
↑Procès-verbal du conseil communautaire du 6 février 1998.
↑« Président de l’Argonne ardennaise, Francis Signoret ne devrait pas se représenter : Maire de Grandpré et président de la communauté de communes de l’Argonne ardennaise, Francis Signoret devrait être candidat dans sa commune mais pas à l’intercommunalité. Une page va se tourner », L'Ardennais, (lire en ligne, consulté le ).