Le documentaire s'appuie sur l'accident de Damascus pour démontrer les risques induits par les failles techniques et celles de la chaîne de commandement du système d'armement nucléaire des États-Unis. Le film utilise des documents obtenus au prix de six années d'efforts de demandes d'accès à l'information auprès des autorités américaines lors de la rédaction du livre du même nom[4], ainsi que des témoignages d'anciens militaires et des habitants résidant à proximité du site des missiles.
Il a reçu 95 % de critiques favorables d'après Rotten Tomatoes[6] et une note de 77 % (pour 15 critiques) sur Metacritic[7], dont :
Le magazine Variety[8] : « La folie de l'homme et l'inévitabilité du désastre sont les deux moteurs qui alimentent Command and Control, un documentaire captivant et consternant du réalisateur de Food, Inc., Robert Kenner [...]. »
Farran Smith Nehme dans le New York Post[9] : « Les images d'archives sont combinées à des reconstitutions quelque peu feintes, mais le film atteint son but : celui de nous rappeler que nous avons encore des milliers de bombes, et que ni elles - ni nous - ne sommes devenu beaucoup plus intelligents. »
Mick LaSalle du San Francisco Chronicle[10] : « Enfant, je m'inquiétais de la guerre nucléaire. Je n'ai jamais réalisé que j'aurais dû m'inquiéter d'un accident nucléaire. »