Elle soutient en 2002 sa thèse de doctorat en histoire, intitulée Immigrants et indépendants. Parcours et contraintes. Les petits entrepreneurs étrangers dans le département de la Seine (1919-1939), sous la direction de Michel Lescure.
Elle est habilitée à diriger des recherches depuis le 9 décembre 2015, où elle a présenté ses travaux "Identifications et appartenances. Pour une histoire sociale des interactions", avec un mémoire inédit intitulé "Des relations de pouvoir ordinaires. Les dénaturalisations sous Vichy", qui a donné lieu à une publication, Dénaturalisés. Les retraits de nationalité sous Vichy, aux Éditions du Seuil[2]. Cet ouvrage a obtenu le Prix d'histoire de la justice en 2017. Il est traduit en anglais sous le titre Denaturalized. How Thousands Lost Their Citizenship and Lives in Vichy France, chez Harvard University Press.
En , elle signe une tribune d'universitaires indignés de ce que la Fondation Feltrinelli, réputée de gauche, invite Alain de Benoist et Florian Philippot[6].
Depuis le 1er septembre 2019, elle est la Principal Investigator du projet ERC-Cog Lubartworld.
Publications
Anne-Sophie Bruno et Claire Zalc (dir.), Petites entreprises et petits entrepreneurs étrangers en France XIXe-XXe siècles, Paris, Publibook, 2006, 275 p.
Laure Blévis, Hélène Lafont-Couturier, Nanette Snoep et Claire Zalc (dir.), 1931 : les étrangers au temps de l’exposition coloniale, Paris, Gallimard, 2008, 192 p.
Claire Zalc, Melting Shops : une histoire des commerçants étrangers en France, Paris, Perrin, 2010, 330 p.
prix André-Conquet, prix d’excellence consulaire d’histoire économique, décerné en juin 2012.
Claire Zalc, Dénaturalisés : les retraits de nationalité sous Vichy, Paris, Éditions du Seuil, coll. « L'univers historique », , 400 p. (lire en ligne)
Claire Zalc, Z ou souvenirs d'historienne, Paris, Éditions de la Sorbonne, , 240 p. (lire en ligne)