Bien que le comté de Salm soit un État souverain et une terre d'Empire, ni les Salm ni les Le Veneur ne sont comptés parmi les grands du Saint-Empire romain ou du royaume de France au XVIe siècle. Lorsque François épouse Christine, il est seulement le troisième fils du duc Charles III, et ce n'est pas la souveraineté de la Lorraine qui lui est destinée, mais le comté de Vaudémont qui lui est attribué en apanage. Pour éviter que le duché ne quitte la lignée paternelle, les fils de François et de Christine seront mariés aux deux filles de son frère aîné, le duc Henri II de Lorraine.
Mariée en 1597, elle a six enfants :
Henri de Lorraine, marquis de Hattonchâtel (1602-1611), mort dans l'enfance [4] ;
Jacqueline Carolus-Curien, Pauvres duchesses, Metz, Serpenoise, , 215 p. (ISBN9782876927155), p. 151-158
↑Victor de Saint-Mauris, Etude historiques sur l'ancienne Lorraine, Vol.2, (Vagner, Imprimeur-Libraire-Editeur, 1861), 76.
↑Messager des sciences historiques, (Imprimerie et Lithogr. eug Vanderhaeghen, 1883), 256.
↑« Le Veneur, p. 5 et 6 », sur Racines & Histoire (consulté le )(ses parents étaient cousins éloignés, les deux descendant de Philippe L'Huillier, † 1517, seigneur de Manicamp et de Cailly-en-Caux, gouverneur de la Bastille : Paul avait pour mère Louise de Stainville, issue d'Oudette L'Huillier, femme de Louis de Stainville ; et Marie descendait de la sœur aînée de cette dernière, Charlotte L'Huillier, épouse de Louis Picart d'Estelan, d'où Isabeau Picart, la grand-mère maternelle de Marie Le Veneur)
↑ abcd et eFrançois-Alexandre Aubert de La Chesnaye Des Bois, Dictionnaire de la noblesse, (Chez Schlesinger frères, 1869), 230.
↑Carl Eduard Vehse, Memoirs of the Court, Aristocracy, and Diplomacy of Austria, Vol. 2, (Longman, Brown, Green and Longmans, 1856), 40.