C'est un arbuste à fleurs blanches et à fruits noirs, qui peut atteindre 10 m de hauteur[4].
Distribution
Commune, elle a été récoltée sur une vingtaine de sites dans plusieurs régions du Cameroun (Adamaoua, Centre, Nord-Ouest, Ouest, Sud-Ouest). Elle a en outre été observée en Guinée équatoriale sur l'île de Bioko, ainsi qu'au Nigeria, sur le plateau de Mambila[5].
Elle est cependant menacée par la perte de son habitat liée à l'expansion de l'agriculture[6].
↑Jean-Michel Onana, Synopsis des espèces végétales vasculaires endémiques et rares du Cameroun : check-liste pour la gestion durable et la conservation de la biodiversité, Yaoundé, Ministère de la Recherche scientifique et de l'Innovation, coll. « Flore du Cameroun » (no 40), , p. 153
(en) Cheek, M. & Csiba, L., « A new species and a new combination in Chassalia (Rubiaceae) from Western Cameroon », in Kew Bull., 55, 2000, p. 883-888
(en) Martin Cheek, Jean-Michel Onana and Benedict John Pollard (ed.), The plants of Mount Oku and the Ijim Ridge, Cameroon: a conservation checklist, Royal Botanic Gardens, Kew, Richmond, 2000, p. 157 (ISBN1-8424-6016-1)
Jean-Michel Onana, Synopsis des espèces végétales vasculaires endémiques et rares du Cameroun : check-liste pour la gestion durable et la conservation de la biodiversité, Yaoundé, Ministère de la Recherche scientifique et de l'Innovation, coll. « Flore du Cameroun » (no 40), , p. 153-154
(en) Jean-Michel Onana et Martin Cheek, « Chassalia laikomensis Cheek », in Red Data Book of the Flowering Plants of Cameroon: IUCN Global Assessments, Royal Botanic Gardens, Kew, 2011, p. 263-264 (ISBN9781842464298)