Cartographie de la végétationDe nombreux systèmes de cartographie de la végétation ont été développés depuis l'antiquité, de plus en plus fins et précis depuis l'apparition de la phytosociologie. Trois grandes approchesOn distingue généralement maintenant :
Ces trois approches peuvent être développées à différentes échelles de territoire. En Europe les codes de couleur de Corine Land Cover et plusieurs systèmes nationaux coexistent, mais tendent à être standardisés. Le degré de précision varie selon l'objectif du cartographe, les données dont il dispose et l'échelle traitée. UsagesCes cartes sont utilisées pour les études initiales, les études d'impact, l'établissement de mesures conservatoires ou restauratoires, les évaluations environnementales, profil environnementaux locaux, les études sur les impacts du changement climatique, etc. Pour le sylviculteur, elles peuvent être associées à des études de stations pour une gestion forestière durable ou l'établissement d'un PSG (Plan simple de gestion). MéthodesLa cartographie de la végétation est souvent effectuée par des outils électroniques (laser télémètre, GPS). Des systèmes informatiques permettent la cartographie des arbres, bois mort, transects, canopée etc.
En FranceDans l'histoire de la cartographie de la végétation française, Charles Flahault et Henri Gaussen font figure de précurseurs des cartes phytogéographiques[1]. Notes et références
Voir aussiArticles connexes
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