En 1806, la commune de Maché est érigée à partir de parcelles de celle d’Apremont. De même, la commune de Grand’Lande est érigée à partir de parcelles de celle de Palluau.
Le canton est créé le sous le nom de « canton de Palluau ».
Alors que l’arrêté du 9 fructidor an V () relatif à la dénomination des communes et arrondissements de justices de paix prescrit comme graphie officielle de la commune et du canton celle contenue dans les tableaux de division en justices de paix[5], l’arrêté du 9 brumaire an X () portant réduction des justices de paix du département de la Vendée attribue à la commune abritant le chef-lieu du canton le même nom[4]. Le canton conserve donc sa dénomination jusqu’à sa suppression.
Avocat Maire de Saint-Étienne-du-Bois (1926-1952) Membre de la Commission administrative de la Vendée (1941-1943)[11] Nommé conseiller départemental en 1943[12]
Vétérinaire Maire de Palluau (1971-1989) Président du syndicat intercommunal à vocation multiple du canton de Palluau (1976-1991) Président du district de Palluau (1991-2000)
↑ a et bLa commune prend le nom de La Chapelle-de-Palluau dans l’arrêté du 9 brumaire an X (), puis celui de La Chapelle-Palluau au cours du XIXe siècle.
↑La commune prend le nom de Grand’Landes au cours du XIXe siècle.
↑ a et bLa commune prend le nom de Saint-Christophe dans l’arrêté du 9 brumaire an X (), puis celui de Saint-Christophe-du-Ligneron au cours du XIXe siècle.
↑ a et bLa commune prend le nom de Saint-Étienne dans l’arrêté du 9 brumaire an X (), puis celui de Saint-Étienne-du-Bois au cours du XIXe siècle.
↑La commune prend le nom de Saint-Paul-Mont-Penit au cours du XIXe siècle.
↑La commune de Maché est érigée à partir de parcelles de la commune d’Apremont en 1804. Elle demeure dans le canton de Palluau[Cass. 7].
↑Belle-fille de Pierre Roy, conseiller général de 1952 à 1970.
↑Le recensement de 1866 est le premier à tenir compte de l’amputation d’une partie du territoire du canton dans la commune de Grand’Landes, où des parcelles sont attribuées à des communes de la Loire-Inférieure (Legé et Touvois) en 1861. Seul celui de 1975 exclut le territoire de La Chapelle-Palluau (associée à Aizenay en 1972), qui appartient au canton du Poiré-sur-Vie de 1975 à 1979.
↑« Suite des décrets sur la division du royaume », dans Collection générale des décrets rendus par l’Assemblée nationale, vol. 2, t. 11, Paris, Chez Baudouin, (lire en ligne), p. 42-43.
↑Lettres-patentes du roi sur décrets de l’Assemblée nationale des 15 janvier, 16 et 26 février 1790, qui ordonnent la division de la France en quatre-vingt-trois départements, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), p. 42-43.
↑ a et bLouis-Marie Prudhomme, Dictionnaire géographique et méthodique de la République française en CXX départemens, vol. I, Paris, éditions Louis-Marie Prudhomme, , 673 p. (OCLC715881089, lire en ligne), p. 216-220.
↑ ab et c« Arrêté portant réduction des justices de paix du département de la Vendée (no 1017) », Bulletin des lois de la République française, Imprimerie nationale, no 133, pluviôse an x, p. 428-432 (lire en ligne).
↑Claude Motte, Isabelle Séguy, Christine Théré et Dominique Tixier-Basse (coll.) (préf. Gérard Lang), Communes d’hier, communes d’aujourd’hui, les communes de la France métropolitaine (1801-2001) : Dictionnaire d’histoire administrative, Paris, Institut national d’études démographiques, coll. « Classiques de l’économie et de la population », , 406 p. (ISBN2-7332-1028-9), p. 31-32.
↑« Loi concernant la division du territoire de la République et l’administration (no 115) », Bulletin des lois de la République française, Imprimerie nationale, no 17, brumaire an ix, p. 89-90 (lire en ligne).