Bouloc est une commune française située dans le Sud-Ouest de la France, dans le nord du département de la Haute-Garonne, en région Occitanie. La commune se situe entre Toulouse et Montauban, dans le nord de la Haute-Garonne, dans l'aire urbaine de Toulouse. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Frontonnais, un pays entre Garonne et Tarn constitué d'une succession de terrasses caillouteuses qui ont donné naissance à de riches terroirs, réputés pour leus vins et leurs fruits.
Bouloc est une commune rurale qui compte 4 692 habitants en 2021, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975. Elle appartient à l'unité urbaine de Toulouse et fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse. Ses habitants sont appelés les Boulocains ou Boulocaines.
Bouloc connaît depuis la fin du XXe siècle une importante croissance démographique. Jusqu'au milieu du siècle, la commune n'était qu'un petit village. Aujourd'hui, c'est une ville à part entière. Cette croissance s'explique par la proximité de la commune avec Toulouse, mais aussi par l'étalement urbain, la périurbanisation, et l'apparition de zones d'emplois importantes à proximité, comme Eurocentre par exemple.
Sur le plan historique et culturel, Bouloc fait partie du Frontonnais, un pays entre Garonne et Tarn constitué d'une succession de terrasses caillouteuses qui ont donné naissance à de riches terroirs, réputés pour leurs vins et leurs fruits[4].
Le ruisseau de Magnanac, d'une longueur totale de 11,8 km, prend sa source dans la commune et s'écoule vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le Tarn à Villemur-sur-Tarn, après avoir traversé 3 communes[7].
Le ruisseau de Sayrac, d'une longueur totale de 13,5 km, prend sa source dans la commune et s'écoule vers l'ouest puis se réoriente au nord-est. Il traverse la commune et se jette dans le ruisseau de Magnanac à Villemur-sur-Tarn, après avoir traversé 4 communes[8].
En 2010, le climat de la commune est de type climat du Bassin du Sud-Ouest, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[9]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[10].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 743 mm, avec 9,6 jours de précipitations en janvier et 5,5 jours en juillet[9]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Blagnac à 16 km à vol d'oiseau[11], est de 14,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 627,0 mm[12],[13]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[14].
Milieux naturels et biodiversité
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Une ZNIEFF de type 1[Note 2] est recensée sur la commune[15] :
les « friches et landes du Frontonnais » (183 ha), couvrant 3 communes du département[16].
Urbanisme
Typologie
Au , Bouloc est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[I 2].
Elle appartient à l'unité urbaine de Toulouse[Note 3], une agglomération inter-départementale regroupant 81 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 4],[I 3],[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse, dont elle est une commune de la couronne[Note 5],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 527 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 4],[I 5].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (58 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (75,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
zones agricoles hétérogènes (32,2 %), forêts (22,4 %), zones urbanisées (17,5 %), terres arables (15 %), prairies (8,2 %), cultures permanentes (2,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,1 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Morphologie urbaine
L'essentiel des constructions sont situées au sud du territoire communal, autour de la mairie. La ville s'étendant de plus en plus, le centre-ville commence à gagner du terrain, particulièrement au nord-ouest de la mairie.
Logement
En 2014, le nombre total de logements dans la commune était de 1 791, alors qu'il était de 1 601 en 2009[I 6].
Parmi ces logements, 93,9 % étaient des résidences principales, 0,7 % des résidences secondaires et 5,4 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 89,2 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 10,6 % des appartements[I 6].
La proportion des résidences principales, propriétés de leurs occupants était de 79,7 %, en légère baisse par rapport à 2009 (82,1 %). La part de logements HLM loués vides était de 2,7 % contre 2 %, leur nombre étant croissant 45 contre 30[I 6].
Voies de communication et transports
La commune est traversée par la route départementale 4, qui relie Fronton à Barrière de Paris, à Toulouse, en passant par le centre-ville. On compte également la route départementale 30, qui relie la zone Eurocentre à Montpitol, et la route départementale 77, qui relie le centre-ville à Saint-Rustice.
Bouloc est traversée au sud-ouest par l'autoroute A62, accessible à partir de la 10.1 - Eurocentre.
Bouloc est situé en zone inondable. Cependant, la commune n'est pas un territoire à risque important d'inondation, n'étant pas traversée par un fleuve ou une rivière[18].
La commune est également concerné par un risque de mouvement de terrain et de retrait-gonflement des sols argileux. On compte également un risque de séisme de 1/5 (très faible)[18].
Toponymie
Bou-, altération de bon « bon » et loc « lieu » en gascon, d'où le sens global de « bon lieu », c'est-à-dire « lieu agréable » ou « lieu propice »[19].
Homonymie avec les Bonlieu (Jura, [Conventui] Boni Loci 1319; Drôme, Bonus locus 1170), ainsi que Bonloc[20].
La commune fait partie de la région historique de l'Occitanie et du Languedoc.
Héraldique
Son blasonnement est : Taillé : au premier de gueules au besant d'argent chargé d'une croix cléchée pommetée de douze pièces de sable, au second d'or au four à brique de sable surmonté d'une grappe de raisins feuillée du même.
La croix du Languedoc :
Bouloc a toujours été rattachée à la métropole du Languedoc. La présence de la typique croix du Languedoc symbolise ces liens étroits et anciens mais aussi actuels.
La grappe de raisin :
Le passé viticole, jusqu'à 600 hectares de vignes en exploitation à la fin du XIXe siècle, et son rattachement actuel à l'aire d'appellation d'origine contrôlée des côtes du Frontonnais, sont représentés par une grappe de raisin, aussi noire que l'est la négrette.
Le four à briques et à tuiles :
Plusieurs usines de fabrication de briques ont marqué le passé de Bouloc. Cette période exceptionnelle est représentée par la silhouette d'un bâtiment typique, mais aujourd'hui disparu, qui est un four de cuisson.
Les couleurs :
L'une, le rouge, est la couleur du sang et du feu, l'autre, le jaune est la couleur de l'or et du soleil. Ce sont 2 couleurs éclatantes, lumineuses, qui, associées symbolisent le midi.
Politique et administration
Tendances politiques et résultats
Bouloc est une commune avec une sensibilité de gauche, malgré une montée récente de l'extrême droite.
Le nombre d'habitants au recensement de 2017 étant compris entre 3 500 habitants et 4 999 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2020 est de vingt-sept[48],[49].
La collecte et le traitement des déchets des ménages et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre de la communauté de communes du Frontonnais[55]. Depuis , la communauté de communes mit en place la collecte du tri sélectif en porte à porte.
Finances locales
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Depuis la mise en place de la nouvelle municipalite en 2014, le jumelage n'existe plus.
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[56]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[57].
En 2021, la commune comptait 4 692 habitants[Note 6], en évolution de +4,36 % par rapport à 2015 (Haute-Garonne : +7,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
La commune compte une école élémentaire et une école maternelle. À la rentrée 2013-2014, 489 enfants étaient scolarisés en 18 classes. 7 à l'école maternelle et 11 à l'école élémentaire avec également 1 CLIS (CLasse d'Inclusion Scolaire de 12 places). Bouloc compte également un centre de loisirs et une crèche.
La commune est couverte par le journal local La Dépêche du Midi et son édition locale nord-est de la Haute-Garonne, le petit journal (hebdomadaire) ainsi que par France 3 Occitanie.
En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 1 807 ménages fiscaux[Note 7], regroupant 4 749 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 25 470 €[I 7] (23 140 € dans le département[I 8]). 60 % des ménages fiscaux sont imposés[Note 8] (55,3 % dans le département).
En 2014, la population âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 2 868 personnes, parmi lesquelles on comptait 78 % d'actifs dont 71,6 % ayant un emploi et 6,4 % de chômeurs[I 6].
On comptait 639 emplois dans la zone d'emploi, contre 585 en 2009. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la zone d'emploi étant de 2 068, l'indicateur de concentration d'emploi est de 30,9 %, ce qui signifie que la zone d'emploi offre un peu moins d'un emploi pour trois habitants actifs[I 6].
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 2 975 personnes, parmi lesquelles on compte 77,3 % d'actifs (70,5 % ayant un emploi et 6,8 % de chômeurs) et 22,7 % d'inactifs[Note 9],[I 10]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Toulouse, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 13]. Elle compte 875 emplois en 2018, contre 642 en 2013 et 549 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 2 114, soit un indicateur de concentration d'emploi de 41,4 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 63,6 %[I 14].
Sur ces 2 114 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 364 travaillent dans la commune, soit 17 % des habitants[I 15]. Pour se rendre au travail, 92,2 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 3,4 % les transports en commun, 1,8 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 2,6 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 16].
Activités hors agriculture
Secteurs d'activités
398 établissements[Note 10] sont implantés à Bouloc au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 11],[I 17].
Secteur d'activité
Commune
Département
Nombre
%
%
Ensemble
398
100 %
(100 %)
Industrie manufacturière, industries extractives et autres
37
9,3 %
(5,7 %)
Construction
82
20,6 %
(12 %)
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration
105
26,4 %
(25,9 %)
Information et communication
12
3 %
(4,1 %)
Activités financières et d'assurance
6
1,5 %
(3,8 %)
Activités immobilières
17
4,3 %
(4,2 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien
71
17,8 %
(19,8 %)
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale
34
8,5 %
(16,6 %)
Autres activités de services
34
8,5 %
(7,9 %)
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 26,4 % du nombre total d'établissements de la commune (105 sur les 398 entreprises implantées à Bouloc), contre 25,9 % au niveau départemental[I 18].
Entreprises et commerces
Au , Bouloc comptait 379 établissements : 17 dans l'agriculture-sylviculture-pêche, 25 dans l'industrie, 65 dans la construction, 232 dans le commerce-transports-services divers et 40 relatifs au secteur administratif[I 6].
En 2016, 49 entreprises ont été créées à Bouloc, dont 29 par des autoentrepreneurs[I 6].
Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[60] :
Travaux De Voies Ferrees En Abrege TVF, construction de voies ferrées de surface et souterraines (19 895 k€) ;
Jibla, supermarchés (13 034 k€) ;
Armaing Chauffage Climatisation, travaux d'installation d'équipements thermiques et de climatisation (6 938 k€) ;
LTRC, conseil en systèmes et logiciels informatiques (1 577 k€) ;
Viareno Developpement, autres activités de soutien aux entreprises n.c.a. (1 361 k€).
Agriculture
La commune est dans le Lauragais, une petite région agricole occupant le nord-est du département de la Haute-Garonne, dont les coteaux portent des grandes cultures en sec avec une dominante blé dur et tournesol[61]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 12] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 4].
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 41 lors du recensement agricole de 1988[Note 14] à 25 en 2000 puis à 15 en 2010[63] et enfin à 21 en 2020[Carte 5], soit une baisse de 49 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 57 % de ses exploitations[64],[Carte 6]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 739 ha en 1988 à 511 ha en 2020[Carte 7]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 18 à 24 ha[63].
↑Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
↑Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
↑Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. Dans le cas de l'unité urbaine de Toulouse, il y a une ville-centre et 80 communes de banlieue.
↑Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
↑Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
↑La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impôt à acquitter au titre de l'impôt sur le revenu des personnes physiques. L'impôt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impôts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.
↑Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
↑L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
↑Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
↑L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
↑Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
↑Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[62].
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )