Les problèmes mathématiques qu'il aborde sont parfois présentés sous forme poétique, notamment dans son traité Lilavati[5].
Œuvres
Lilavati, du nom de sa fille, traitant d'astronomie et composé sous forme de poèmes. Il y dresse l'horoscope de sa fille et établit le moment le plus propice à son mariage. En ce qui concerne davantage son apport aux mathématiques, ce traité expose la preuve par 9 pour vérifier les multiplications[6].
Bijaganita, qui signifie « Calcul de la cause première » et traite d'algèbre.
Siddhânta Śiromani(en) (1150), traité constitué de deux parties : Goladhyaya (sphère) et Grahaganita (mathématiques à propos des planètes), « Siddhânta » étant un nom générique donné aux ouvrages scientifiques sanskrits. Dans cet ouvrage, Bhaskara aborde des tables de sinus et diverses relations trigonométriques[7].