Le Bevatron reçut un nouveau souffle en 1971[1], lorsqu'il fut joint à l'accélérateur linéaireSuperHILAC comme injecteur d'ions lourds[2]. La combinaison des deux dispositifs fut conçue par Albert Ghiorso, qui le nomma le Bevalac[3]. Il pouvait accélérer une grande variété de noyaux stables à des énergies relativistes[4]. Il fut finalement désactivé en 1993.