Mais les questions religieuses ne tardèrent pas à le ranger dans l'opposition de droite. C'est ainsi qu'il écrivit, en , à ses commettants, une lettre où il déplorait vivement la suppression par l'assemblée des maisons religieuses d'Alsace, et où il insistait pour la conservation des biens ecclésiastiques qui, disait-il, « appartiennent, avant tout, au culte, aux pauvres, à l'éducation publique, aux hôpitaux de la province. »