Elle laisse une canso : Na Maria, pretz e fina valors[Note 1],[7]... Il s'agit d'un poème d'amour dédié à une autre femme, Maria. La réception de ce texte a suscité de très nombreuses critiques en raison de la relation lesbienne qui y est célébrée[8].
Biographie
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Bibliographie
Frédérique Le Nan, « Na Bieiris De Romans, poétesse occitane du xiiie siècle, ou le genre auctorial en question », dans Voix de femmes dans le monde : Au prisme du genre dans la littérature et les arts, Presses universitaires de Rennes, coll. « Nouvelles Recherches sur l’Imaginaire », (ISBN978-2-7535-7930-9, lire en ligne), p. 29–48
Frédérique Le Nan, Poétesses et escrivaines en Occitanie médiévale, Presses Universitaires de Rennes, 2021 (ISBN978-2-7535-8037-4)
Robert Lafont, Histoire et anthologie de la littérature occitane, Montpellier, Les Presses du Languedoc.
↑Linda M. Paterson, « Review of The Voice of the Trobairitz: Perspectives on the Women Troubadours », The Modern Language Review, vol. 86, no 1, , p. 198–198 (DOI10.2307/3732137, lire en ligne, consulté le )
↑Elizabeth W. Poe, « Review of The Voice of the Trobairitz: Perspectives on the Women Troubadors », Speculum, vol. 67, no 1, , p. 207–209 (DOI10.2307/2863806, lire en ligne, consulté le )
↑(fr + oc) Léon Robarts - University of Toronto et Paul Berthel, La flore littéraire du Dauphiné ... par Léon Côte et Paul Berthet, Grenoble J. Rey, (lire en ligne), « Na Maria, pretz [texte en occitan et traduction en français] », p. 430
↑Frédérique Le Nan, « Na Bieiris De Romans, poétesse occitane du xiiie siècle, ou le genre auctorial en question », dans Voix de femmes dans le monde : Au prisme du genre dans la littérature et les arts, Presses universitaires de Rennes, coll. « Nouvelles Recherches sur l’Imaginaire », (ISBN978-2-7535-7930-9, lire en ligne), p. 29–48