Avenue Camille-Flammarion
L'avenue Camille-Flammarion (en occitan : avenguda Camille Flammarion) est une voie de Toulouse, chef-lieu de la région Occitanie, dans le Midi de la France. Situation et accèsDescriptionL'avenue Camille-Flammarion est une voie publique. Elle se trouve à la limite des quartiers Marengo et Jolimont dans le secteur 4 - Est. Voies rencontréesL'avenue Camille-Flammarion rencontre les voies suivantes, dans l'ordre des numéros croissants (« g » indique que la rue se situe à gauche, « d » à droite) :
TransportsL'avenue Camille-Flammarion se trouve à proximité de la station de métro Jolimont, sur la ligne de métro , où se trouve également le terminus de la ligne de bus 37. Il existe plusieurs stations de vélos en libre-service VélôToulouse à proximité immédiate de l'avenue Camille-Flammarion : les stations no 5 (face 5 rue René-Leduc) et no 251 (26 avenue Léon-Blum). Cette dernière, située sur la pente de la butte du Calvinet, est depuis 2017 considérée comme une station Bonus, qui permet de cumuler du temps supplémentaire pour les abonnés qui y ramènent leur vélo[1]. OdonymieL'avenue porte le nom de Camille Flammarion (1842-1925), astronome français. Il est le frère d'Ernest Flammarion, fondateur de la maison d’édition et librairie Flammarion, et l'époux de Sylvie Hugo, nièce de Victor Hugo, puis de Gabrielle Renaudot, astronome elle aussi[2]. D'ailleurs, plusieurs voies du quartier de Marengo-Jolimont portent le nom d'astronomes, tels que la rue Benjamin-Baillaud[3], la rue Garipuy[4], la rue Johannes-Kepler[5], la rue Urbain-Le Verrier[6] et la rue Frédéric-Petit[7]. L'avenue est, lorsqu'elle est aménagée en 1860, désignée dans sa première partie comme l'avenue de l'Observatoire, puisqu'elle dessert l'observatoire de la ville[8]. La deuxième partie est en revanche le chemin de Marengo[9]. En 1935, Gabrielle Renaudot vient à Toulouse, à l'invitation de la Société d'astronomie populaire de la ville. Elle est reçue par la municipalité d'Antoine Ellen-Prévot, qui propose de baptiser l'avenue du nom de son époux, ce qui est réalisé l'année suivante[2]. HistoirePatrimoine et lieux d'intérêtObservatoire de ToulouseŒuvres publiques
Parcs et jardinsNotes et références
Voir aussiBibliographie
Article connexe
Liens externes
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