En 1982, il publie la première édition du Ramat, d’abord destiné aux seuls imprimeurs. Cet ouvrage connaîtra par la suite un succès auprès du grand public, et est une des références en matière de typographie au Québec et au Canada[6],[7].
À Montréal, il travaille au journal anglophone The Gazette de 1967 à 1989[3]. Retraité, il a été conférencier sur les sujets qui touchent à son métier. Il se dit « entièrement favorable à la nouvelle orthographe »[8].
Le Ramat de la typographie, éd. Aurel Ramat, 8e édition, 2004, 224 pages (ISBN2-9223660-3-0 et 978-2922366037) (conforme aux deux orthographes) ;
Le Ramat de la typographie : édition 2008 encore améliorée[10], éd. Aurel Ramat, 9e édition, 2008, 224 pages, 23 cm (ISBN978-2-922366-04-4) ;
Aurel Ramat et Romain Muller, Le Ramat européen de la typographie, éd. Éditions De Champlain, 2009 (ISBN2953496505 et 978-2953496505) (édition adaptée aux usages de France, de Belgique et de Suisse) ;
Aurel Ramat et Anne-Marie Benoit, Le Ramat de la typographie, 10e édition, Anne-Marie Benoit éditrice, 2012, 256 pages (ISBN978-2-9813513-0-2)[11].
↑« Aurel Ramat », sur urgelbourgie.com (consulté le )
↑Claude Cossette, La Publicité de A À Z, Les Presses de l’Université Laval,
« Le Code typographique est édité par la Chambre typographique de France et réactualisé chaque année. […] Les Suisses recourent au Guide du typographe romand, les Belges, aux normes de leur Institut de normalisation, et le Québec, au Ramat de la typographie, une œuvre personnelle. » (p. 57)