Docteur en philosophie, il traduit Kant[3] et soutient en 2005 une thèse sur Kant et sa géographie[4].
Les Désœuvrés, son premier roman[5], sur le monde de l'art contemporain[6], est finaliste du Prix Médicis[7] et figure sur la première liste du Prix Renaudot. Il est distingué par le Grand Prix SGDL du premier roman 2015[8],[9]. Le Songe d'Anton Sorrus, (Seuil 2017), décrit le face à face d'un homme avec un son venu de nulle part, le hum[10],[11].
Dramaturge, il travaille pour La Vie Brève sur deux spectacles : l'Oreille de Denys (2018) et Tarquin (2019), dans une mise en scène de Jeanne Candel[12],[13].
Photographe, il publie les recueils Sul Sepulcro di François Truffaut (2001) et Andante Duras (2004) avec Elise Gruau, aux éditions La Camera Verde[14].
Avec l'artiste Stéfane Perraud, il collabore à la création d'œuvres hybrides entre fiction narrative et installation plastique : La gorge du blaireau à Tagsdorf[15],[16], Soleil noir[17], Zone bleue[18], Hystérésia. Leurs travaux sont présentés et soutenus par diverses institutions, comme le Musée de la chasse à Paris, le Lieu Unique à Nantes[19] ou le Mudac à Lausanne[20].
À la rentrée littéraire 2021, il publie son troisième roman aux Éditions du Faubourg, L'Hymne à la joie[21].
D'origine arménienne, il est l'arrière-petit-fils du peintre Melkon Kebabdjian[22]. D'origine allemande, il est le petit-fils du journaliste et député Max Schulze-Vorberg.
↑Robert Maggiori, Virginie Bloch-Lainé, Alexandra Schwartzbrod, Frédérique Fanchette et Claire Devarrieux, « Vient de paraître », sur Libération.fr, (consulté le )