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Elle dirige, depuis 2006, Une Saison de Nobel[3] qui rend hommage aux auteurs lauréats du Prix Nobel de littérature en organisant des rencontres littéraires entre auteurs, œuvres et lecteurs.
Biographie
Anny Romand est née à Paris, et a grandi à Marseille à partir de 3 ans. Elle est élevée par sa mère Rose, sa grand-mère Serpouhi Hovaghian et son oncle Jiraïr Kopenadjian. Lorsque Anny a 5 ans, sa mère épouse Jean-Claude Romand ; ils auront une fille, Françoise.
À 12 ans, Anny prend le nom de son beau-père Romand.
Elle commence des études de médecine puis s'oriente vers une formation universitaire de psychologie à la Faculté de Lettres et Sciences Humaines d’Aix-en-Provence, où elle obtiendra une Maîtrise de psychologie (Mémoire sur la "Création d'une activité théâtrale à l'hôpital psychiatrique").
Désireuse de jouer au théâtre, elle retourne à Paris et sera engagée comme figurante au Théâtre de la Ville, dans l'Île pourpre, une pièce de Mikhaïl Boulgakov, mise en scène de Jorge Lavelli.
En 1976, elle a une fille, Adriana avec l'acteur Pierre Santini, qu'elle épouse en 1979.
Carrière d'actrice
En tant qu'actrice, Anny Romand a joué dans des films de Beineix (Diva en 1981), Godard, de Oliveira et Boisset. Elle a fait ses débuts en dans ce domaine en 1980 dans le téléfilm Le Mandarin.
En 2000, Anny Romand a par ailleurs fait ses débuts en tant que documentariste lors de la sortie du film Afrikaan Strip-Tease.
Anny Romand a plus tard débuté en tant qu'auteure en 2015 avec le roman-documentaire Ma grand-mère d'Arménie[1]. Il est également publié en suédois, en arménien, tandis qu'une traduction en italien reste prévue. Le livre, écrit à partir des notes du journal de sa grand-mère datant des années 1915 à 1918, raconte une histoire de famille liée à l’expérience dramatique du génocide arménien. Après avoir survécu au génocide, la grand-mère d’Anny Romand a émigré à Marseille en France pour y commencer une nouvelle vie. Anny Romand a souvent entendu l'histoire de sa famille lors de sa jeunesse, mais ce n'est qu'en 2014 qu'elle a trouvé le journal, aujourd'hui édité par la Bibliothèque Nationale de France, en version française[4] et anglaise[5].
Au printemps 2018, Le silence avant l’effroi a été publié en suédois aux Éditions Elisabeth Grate avant de l’être en français sous le titre Abandonnée. Dans cette histoire, une enfant non désirée essaie de trouver un père qu'elle n'a jamais vu.
Anny Romand est également traductrice, entre autres, des pièces d'Alan Ball. Elle est organisatrice d’une saison de Nobel[3] depuis 2006, un événement littéraire récurrent à Paris visant à accroître l'intérêt du public pour les lauréats du prix Nobel de littérature.
En 2015, elle publie son premier roman aux éditions Michel de MauleMa grand’mère d’Arménie. Deux ans plus tard, le roman est traduit en suédois aux éditions Elisabeth Grate. Le roman se base sur le journal que sa grand-mère arménienne a tenu entre 1915 et 1918 et relate son périple sur les routes d’Anatolie jusqu’à son arrivée à Marseille et le début d’une nouvelle vie, marquée par les souvenirs tragiques du génocide arménien.
Intervenante majeure de "Stanley Kubrick (1928-1999), l'humain trop humain"[9], émission de France Culture du 19 Mars 2022 de la série "Toute une vie". Elle y fait preuve d'une grande maîtrise de l'art cinématographique, avec des détails à la fois sensibles, techniques et approfondis de l'œuvre de Kubrick.