Controversée par certaines personnes transgenres[3], Lawrence est promotrice de la théorie de Ray Blanchard sur l'autogynéphilie et les auto-identifications des personnes transgenres comme autogynéphiles[4]. Elle a proposé que l'autogynéphilie n'était pas seulement de nature sexuelle, mais englobait également des éléments de l'amour romantique[5],[6].
(en) Anne A. Lawrence, « Autogynephilia: A Paraphilic Model of Gender Identity Disorder », Journal of Gay and Lesbian Psychotherapy, vol. 8, nos 1/2, , p. 69–87 (DOI10.1300/J236v08n01_06, lire en ligne).
(en) Lawrence Anne A., « Becoming what we love: autogynephilic transsexualism conceptualized as an expression of romantic love », Perspect. Biol. Med., vol. 50, no 4, , p. 506–20 (PMID17951885, DOI10.1353/pbm.2007.0050, lire en ligne).
(en) Anne A. Lawrence, « Erotic Target Location Errors: An Underappreciated Paraphilic Dimension », Journal of Sex Research, vol. 46, nos 2-3, , p. 194–215 (ISSN0022-4499, PMID19308843, DOI10.1080/00224490902747727).
(en) Anne A. Lawrence, « Autogynephilia: An Underappreciated Paraphilia », Advances in Psychosomatic Medicine, vol. 31, , p. 135–148 (ISSN1662-2855, DOI10.1159/000328921).
↑(en) Anne A. Lawrence, « Autogynephilia: A Paraphilic Model of Gender Identity Disorder », Journal of Gay and Lesbian Psychotherapy, vol. 8, nos 1/2, , p. 69–87 (DOI10.1300/J236v08n01_06, lire en ligne).
↑(en) Anne Lawrence, « Pratique », sur annelawrence.com (consulté le ).
↑(en) Lawrence AA, « Becoming what we love: autogynephilic transsexualism conceptualized as an expression of romantic love », Perspect. Biol. Med., vol. 50, no 4, , p. 506–20 (PMID17951885, DOI10.1353/pbm.2007.0050, lire en ligne).