Chronique Russe : La même année, il y eut une grande inondation comme jamais auparavant. La même année, le grand-duc Siméon Ivanovitch, petit-fils de Danilov, se marie pour la troisième fois avec la princesse Maria, fille du grand-duc Alexandre Mikhaïlovitch Tverskoy. [Andrey Kobyla et Alexey Bosovolkov sont allés la chercher à Tver.]
Andreï Ivanovitch Kobyla (en russe : Андрей Ива́нович Кобы́ла), mort vers 1347, est le plus ancien ancêtre connu de la dynastie des Romanov et de nombreuses familles nobles russes telle que la famille Cheremetiev.
Il est le plus ancien ancêtre connu de la dynastie des Romanov[2], dynastie nommée d'après le prénom d'un des descendants d'André Kobyla, Roman Zakharine-Iourev, qui vécut au début du XVIe siècle et dont l'arrière-petit-fils, le tsar Michel fut le fondateur de la Maison Romanov.
Le nom d'Andreï Kobyla est cité dans les chroniques russes où il est mentionné qu'en 1347 il est envoyé à Tver par le grand-duc Siméon Ier pour faire la demande de mariage de la future troisième épouse du grand-duc, Maria Alexandrovna, fille du grand-prince Alexandre II de Vladimir[3].
Descendance
Fédor Andreïvitch Kobylin(en) (en russe : Фёдор Андре́евич Кобылин), surnommé Koshka (en russe : Ко́шка), plus jeune fils d'Andreï Kobyla. Les enfants de Fédor se nommeront par la suite Kochkine ;
↑Simon Sebag Montefiore (trad. de l'anglais), Les Romanov : 1613-1918, Paris, Le Livre de Poche (Calmann-Lévy première édition), (1re éd. octobre 2016), 1376 p. (ISBN978-2-253-18014-2), p. 57
↑Jean-Henri Schnitzler, Histoire intime de la Russie sous les empereurs Alexandre et Nicolas, et particulièrement pendant la crise de 1825, vol. 1, t. I, Paris, Jules Renouard et Cie, , 518 p. (lire en ligne), p. 331.