Docteur en droit public à la suite d'une thèse sur « La notion de République dans la jurisprudence du Conseil constitutionnel »[5], il est maître de conférences en droit public à l'université Toulouse-I-Capitole. Il a écrit plusieurs essais : « Coopérons », Librinova, 2021 ; « D’une rive à l’autre », Publishroom, 2022 ; ; « L’eau pour tous, tous pour l’eau.Plaidoyer pour garantir un accès universel à l’eau potable », L’Harmattan, 2024.
Militant socialiste depuis 1991, d'abord au Mouvement des jeunes socialistes puis au Parti socialiste, il a été secrétaire national chargé de la coopération décentralisée et des relations internationales à la Fédération nationale des élus socialistes et républicains. Il a participé activement à l'élection présidentielle de 2012 au sein du comité de campagne de François Hollande où il était chargé des questions relatives au tourisme, aux professions libérales, au commerce et à l'artisanat. Il devint dans la foulée secrétaire national du Parti socialiste chargé du tourisme et, à la suite du congrès de Poitiers, Secrétaire national à l'égalité territoriale.[réf. souhaitée]
Intéressé par les problématiques liées aux relations internationales et à la coopération décentralisée, et dans ce cadre plus particulièrement aux questions relatives à l’objectif du développement durable n°6 d’un accès à l’eau pour tous, il a exercé la fonction de président de l'Arc Latin, réseau de collectivités du pourtour méditerranéen en France, Italie et Espagne, de 2011 à 2014. Il œuvre depuis au dialogue avec la rive sud de la Méditerranée. Il est vice-président de la Commission nationale de la coopération décentralisée et membre du bureau exécutif de Cité et Gouvernements Unis Locaux qui défend et représente les intérêts des gouvernements locaux sur la scène mondiale. Il est président de la commission internationale de l’agence de l’eau Adour-Garonne[6]. Depuis juillet 2024, il est président du Partenariat Français pour l’Eau[7].
Européen convaincu, il siège au Comité des régions de l’Union Européenne et préside la délégation française en tant que représentant des départements français. Il est élu président de la Conférence européenne des pouvoirs locaux intermédiaires en [8],[9].
En 2013, il souhaite obtenir la garantie de la réalisation de la ligne nouvelle Montpellier - Perpignan. Il manifeste son mécontentement en refusant de recevoir des membres du gouvernement dans l'Aude[10].
En , André Viola annonce qu'il est candidat à un nouveau mandat à la tête du conseil départemental en 2015[11].
Il est réélu conseiller départemental en juin 2021, au premier tour, avec son binôme constitué de Marie-Christine Bourrel, totalisant 70,5 % des suffrages exprimés.
Depuis 2020, il préside RéSeau 11 (Réseau Solidarité Eau 11), le syndicat à vocation départementale de la protection et la production de l’eau[17].
Positions sur le projet de réforme territoriale
En , n'approuvant pas l'éventualité d'une suppression des conseils départementaux[18], il est finalement rassuré en septembre par les propos du premier ministre qui confirme le maintien des conseils généraux dans les départements "ruraux"[19],[Note 1].