Ses textes narratifs s'inscrivent dans le registre du fantastique. Sa poésie évolue entre l'aphorisme philosophique et l'écriture expérimentale, notamment par l'interaction entre l'écriture numérique et l'édition papier classique.
Ses travaux géographiques se focalisent sur l'évolution de l'espace habité et de ses représentations[1],[2],[3],[4].
En 2002, paraît un premier recueil de poésie, Chants dilettantes d'un fainéant éduqué au rythme des saisons et des manies[7]. Il commence à publier des nouvelles (revue Archipel, revue Angle Mort, émissions radio et podcast)[8].
Il poursuit ses études à l'école doctorale Architecture et sciences de la ville (ENAC) de l'EPFL. Durant cette période il collabore à la revue EspacesTemps.net. Il obtient le titre de docteur ès sciences en 2010 en soutenant sa thèse sur l'articulation des approches phénoménologiques et formelles de l'espace habité[9].
↑Ile sur le toit du monde, p. 182 "Îles sur le toit du monde: Une anthologie romande de science-fiction", Archipel, no. 24 en collaboration avec la Maison d'Ailleurs, Lausanne, p. 182
↑« Cette ville qu'ils appellent Sanzu », Vincent Gessler et Anthony Vallat (eds.) Dimension suisse. Anthologie de Science fiction et de fantastique romande, Rivière blanche, 2010, pp. 31-46.
↑Camille Pagella, « Béton, le 5e élément: Quand le béton remplace la terre, petite histoire de nos sous-sols », Le Temps, (ISSN1423-3967, lire en ligne, consulté le )