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André Gigaux  Cet article est une ébauche concernant un homme politique français. Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?) selon les recommandations des projets correspondants.
André Gigaux, né le à Saint-Liguaire (Poitou), mort le à Hondschoote (Nord), est un général de brigade de la Révolution française. États de serviceAndré Gigaux est le fils d'Abraham Gigaux, fermier de l'abbaye de Saint-Liguaire, et de Jeanne Christin. Il épouse Marie Barbe Sabrié dit Naudy, veuve de Bernard Pierre Coppens d'Hondschoote. Il entre en service le au régiment de Vintimille, il devient caporal le , et sergent le . Le , il est fait sergent-major, adjudant le , sous-lieutenant le , et lieutenant le . Il est nommé adjudant major le , et capitaine des grenadiers au 49e régiment d’infanterie le de la même année. En 1792, un boulet le blesse au genou le rendant légèrement boiteux. Le , il est fait lieutenant-colonel au 5e régiment d’infanterie. Il est promu général de brigade provisoire le , commandant à Bergues et à Hondschoote, il est confirmé dans son grade le , et il est suspendu le . Il est autorisé à prendre sa retraite le , il est admis à la solde de retraite le . Il devient maire de Hondschoote en 1804, et il est fait chevalier de Saint-Louis. En 1808, il est président du collège électoral pour l'arrondissement de Dunkerque[1]. Sources
Notes et références
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